Cœurs Vaillants 1941

C'é tait large des Le so;eil bleu-vert brise. dons la mer de Timor, ou côtes de Io Nouvelle-GuinéP.. dardait sur les tJots d'un irréel, et il y avait ocu de Le vieux cargo c Cincinnati > qui portait un bien grand nom pour sa pauvre carcasse se balonço1t mollement sur les vooues, et, dé jà William Burck et son fils Otaient presque crê ts. Ils a vaient endossé leur t e nue de scaphandrier, et il ne res– tait plus que leu• casque à visser. - Heureuse plongée '... Jonça gaie– ment, de son poste, le timonier. C'était son habitude, et, pour rien ou monde, il n'eût négligé cette phrase. depuis qu'il appartenait à l'équipage du • Cincinnati •, le bo– teau-scaphandrc, comme on l'appelait. Cor le , Cincinnati • appartenait à une Compagnie qui le louait tou;ours avec un ou plusieurs scophondïiers, lorsque l'on avait à effectuer des re– cherches dons les oronds fonds. William Burck enregistra le souhait et se tourna vers Johny, son fils âgé de se ize ans, qui allait entreprendre Io même aventureuse carrière aue lui. - C'est surtout pour le petit qu'il faut faire vœu d 'heureuse plongée, dit-il, cor c'est se, première descente•... - Tout ira bien, père, j'en suis sûr! dit Johny a vec courage. lls descendaient, oour le comote d'une importante compoqnie d'ossuron– ces, à Io reche rche de l'épave du c Sa– moa , , un bateau de commerce qui a va it fait noufraqe quinze jours aupa– ravant, au c 0 urs d'un terrible typhon, et dont on n'avait pu, depuis, repérer l'emplacement. - Au casque !... dit quelqu'un. Docilement, les deux scaphandrie rs se prê tèrent à Io suorême opé ration de vissage, e t bientôt ils disparurent en– s~'."ble dons Io mer lumineuse, frangée d ecurne... Pouvaie nt-ils se douter de Io formi– dable aventure ciui les attendait ou cœ ur des abîmes sous-marins?... (] Maintenant, William Burck et son fils cheminaient dons le fond de Io me r. aussi paisiblement que s'ils se fussent trouvés à Io surface de Io terre. Ils suivaient, le Jang d'une falaise es– carpée, un petit sentier sab:onneux où leurs semelles de plomb enfonçaient comme dons de la boue. Si son père, accoutumé de longue dote à des plongées semblables, ne prê tait qu'une atte ntion distraite ou curieux paysage e nvironnant, il n'en était pas de même de Johny aui, écar– quillant des yeux derrière les vitres de son casque, ne oerdait rien de tout ce qui l'e ntourait . Il voya it frissonner e t se balancer les olQues comme des lia– nes en forê t vicrcic, virevolt er des pois– sons inconnus, l'entoure r des espèces animales ou végé tales iqnorées, onduler des nageoires, briller des veux é tra n– ges, scintiller des écailles, se presser des mollusquès tantôt féériques et tan– tôt monstrueux... Reliés, é videmment. ou a: Cincinna– ti • oor un cordage de secours, les deux scaphandriers pouvaient en 0L1tre com– muniquer entre eux par u n cornet acoustique ; mois ils s'éooronoient de parler tro!') souvent, afin de mé nager leur réserve d'air respirable, et tout oc– cup~s Qu'ils é ta ient d e surve iller le che– min qu'ils suivaie nt et ses environs... Toute fois, a u bout d 'une demi-heure de ce tte marche lente e t difficile, Wil– liam Burck fut en mesure d'annoncer : - Voilà l'épave du c Samoa • ... C'était vrai. Ils se trouvaient désor– mais à pied -d'œ uvrc, a lla ient pouvoir chondises en stock qui pouvaient s'y trouver. L •épave du c Samoa ~ se trouvait en fort piteux état. Le pauvre bateau gisait sur le flanc, montrent sa coque percée en maints endroits. Non sons difficultés, William 81Jrck et son fils s'engog.