Cœurs Vaillants 1941

•••••••• AU SERVICE DE LA FRANCE • •••••• !ri Quel est donc cet ho:-nme qui vient de se g lisser entre les palmiers géants, juste d erriè re l a chapelle de Jo Mission> Le Père n 'a rien, vu, n 1 Rémy non p ius, gui devise joyeusement avec lui. Il n'y a pas très long temps qu'il est à Io M ission, Rémy... Autrefois, il s'oppelo:t Bouli– Bo et, or!)hcl1n dès son jeune â ge, appartenait à un païen du village... Acheté par le Père, il v ir heureux et paisible à Io M ission, t andis c;uc grandit dons l'ombre Io haine du sorcier, qui ne peut pardonner ou missionncire son nvc rioblement déserte... Comb'en de temps Rémy est-il demeuré o.nsi, il ne sauro ii le d ire. r\".curant de form et de soif , Io 1cmbe enflée, ç relottont de f ièvre, il o sombré, petit à petit , ècns une d emi -inconscience. Et ~uis, tout à ccup . il a sen t i une m a n sur son épou~e _cvcnt ses yeux à grond 'peme entr'ou verts s'est d essinée une, puis olus:("Jrs sdhoue1tc5 b:on– c es ou visage bron=c sous le bérc r à oompon rc cc. Des mo..ms de Io flot t~ fra nça ise vienn ent d 'c!;crCcr, tand1<j que :e ur bateau, a ux fla ncs hêSitot ion, c occo:n pli le oeste précis qu'il éevc1t assurer.. e n 25 secondes exacte me nt, l'éicorme obus de 340 k ilos a ét~ sor ti de so 1 i;ett e, olacé dons un mon te-charge qui l'o ~levé c n ivea u du can on, p u 1;; transporté su r u n chario t d evant la cula sse ouverte . Le p lus C' cosraud > des marins l'o a lors enhlé dons le canon, suivi de deux gargousses de poudre é e .i5 kilos chacune.. Clac 1.. on ferme Io cw;c.sse, on me t l'amorce... Paré ! Attention 1 ur.e sonne rie, la lampe rouge au1 s'allume Je moyen d'alerter les out res, d'o<:>oclcr ou scccu ..... Un g rand com bat se livre dons l 'âme dlJ pet it noir. En vo.n ses a mis on t essavé ch.1s1eurs fois de Je ro rsonner, jomoic; il n'a p u s.•robi1'ue r à ce t é tra nge a ppareil oui le pétrifie littéro 1cment de terreur Et pourtant 1,, teinos p resse... Alors~ de vant les veux de Rémy, ccs"H? tn~s ne tt e Io vision du draoeou . tricolore ~e ce drapea u de Fronc:e q ui doit ·va incre envers e t c n1rc tou t, de ces hommes oui -;on t- ses influence croissante sur les indigènes. Un cri a traversé l'heure chaude pendant laquelle tout dort dons le villooe... Dons Io M ission déserte où Rémy veillait - seul en l'absence du Père, le sorcier s'est çlissé en traitre... Ligo1é, bâil– lonné, l'enfant, malgré sa couroqeuse résistance, a été vite réduit à l'impuissance et l'homme l'emporte maintenant vers la forêt mystérieuse où il a installé sa redoutable demeure. Il foi1 nuit. Sur les rives du fleuve, une ombre glisse rapidement... Tout menu dons Io chemise qui d'acier, se profile là-bas sur l'h orizon b ieu. Les n1a rins, d'un commu n acco rd , ont décidé d'emmener Rémy à bord. Pouvait-on le lo:sser m ourir de faim et de soif ? Ct d ons l'étroite ccbirie où l'ont inst a llé ~es nouveaux ornis, q émy, bien soi9ré, bien entouré, revient peu è oeu à Io vie. B:cn tôt le p e ! ; t g a rs est sur p ieds, tr ott non t un PE'LI p a rtout sur Je mer– veilleux nov.re dont iJ déco1. h re. a vec de gra nds é tonneï'lenrs 1oyeux, les prod eux mystères. Les canons surtout l'attirent. l ls sont si magni- « Feu ! » Dons un fraca s d e tonnerre . q:..1i a tout ébranlé dans ]'étroite cabine, le cm•p est parti.. dé.'à les matelots rechargent. Lo lampe rouge ·s'allume de nouveau... p uis encore. et b :e ntôt, su r le tablea u, o! )oo r oit l' inscription : u Feu continu n... Un sou r.re fier illumine le visage d es m a rins. Fe u cont in u, ce la veut dir~ que la visée est bonne et q ue l'ennemi, là-bas encoisoe tous les coups. Et les hommes de s'ac tiver, impeccables dons Jeur é p uisa nt se ry ice Tout à coup Rémy fronce l es sourcils De Io amis e t qu'il fout sauve r.. Dons un grand bond 11 soute en bos de Io pout relle . Le voici dans le te rrible nuage ~ui brù:e e t sent mouvais e t fa it tomber tous les hommes ... Un inst a nt il ch a ncelle e t !')UÎS non. sa volon té se ra o lus forte 11ue les dCtoillonccs de Io na t ure. Voici le té léphone.. D'une rn o 1n Qui ne veu t pas tremble r, Rém~· sa isit l'écoute u r, actionne l'ap– pareil e t ma lg ré ses ye ux qu i ple u re n t, sa go rge e n fe u e t les gros -" gong, g onq » qui ret en– t issent dons ses oreilles, il hurle de toutes ses flotte sur ses pieds nus, Rémy se hôte, une expression d'eff, _ i dons ses yeux noirs. C'est que, profitant d'une absence du sorcier, le petit oors s'est enfui tout à l'heure... Si le sorcier s'aperçoit de Io chose, s'il parvient à rejoindre le fugitif, sa vengeance sera terrible, il fout, il fout à t out prix lui échopper... De Jongues nuits Rémy marche ainsi, se cochant pendant le jour sous les fourrés, vivent de quelques poignées de fruits souvoqes. Enfin, voic i eue le paysage change, Io forêt s'éclaircit, le sol fiques derrière les t ourelles d'acier qui les protègent de leurs mu rs é:ia is de 37 cms !... Bien souvent .Rémy rôde autour des t ourelles et ce matin encore, il est là, attentif aux morn– dres gestes des morms... Une on.motion insolit e emplit le navire. De:;uis p lus d'une heure le ca~rtoine n 'a pas quitté Io pa sserelle, ses ju- 1nelles braquées sur l'horizon, et tout à coup un ord re retentit, bre f, impérieux : a: Branle-ba s de combat ! Des navires enne mis sont en vue, auxquels le c Tenace ~ , coûte que coûte, devient rocailleux et, tout à coup, devant les yeux éblou;s du petit noir, Io côte se dessir ~. surplombant jusqu'à l'infini une immense éte• .- due d'eau bleue. Pour mieux voir cette chose inouïe, Rémy s'avance iusou'è J'ex1rême bord de Io falaise. Hélas ! le sol friable cède brus– quement sous son poids... une roche se d é tache et voilà Rémy immobile sur la plage de galets.. Ses membres meurtris lui font mol, le ge,.,ou surtout... impossible de se relever... et t out autour Io place est déserte... obstinément , doit barrer Io route. En un clin d'œil les matelots gagnent leurs postes. Tout près de Rémy, onze hommes s'enferment dons la tou– relle, prêts à servir le monstre d'acier qui vo c.rocher a u dehors se charge de mit;oille ... Sons réfléchir, le pet it gars se précipite derrière eux ... Il était temps ! Io tourelle, déjà tourne... Sens ê t re vu, Rémy a ré ussi à se g lisser t out en haut, sur Io poutre en fer, ou-dessus du grand trou où sont ranqés les obus.. Déjô la pièce- est chargée... chacun des onze hommes, sons une fumée vient d'apparaît re dons Io tourelle. On • dons Io t ourelle, les 1norins seront asphyxiés, dirait, oui, c'esr bien cela, on diroiT qu'elle se ils tomberonr ... Sous les yeux affolés de Rémy, aégoge du canon. Qu'est-ce que cela veut dire ? ils s'écroulent. en effet, les uns o;irès les Rémy n'a jamais vu cela les autres f~is... En