è rent, l'un derriè re l'autre , dons ce fatras de planches pourries e t d'objets hétéroclites. C'est ainsi qu'ils parvinrent rapidement à Io cale. Là, contrairement ou clair-obscur qui régnait jusqu'alors dans Io mer, pla– nait une plus orofonde obscurité. Les deux scaphandriers allumèrent leur tor– che é;ectrique, dont ils promenèrent le faisceau alentour. C'est oJors qu'ils reculèrent, avec un long frisson d'épouvante, incapables d'en croire leurs yeux, et Que Io terrifiante vision les assaillit pour ne plus les quit– ter ; elle devait les hanter longtemps ; ils ne l'oubi1eroient jamais !... Les mots s'étranglaient dans leur gorge, et, par leur petit téléphone sous-marin , les paroles ne leur parve– naient qu'indistinctes. Pourtant, ce fut Johny qui baibutio d'abord : - Ça remue, là-bas, dons le fond ! A fond de cale, en effet, dons les mystérieuses entrailles du • Samoa •, parmi l'amoncelleme nt sons forme des coisses, des barils, d es débris de toutes sortes, que lque chose remuait !... Bien– tôt , cela se précisa , et c'est de cette seconde que la terreur naquit... Les deux scaphandriers recu.lèrent e t, sous leurs vêtements caoutchoutés, ils trem– blaient de tous leurs membres... Jamais ils n 'avaie nt vu cela !... - Un crabe'... gémit William Burck, qui ne croyait Dos e ncore se tromper. Mois quel crabe !... Un crabe géorit, un véritable monstre !... D'immenses pinces tentaculaires se glissaient en effet sous l'ornas des épa– ves, faisant basculer des coisses et rou– ler des tonneaux. Rien ne semblait ré– sister à sa marche lente, mois sûre. Et sa sombre carapace, bombée, brillante, émergeait peu à peu de tous ces dé- bris, suroissoit, t e lle une apparition, de l'épave du • Samoa , ... S'il n'y a vait eu Que cela !.. Tout à coup, William Burck et son fils se sent irent cloués sur place par une t e rre ur e ncore p lus vive !... Ils gémirent, hallucinés : _: Le crabe !... Au secours !... Il a une tê te d'homme !... Mais Quel secours pouvaient-ils es– pé rer, perdus au fond des mers près d'un bateau coulé, face à face avec ce monstre inconnu : l'homme-crabe de Io mer de Timor ?... Le monstre avait une tê te humaine, qui oscillait à l'avant de sa coro1Joce, rondis que s'og;toie nt ses mandibules énormes. Une téte d'homme qui, en pleine eau, se tournait, vivait , ne pa– ro.ssait ressentir absolument aucun ef– fet de suffocation. Comment n'était-il pas é touffé ? Comment Cie se noyait- il pas, ce fabuleux, ce fantastique, cet invraisemblable homme-crabe ?... IE.t voici que Io tête parlait 1••• Oui, elle parlait, mois l'on n'e nten.. doit rien de ce qu'e lle disait. Lo bou– che s'ouvra it , dém esuré ment, comme pour un cri, co mme cour· un appe l !... Et Io mer n'y péné trait pas !... Et le flot ne renfonçait pas cette exclama– tio n dons Io ooroe, t andis que roula ient dons leurs orbites deux yeux hagards, inoubliables !... leurs lourdes semelles dP. plomb s'ag– glutinaient au sable ; leurs chevilles s'entravaient dans des a:gues ; ils écrasaie nt des crustacés, réduisaient e n bouillie des mollusques et mettaie nt en déroute les poissons des grands fonds et les étoiles de mer, ceoendant que, derriè re eux, se déoooeont totalement d e l'épave du c Samoa •, les pours11i– voit l'homme-crabe de Io mer de Ti– mor, dans un vertige . d'angoisse sons cesse Qrandissant, une oqonie tragique de terreur surhumaine !... - Au secours !... Au secours !... Ils balbutiaient ces mots encore, tondis qu'ils reprenaient le chemin de Io surface, du soleil, des hommes, qu'on les halait, désemparé~, haqards, trem– blants, à bord du vieux· • Cincinnati • ... Mainten'ant, William Burck et son fils recouvraient lenteme nt conscience, sur le pont du • Cincinnati • . Ils avaient à peine eu le loisir de raconter par bribes leur aventure, en phrases entrecoupées, lorsau'un léger remous se produisit à Io surface de la mer b:eue. Le c Cincinnati • s'était immobilisé à quelque distance d'une barriè re de corail, et c'est là aue sur– gissait soudain, dans un halo d'écume, l'homme-crabe de Io mer de Timor !... - C'est lui !... hurlèrent les deux scaphandriers. Ils a vaient quitté leur casque, gar– daient encore leur scaphandre et trem– blaient comme des enfants !... Sur l'attoll d'un rouae sanglant , l'homme-cra be se hissait, lentement, et b ientôt il s'y jucha complètement. On ovoit vu d'abord sa tête jaillir de l'eau, dons un collier d'écume... - Lo chaloupe à Io mer !... cric le copito:ne du c Cincinnati ,. , un vieux loup de mer qui n'avait peur de rien. On en aurait le cœur net !... Il fal– loit savoir à tout prix que l éto it ce monstre fantastique !... Avec une stupeur bien compréhensi– ble, le cœur encore serré oor l'angoisse rles c;ironds fonds, William Burck et soC1 fi ls virent la chaloupe accoster l'ottoll, les marins débarquer l'orme au poing, et Io silhouette d'un homme, son corps ent:er, se d~Qoger de Io carapace du crabe. L'inconnu fut pris à bord, et c'est sur le pont du « Cincinnati ,. Que s'échangè rent les su!)rêmes explications, que l'é nig me fut enfin réso:ue ... - Perme ttez-moi de me présent er, di.t l'homme-crabe. lnoénieur Stoncer Oomynes, d e Boston. J'exr::oêrimente un nouveau tank sous-mari~ destiné à l'exploration des grandes profondeurs. Par sui te d 'une fausse mcnœuvre, ie me suis littéralement • embourbé • dons l'épave du c Samoa • , parmi tout son chargement dé membré, e t j'ai eu t o utes les peines du monde à m'en d é– gager. Lo Providence m'envoya bien ces d eu x scaphandriers, mois ils ont pris peur, e t j'ai dû, enfin me débrouille r tout seul... ' William Burck et son fils ouvro'ent de grands yeux. abasourdis mois enfin ro!>surés. Le premier auestionno : - Ma's comment faites-vous garder la tê te libre sous l'eau ? pe ur - La tê te libre? ré;.>artit le savant. Jamais de Io vie !... Je porte u n cas– que entièrem ent trons9arent, ce oui a p u vous foire croire cela... Les deux Burck comprirent alors pourquo i il:; avaient pu s'abuser ainsi, pourquoi ils n'e ntendaient rien lorsque Io tê te parlait... visiter les cales du navire n oufroQé afin de vé rifier approximativeme nt les mar- A ce tte vue, William Burck et Johny, épouvantés, p rirent ln fuite comme ils cr-::f.~;:::=~::::J;:::::!l!~~=:;;:;~'.!:!~:l!!!~ le pouvaient, actionnant avec une hâ t e fiévreuse le sianaJ de remontP.e. Ils bu– taie nt contre les a spérités rocheuses ; Lo journée s'acheva dons Io cord:o– lité, à bord du • Cincinnati •, oû l'on fêta comme il convena it l'invention de St oncer Domynes. Grâce à ce lle-ci, ou cours d'une nouvelle p ionc ée, l'épave du o: Samoa fut inventoriée sons peine de fond e n comble, et bientôt s'oublia le temps des épouvantes... André LIVREUSES. T out lecteur du journal qui veut nousaider à refaire Io France se fit!,,,,..