out res, su ffoqués par l'irrespirable atmosphère bas, les hommes s'inquièten t e ux a ussi. Et t ondis e t, ma lgré les hé roïques efforts de -:eux QL1! que le feu 'con t inue, Io voix du p rem ier m ait re tienne nt e ncore, le t ir, peu à peu se ra lert1t . s'élève, entre deux ex:;losions : • Le Morbec Rémy , af folé, s'ogiTe · sur so coutre. Peut -il o cloqué ! • Le M orbec, Rémy se l 'est foit rester là-haut, inutile, pendant que se déroule expliquer plusieurs fo.s, c'est l'appareil qui l'effroyable drame? Il fout, il fout qu'il fa'5e cha !:se o u d ehors les g az d 'ex::>losion. S'il n'e s- qL1elque chose pour sauver ses omis. . Ses sure p lus son service, les g a z vont se répand re yeux, soud1Jin, t ombent sur le té léohone. Voilà forces : • V it e.. vite . ici, tourelle de M . Lo– goat... tous h ommes y son t ;.iar terre, y a nL1age noir.. cou re;.. y ont dit... ma rbcc cla - ~ qué . venez. vite ! :o La voix du pe t it gars va en dimrnuant, il halète, rép à tc encore u ne fois : Le marbec.. », puis, é touffé , n'en pouvant pJus, i! dégringo le e t tombe comme les outres.. . su r les outres. Tro is minutes a près, le méca n icie n Louffa t é tai t là. Tondis qu'on e mpor tait à l'a ir les marins, il répa ra it l'ova ric et, très vi te, le · canon tira it de nouvea u. é ve n - t ron t cti5f:nitiv~menf un des b à tin'lent en e rn 1s .. Tou s les marins de t~\ Lo go'Jt serc .. ,nt sauvés. Mois Rém\. o lus ieune . rno -i:. résistoni, ne o ut ê tre ron1m(-. . Le lendcn c111 -son cor .::, sera · bé n i oo r l'our:îônie r d u bord pu is, Ce nr tou t l'équ iÔa c.e (!l11 rend le~ h •nne u rs le cao1- t·a ;n le recouvrira de ce drapeau ~ ricolore c,u'd a s i b ien servi, simplement e n brov~ pe tit gars... Picirc de Me t o OUS NE SAVEZ PAS DES JEUX... en voilà... Il A « eux ». - Allons, c"est bien ... Ça ira, demain. - Ah ! Veine !... Ils sont là huit, les huit c< as > de la ma îtrise, ceux dont les voix son t si pures qu'on a envie de rire et de pleurer à la fois quand on les entend. Il y a Jac– ques. Henri, J oseph, Jean, Daniel, Paul, Roger-1 et Roger-2. Ils sont réunis chez leur abbé. en ce ven– dred: de Pâqlles, pour une der– nière répétition. Demain ils doi– vent a ller, tous les huit, dans une p et ite ville voisine, contribuer au succès d'u ne séance récréa tive e t musicale. Et l'on comute sur eux: il faut que l'exécution soit par– faite. Seulement ils ne faisaient pas qu e de la musioue, les petits chante urs. Ils a vâ ient décidé de– puis longtemps, a vec leur abbé, q ue , cette année, pour Pâques, ils a a uraient quelqu'un »... Et ils y pensaient. à ce quelqu'un. Aussi, en ce tte fin de semaine pascale, une fois de plus, la question re– vient : - Di tes. Père, vous croyez q u 'on l'a eu ? - Eh ! mon pauvr e Jacques, tu sais bien o.u'ori ne connait ra p ro– ba blement jamais le résultat . m ais qu'est -ce que ça fait 0 .•• P as be– soin qu'on le connaisse pour ·u q u ïl existe. Et . si on ne l'a pas encore eu, on l'aura, c'est sûr. Vous croyez ? En douter, ma intenant, Ro– ger ? c·est mal. Mais il est tard, allez vite vous coucher... • Programmes!... Qui n'a pas son programme ? - Un programme. Madame ?... Deux fra ncs... et un numéro der– r ièr e qu i peut vou s doniler un su– per be :ot. C 'est la séance. la fameuse séa nce à lao uelle les « huit » ont Yenus pÏ·endre pa r t. Vraiment ils se sont distingués, dans la pr emiè r e partie. Ber ceu– ses, légendes, évocations, rengai– nes. tout avait eu un grand suc– cès. Mais voici qu'après l'entr 'acte un murmure d'admiration - et de respect, aussi - s'élève de la foule et que, spontanément, les a pplaudissements éclat ent. Les pe– tits chanteurs ont reparu sur la scène; seulement ce ne sont plus de joyeux garçons, ce sont... des moines, de délicieux petits moines en aube de laine blanche au ca– puchon rabattu, ceints d'un épa:s cordon blanc. C 'est le programme religieux, maintenant, et les enfants ont re– vê tu leur costume de chœur. A lors, dans le silence enfin re– venu, les voix se font entendre - ou plutôt une voix, u ne, car on n 'entend plus qu'une voix tant les timbr es sont fondus. Cette voix s'élève, d'abord très lente, t rès douce ; et puis elle monte, elle monte. si ardente, si pria nte, dans les belles invocations à Ma– r ie, qu'on se dema nde vraiment comment la Sainte Vierge pour– rait ne pas exaucer de telles priè– r es. Proqro mme.". . qui ira /'Os ~ou 11r •J[Jrat11me•.. Et plus d'un cœur a battu bien fort, et plus d'un r egard s'est voilé de larmes ava nt que l'émo– tion n 'éclate dans des applaudis– sements enthousiastes. Il a fallu recommencer et chanter d"a utr es prières e ncore. Enfin, c·est u n succès, un vrai e t p!e:n succès. _ Et les petits cha nteurs sont r e– par tis, le soir, un peu fatigués, mais combien heureux ! • Or. q uelques jours plus ta r d, l'abbé les rassemblait de nouveau chez lui. Il avait un air tout d rô– le, sérieux et rieur , un air de mystère. Sur son bureau il prit une e nveloppe que, sans r ien di– r e, il montra aux enfants : Monsieur le Directeur de la Maîtr ise, pour ses petits cha nteurs ». Et de l'enveloppe il tira une ca r te , u ne carte blanche qui con– tenait ces simples mots, su ivis ct·une signature illisible : Pâques 1941. il1erâ !... J'étais une brebfa· égarée c'est à vous quf' ;c dois do revenir uu be,.-cail. Il ne se dit pa s un mot, dans la chambre de l'a bbé, ce soir -là, ma is je crois bien que ce fut au t our des p etits chanteurs de sen– tir des picot ements dans les yeux. • Vous l'avez eu, petits chan- teurs, vous l'avez eu, Je gr and frère inconnu que vous vouliez a voir ! Vous ne savez pas quelle pu is– san ce \·ous a vez sur les g ran ds a vec vos voix si µures qu 'elles e n sont sur natur elles, - et il n'est pas nécessair e que vous le sa– chiez. Mais ce q u'il faut que vous snchiez, c·est que ce n'est pas seulement a vec vos voix q ue vous pouvez « avoir quelqu'u n », mais a ussi, mais surtout avec vos pr iè– res, vos effor ts, vos s~crifices. E t \·ous voyez... Pendant tout Je car ême, justement, vou. avez of– fert vos pr ières, vos effor ts, vos sacr ifices, pa r foi s bien méritoir es. Alors. \"OUS « l'a vez eu ». l'incon nu q ue vous vouliez ramener au Bon Dieu. Comment cela s'est fa it, il n"est pas nécessair e non plus q ue vous le sachiez, mais il est u n prêtre q ui le sait bien. lui , q ui a vu venir vers lui, au sortir d votre séa nce, les yeux e ncor e r ougis d'émotion, un grand mon– sieur à ba r be blanche q ui lui dit bientôt, à ge noux. dans l'ombre du confessionnal : - Mon P ère, il y a q ua ra nte a ns q ue je ne me suis pas con– fessé... J EAN D'ACRE out LES ll.MATEtlRS DU JEU DE QUILLES•.