==~~""'"""""'"l!!!E===-aali!!!!l!F,,,..O!l!!!~--11!!1!-.-.1111,.."'""!!l!!!B:!!!!!!l!!!!!l!!!!l!!l~!!!l!!m doit de distribuer C!llll moins BO @~fiches elle 1111ctre gli"onde campcaglille pasca~e. Es-fu des nôtres ? Oui ? Alors écris-nous de suite... ... à l'administration C.V., 16, Rue Nicolaï, Lyon (7°) en joignant 2 frs. en timbres à Io lettre. QUANT A VOUS ISOLtS : Vous avez dû foire la semaine dernière nécessaires pour o!teindrc les familles que Cette semaine, vous ullez faire, '-'OUS Ccr.trc National. le compte des affiches qui vous ·seront vous avez J écidé de visiter. aussi, votre commande d'affiches ou Faites bien attention : Si vous envoyez l'nrgent en même tempe que la com· monde (à C.V.• Ch. P. Lyon 891-20) vous n'aurez pas n payer de frais de port. Le prix des affiches variera ouivoni le nombre commandé (voir ci-dessous les prix donnés aux G roupc9 ) . M~is il e9t bien cn"eadu qu'il aucun prix vous ne devez vous contenter de commondcr une seule offiche - un petit gors qui a du cran (et vous en ête1' naturellement) do "t pouvoir distribuer tltl moins 10 alfiches, et encore, cc n'est pas beaucoup pour un vrai C .V... Si nous regardions un peu notre carto d'oscen!ion ? !.'étopa è l!Mjuellc nous sommes arrivés se déroule en plein brouillard et le brouillard, tu le S<Jis au~si bien que moi, cc n'est pas drôle du tout. Il y o des jours oil an arrive à le vaincre, 11 y o des jours auss; où mo!gré taus les efforts, Il tient bon, tenace et perfide et où on o envie de a'arrôtcr ou bord do la route parce qu'on ne voit plus rien ni du but à otteindre, ni des moyer.s à prendre pour y arriver. Ce brouillard, petit frère, on no le. rencontre pas seulement sur los sentiero de montagne, mais aussi certains jours à tous les tournanh de so vie d'éco– lier, d'apôtre, de Cœur Vaillant, et ce sont alors les activités difficiles, les équipiers hésitants, la campagne pascale impossible à mettre en route... Quo foire dans ce cas ? s'arrêter•.• attendre••, ralentir son effort••• Reculer ? Jamais de Io vie 1 Parce que reculer en plein brouillard c'est le meilleur moyen de se casser le nez ; ensuite parco quo lorsqu'on marche avec le Christ ot qu'on est nombreux à le suivre, unis, d'un cœur vai!lant, on finit toujours, en s'aidant les uns les autres, par triompher de tous les obstacles ot de toutes !en difficultés. Chaque ' matin, dans ta prière de C.V., tu demandes au Christ do a te faire l'honneur de l'aider à sauver .le monde D ; ta campagne poscole c'est ~o.1r cela, avant tout, que tu l'as entreprise. ·Or pour sauver Io monde iu sais le chemin qu'il faut prendre 7 Un chemin difficile, où l'on peine, où l'on souffre, mois un chemin aussi où l'on est sûr d'arriver à la victoire. Sur ce chemin le Guide est là qui t'attend. Avec tes petits efforts, avec tes petites difficultés, il fera Lui, des choses magnifiques. Qu'imJ>orte si tu ne les vois pas tout do suite. Un jour, ou Ciel, Jésus te montrera ton vrai carnet d'alpiniste, un carnet sur lequel seront inscrits les noms de tous ceux qui auront trouvé Io Bonheur parce que tu auras ton~ bon, certains jours, sur la route obscure et difficile, en plein brouillard. L'ALPINISTE. CONSIGNES PRATIQUES DE LA SEMAINE Cœur Vaillant, TaloDtahe de la campagDe du Christ, retiens bien ceci : 27 MARS: dernière limite pour expédier au Centre National Jo derniè .. re commande d'alli– ches.•• 26 MARS: dernière limite pour remettre à Io Com– m1..100 Géogrnphi– que le total des re– censementg de toutes les équipes... 25 MARS: dernière limite pour terminer soi·même ce recensement iet ea donner la liste à son chef d'équl– pe... Par conséquent, attention Il ne •'~git P•• de te réveiller le 27 mars au matin en t'apercevant que tu n'as pas encore terminé ton receosement..• tu r:iterois tnute ton a ffaire et, ce qui est plus grave, ferais rJter la campugne de tout le Groupe. Doac, dès au– jourd'hui : - vérifie soigneusement si tu n'es pas en r etard sur le plan de ta tournée de recensement. Aucune famiJ~e ne doit être oubliée... ropelle-toi 'ce que nous t'avons dit à ce eujet, la semnioe der– nière... - n'oublie pas d'empofter en tour~ nu. papier et crayon et de merquerl sitôt sorti de Io maison, le nombre d'of– ficheo qu'il faudra y distribuer. - recopie bien soigneusement les chiffres obtenus. Et surtout, prends ta tâche au sé· rieux. 11 dépend · de toi qu'à Pâques, 1es familles dont Je Christ t'a confié la responsabilité, retrouvent ou non, le chemin da Bonheur. TRAV AIL DES COMMISSIONS Lo Commission Géographique éta– bJjra les statistiques résultant du re. ·censemeot fait par le~ équipes. Pour cela : - elle veillera ii ce que le recense.. ment soit entière· ment terminé pour les premiers jours de la semaine. - elle s'assurera que tous les chefs d'équipe Jui ont bien remis, pour mercredi soir 26 mars au plus torrl, toutes leurs feuilles et que ces feuilles totalisent bico les listes établies ·par toutes les équipes. - elle fera rapidement le total de ces feuJlles. - elÏe en remettra le chjffre à la Commission des Finances jeudi matin 27 mars au plus tard. - elle fern, avec les chiffres ob~e· ous, un petit tableau de recensement (graphique) 'i,UÎ pourra être affiché sur la carte d'ascension avec an dessio, ou soi~neusement not~ pour 1c ropport que le Groupe devra envoyer eu C. N. après Pô.ques. la Commis!.ion des Finance~ devrs CODJt:)léter sans fnute, jeudi 27 mars sn cQmmande exacte d'affiches RU Centre National. Ceci est très important. IJ faut compter, en ef– fet, plus de 8 jours pour ta réception, l'e:'{pédition, l'achemi· nement des commnn. de•. Toutes celles QiJÎ nous seraient envoyées après le 27 mars risqueraient de ne pas arriver au Groupe pour le J eudi.Saint et il est bien évident qu'a ne llffiche distri– buée après cette date ne remplirnit plue 6a mission. Donc cette semaine, la Commission : - notera soigneusement te chiffre exact d'affiches nécessaires à. Io cam– pagne (chiffre remis pBr la Commis· sion Géographique). - déduira de ce chiffre celui de ln première commende passêc au C.N. la sema:ne dernière. - établira immédiotcrnent mande complémentaire. une corn- - ,.,~;om ~~ Kil commoodc u plus =- / ~ tard jeudi soir 27 -::=_ mors à : AdmioÏB· ~ .... -e- tr~tioo C.V., 16, rue -::- ; N1eolai, Lyon. (7o). ,;: - y joindra le montant de Io com- mande (chèque postal • ·-_.