• Vite C.V. construisez cc jeu si simple qui vous diatrnira pendant vos vacances. Fa b rice.lion: Fo.ites d'l\~ord 12 petites ~ olonnes 0 section cnrr~c (A). Oégagu l"c.xtrémiti– supéricurc par une petite t.ntaille. Ceth:· partie forme.ra comme une sorte de dé. De:ninez sur les q uatre i .. cu comme sur un dé 1. 3. 2 et 4 points. 9 0 Foires ensuite un bloc rectangulaire (8 ) de dimension plus importante. Et enfin la pièce essentielle {C) un simple tronc de cône q ui remplnccro IQ boule. Règl~ du jtu : Sc joue â deux. DispoH.Z six quilll s de chaque côté du bloc (8). Pui~ C'haQuc joueur devra s'efforcer de ren· vt.rsc1 les quilles de son advcrsnire en fllisont roul.·r le petit tronc de cône (C). il dc'\·ra bien entendu cnlculcr Io trajectoire, le bloc (8) formant obsta· d e, pour l'envoyer diu.ctt.mcnt. Chaque fois que vous rcn\•ersez une Quille de •eotrc partenaire vous comptez. un point qu~ vous o.dditionncz o.u nombre indiq ué pnr 1,, dés. Avont de commencer Io. partie. ""OU5 déterminez le noml:re du coups d 'nttnques et le gngnantsero celui qui après 6 coups p:ir cxcm~ pie tol'11isern le plu> de point>. . ,...._~~~~~~~--~ "'~~~~d SOLtJTIONS DU NUMfRO PRtCEDENT QUI A TROUVÉ ? Ohé J c uisinier... M ots croisés C'est tout simplement de ln purée que prép:i.Jc Kito... milÎs quelle purée n'est-ce pt:".I ;i. Horizontolt!mtnt : 1. Zoulous ; 2. Et, Dito; Chua de s - 1-rond rule. hirondelle. Rat do, ro.dcou. Do.riz-fort, doryphore. 3. Nil. Lim ; 4. O•rc, Lm; 5. Bn. Lfci ; 6. l.mbc ; 7 Eliezer. A l'nlde, potlt frère : Vcrticalt m<nt: 1. Zenohie; 2. Orii nol ; 5. L r. .\lors. et et.lie cnscianc ~ EPICIER. voilà tout. Mi : 4. Ld. Elh ; 5. Oil, F<z ; 6. Utile ; 7. Sommier. Un Réb u!J : Aide-toi le cid t'aidcrn. Logognphes dêcroissanta. Qui de "'ous a réussi cette pt.tite gymn:: .s· tique grammatico.li: ... 1\1 E R L A N Ohé ! qoi va trouver ? L., 2 . ,·cu11!es <toient du L E M A N F.lles. lcur >eu\ frerc n·a L A M E pas de fri..re mlis dd A L E sœp~~ ·r un c~mion d'cs· L A scr.ce. le comble t .,, de A rnar~her ou wa:ogè:ne. SURTOUT DE LA PATIENCE N'est·cc pas o uÏ I en fou t pctÎh frères ! ~·01 cz les des– sins, cc n'est pas si simple... et si \·ow n °G\'CZ pu réussi essayez en vo us o.idnnt des ..___..,___,.__,___,,~ solutions... PAUVRE GtOGRAPHŒ En prenant d'nbord le chiffre inscrit dc.,.ont les villes pu;s celui des p::!.)'S, \'oici l'ordre rétabli. 1=9, 2= 2. 3= 7. 4=10. 5=1. 6=1 2. 7=3. 8= 13. 9=i . 10=4. ll "'- 11. 12=6. 13=8. UN PAYS DE COCAGNE CHOUX su EMBLAVE EST UNS/TE ENCHANTEUR .t>JT·ON . LE5 TOURISTES QUI EN VIENNENT, .4FF'IRMENTQUE LA VIE YES l/'IPOS518LE,. QUELLES EN SONT LES /VlULn PLES RAISONS? Cherchez b ien et envoyez-nous la liste d es c hoses invrai– s e mb lables conte – nues dans ce dessin. Par e xemple : la h a· lustrad e d u pon t empê che l es v oitu· r e s d e fran chir la voie ferr é e. Il y a 27 anomalies. A vous de trouve r les 2.6 autr es! e Le s d ix prell\Ïè· r es r éponses ju stes seront se u!e s r é com – p e na e e s pa r le s m ag n i fi qu e s pr i 2: ci-de ssus. Mais, at te n t i on, t o u tes l es l ett r es m ises â la poste après le mercredi de Pâ– q ues (16 avn l) ne se ront p as d é pouil– lée s , e t n'oubliez pas cle melh e, e n gros, dans le coin de votre le ttre , le n omb r e d 'an:lmal ies q ue vous aurez trouvées . Ad r c !>GC p o ur l'envoi da concours : R ôd oction C.V. Concoui8 de s anomalies 16, Rue Nicolaï, L yon (7•)

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