- Lyon 891-20), moo- tont calculé d'après les prix donnés la semaine dernière. Si Io Commi1rnioo n'avait pu se procurer à temps )'ar• gent nécessaire à ce paiement, elle pourra envoyer QUaDd même B!! eom· mande ou C .N ., mais devra attendre la facture qui lai sera adressée pour ré· gler Ba commopde, cor cette facture sero augmentée dee frais de port im· possibles è connaitre à l'avance et dont il est fait cadeau aux commonde9 occompagoées immédiatement de leur pniement. la Cammis•ion de• Malades affi, cbero ou coin des malades, soue le titre : EUX ET NOUS, dee extrnita des lettres reçues des maleidee qci font Io Campagne ovec le Groupe. Tout le Groupe doit savoir qa'il peut compter sur l'aide précieuse des « plos vail– lants »- La Commission Prière~ et Sacrifices ouvrira le trooc qu'ct1e a in:itellé au Groupe pour recueillir les sacrifice9 laits par les C.V. D'après les résulta'.• \'/1 obtenus elle fabn- ) ,. • -:: quero des des!lÎns à - ~ 1 ...... : afficher sur Io carte / _..._.,. o · d'ascension p~ur moo· / l \".. •• 0 tr~! que, grace . 6 aux ~- pr1eres et socr1 ces - deo C.V. on peut avoir confiance dons le r ésultat final do la. compagne. A ]•étape 12 Io montagne, our Io carte, eet couverte de nuages qui rcp ré!;CO• tcnt ies dïficultês rencontrées dano la compagne. Lo Commission peut reprb oenter cela por des rayons de lumière chassant les nua(lee et éclairant la 13istc où monte la cordée. Lo C ommission continuera d'ail1cur!I à rée!am~r !~ prières et sacrificcn do tous, on op· p roche du but, ce n'cot pa::i Je moment de ralentir les efforts. ••• c li>DAS votre: article de m C.V• .,o 3 sur u le pè.e du sf;i o, ii y o uno erreur. L' abbé BJoQ", originaiec c9c Ma ngot, 0 0 f -.iC- c::ur.S de Besse, dans le i?1Jv-do-Dôme ; c'est dan• cotte parois._<-0 qa'il in~roduisil les pvot71iof'S Gkis, e n 1902... Nos cnl'cm~s vevcndiqu1111t. pour le~r . •. " poyo 6'h onnou: d'o vo1r vu nas- h'v on ~vont~ les premiers skis z> ••• El oous uoi!à salisfaits, Cœurs Vai//auts do Bessa qui aDc:: rtûson de tenfr au Patrimoine do votre ~ oillagc. Aimer sa petite patrie, c'est se préparer à bien seroir la grande, et nous som'?'es heurctJ:r da rcrulrc ici homm age à votre paro•ssc ot au uaillant abbé qui en fui jadis Io pasteur. Je suis ollé eu kiosque de jouraioux pour a cheter quatre albums àe Jim Boum pour moi c~ mes copains... y en avait plus... alors, j'ai acheté q1:.1cï rc ouircs albums... mois, en le~ li.. sonai.. je crois bien que ce sont des gangsters•• ~ Ir--.. Et vous n'avez qiie ce qua oous meriie;z, JcarJ G... de L))Ott. Car onfiu, ooyons, lrouvc::-rJous que cc soit très astuc·ou:r J9a.. chetor ainsi n'imporl6 QMoi, ' n'importe commottt . alor! Qr.JB tmtt et tant de fois on oous o dit qu'un guron intclUcc•l 41- oait toujours se mi/~sr des j our11aux o:.i alb ums ms.lticoloros où les gangsters dissimulcr:;t leur t1Uaine marchandiso? Votre ma-. mon, vos amis, oous ®aient dortné de l'argent pour at.hcter Jim Boum... trouvc:I•rJOUS très chic de l'avoir si mal arnp 'oyéP S'il n'y aoail plus d'albums de Jim Boum au klosquo où vous êtes allé, il /allait nous on commander ici, tout sim– plement. V ous awrie;r ~u d~ chics avetf.tures à liro... des aventures digna• d'un Cœur Vaillanl. ••• a Pour votre page de jeux, je vous envoie uno poulie en bois de mon invention D ••• Bile est peut-être très astu· ~· cicius,. ootrc ittoestion, Jean D. __ ,' 0 de Grasse, soMlemcnt, nou! - - -- auo•s boaw être de oietJ$ teeh. riicieas m bricolage, noas som• -... mes obligés d'avouer que ~OU! :: a'y comprenon• pas grand'cho- - • 'lu , o... Na jtotJ.rrie:r-oosu 11ou.s en:Joycr des explications sup. · p/émentafros, aous dire com· m~:at DO"s aoe:s fabriqué rJOlre poulie d à quoi c!lo t11Mt s~jr f ?Jou" &Tana reçu cette aema,ille des jeux de: D. Anrèo. R. S,,vy, D. Cimon, A. Tavaux. A. Nouvel A. Gelin, R. Dieu, X. Noir de Cha.zoumc.s, P. Marnnt, R. Démumieux, R. Morand, T. Rey. R. Martin, F. Tovcrnier. A. Leneutre, R Muller. M. Barbier. A. Forlet, Ch. Maurel, Molllfe, J. C. Aubin. L. Bertrund, R. M,, M. Sperry. Groupe de la Navorre. M. Dulourd MOTS CROISÉS. HOR IZONTALEMENT. - 1, Terre entourée d'eau. - 2. Poinçon de cordonnier. - 3. Re– mue. - 4. Triage. - 5. Abréviation de repor– tez-vous à ; Io p lus belle ; symbole de ''erbium. - 6 . Change ; de bonne heure. - 1. Baver· dage ; <estreindre. - 8. Peigne qui sert à diviser les fibres du lin ; monnaies ita liennes. - 9. Note; h ausse ; en les. - 10. Un des héros de • La Cité Perdue •. - 11. En désordre. 12. Découpé d'une manière sinueuse. - 13. Si– tué. -\ .2i~k5 ~ _..."-'!-................ % lA ~ ~ " .M ~t .... 11---1~-"'~· ~~ -4--+--f'lll""""-' VERTICALEMENT. - 1. Marche. - 2. Me t– tre e n ordre. •- 3, Nom que se donnent entre eux les religieux. - 4. Partira. - 5, Phonét. : e cclésias tique ; femme d 'un roi ; en ces. 6. Se rf, chez les Spartiates ; pierre d'un bleu d'azur magnifique. 7. Orner de fleurs ; prénom féminin. 8. Arme ; poison. 9. Deux voyelles ; prénom masculin ; pronom pe rsonnel. - 10. Partisan. .- 11 . Allonge. 12. Cérémonies. - 13. Venus ou monde. Oh ! Oh! encore une colle 1 Pourquoi ies petito agneaux ne vont· ilD p as e n p aradis? Quelle eat la ville que toua les pêcileurs voud raie nt habite r ? Quelle est la toile d'araignée du caractère ? Vous savez que les Chinois som trèo ingé nieux, maiB que font-ils des pea ux de bananes? Que neu•-oo dire d 'un oiseau sur un arbre ? Une pomme qui vie nt de Rome , comment l'appelle- t-on ? Qui va trouver ? bonne chazice••• Un peu de changement ! Au déport, ie suis une S••us-préfecture du Jura En changeent mo t~le vous ov~z : ) Q un..: par-tic du por1 où !l 0 0111orre-nf les boleoua. 2° point de la ferre difficile à atteindre. 3° ce qu·ou thêBtre tiennenl lf's orti.s1es. 4 poi!!son estimé des gourmeb . j 0 • ploque de fer cannant oouo le mortuu. 6° cc que foit l'oiaeou dons le5 eirs. Ont mérité d'être groupes suivants qui se activités proposées par bonheur : cités à l'ordre du jour des Cœurs Vaillants les sont mis, avec un magnifique ent rain, à réaliser les le Mouvement pour la gr a nde ascension vers le GROUPE NOTRE-DAME DE VALENCE D'AGIEN Ont recueilli pour le Secours National la somme de 295 fr. en vendant dans les rues des photos du Mar échal. Le jeudi suivant ont parcouru la ville et la campagne avec des charretons décorés aux couleu rs nationales et ont recueilli 7 à 800 kilos de vêtements et une somme de 1.000 f r. pciur le Secours National. A deux reprises ont passé leu rs heures d e promenade à rafüasser du bois pour les pau vres. Ont fait la neuv aine à la Sainte Vierge et l'ont clôturée par une magnifique cérémonie à laquelle ils avaient amené leurs parents. GROUPE SAINT-JOSEPH DE BOURG-DE-PEAGE . Ont recueilli pour la campagne des pauvr es du linge, des ustensiles de cmsme qu'ils ont porté au local de la L.O.C. Ont créé au Groupe une tirelire des pauvres qui contient déjà plus de 100 fr. Sont allés réciter pendant la neuvaine à N. D. de Lourdes leur dizaine de chapelet les b r as en croix priant non seulement pour la F r ance mais pour tous les peuples Qui souffrent de la guerre. GROUPE N.·D. IDU S.-C. DE CASSERAS Se sont mis à fond à la campagne des pauvres. L 'équipe des Ardents a ramassé 200 kgs de vêtemen ts, 150 kgs de chaussures et 525 fr. 75 qui lui ont permis de secourir 15 familles pauvres. N'a pas hésité à faire pour cela 15 kms à. pied. Au quatorzième kilomètre, n'en pouvant plus, est allée faire une visite au Saint-Sacrement pour reprendre des for ces. L'équipe des Cœurs d 'Or a r amassé plus de 100 fr., plus de 70 kgs de vêtements, secour u 5 familles pauvres et fait plus de 7 krns à pied. GROUPE SAINT E-THERESE DE BRIGNAIS En dépit du froid, de la neige, des campagnes déjà réalisées par d'autr es groupements, a réussi à récolter 325 fr. et à faire une vingtaine de paquets pour les pauvres, n 'hésitant pas à parcourir pour cela des h ameaux très éloignés du pays. A pu secourir ainsi 8 familles nécessiteuses. LE MOUVEMENT C. V. Et vous autres, Cœurs Vaillants de partout qui, à travers villes et villages, vivez gaiement l'idéal de votre ch ic Mouvement, écrivez-nom! pour nous dire ce que vous faites, nous serons fiers de vous citer, vous aussi, à l'ordre des C. V. de France. RÉPONSE Sur le Gtade du Foyer du Mario, à Toulon. U ne foule immense entoure le stade où évoluent les gymnastes. Les étendards dco différents groupements cloquent au vent : M . Lomirund préside, nu milieu de l'enthousiasme générut, une réunion des groupements de jeunense. Le voici qui descend sur la piotc pour a'cntrc~ tenir avec les cheb de groupe. Un 6tcndard C.V. est lù, fier et joyeux sous le solc:l. ~i. Lomiraod s'arrête aussitôt : - Ah 1 les chers Cœurs Vaillants 1 Où est le chef de la bonde ? Les petits gars (ils sont 12 en tout) se regar– dent un instant, puis poussent devant eux un des 1curs, qui porte sur son béret l'étoile des chefs d' &quipc. M. Lo. mira.nd s ourit : - E h bien, mon petit chef, combien êtes-Vbus ? Le petit chef a 1·ctrouvé tout son aplomb - Oh t mois: on n'est ~os tous ici. - Et où sont 1cs outres ? - Au Mourillon. - Combien ? - Cent vingt. - T rès bien. Et u'cst-ce qu'on vous apprend aux: Cœurs Vaillants.? - A nous aimer los uns les autres. La réponse a ja illi claire, nette, fière comme un idé31. Et M. Lnmirand de répéter gravement : - S'aimer les uns les autres : la plus belle parole qui oit jamais ét é dite.. . Bravo, mes petits, et l'an prochain vous serez 240, n'est-cc pils ? Cœurs Vaillants, Qu'un de vos petits de ceux qui aident tûche, !] retenez bien cette réponse frères vient de faire il l'un le Moréch~I daoa so lourde Elle résume en un mot tout votre progrnmmc. Elle montre à vos chefs que pour cons!ruirc la France nouvelle, celle qui, suivant le mot de Péto.in à S t-Etienne, <I se bâtit dans l'amour et duns la jo:c », ils peuvent comi»tcr sur nous à food. C'est avec nous, parce que ·noua apprenons à nous a imer et à nous cntr'aidcr, C'l\lC la F ronce redeviendra cc qu'elle n'aurait ja mais dû cc::rncr d'être : unie, forte 1 chrétienne. J . B. Pour discu ter entre vous •.. • Jl. propoo de notre campagno. Comment peu/..;I u avoir du brouillard J:Ur notre roule ck tow les jours 1 v ·où oient-il ) Que peul-être ce brouillard Jaru notre campagne Pascale ) Pourquoi ne J.aj/.. j/ pa.s now décourager ) C. mmrnt faut-il /aire quand tout va mal ) Qui peut now aider ) QuclJ ~ont ceux que le Chrüt a mis p r( J: de now pour a.là ) Pourquoi eJt.. ce normal dt rencontrer des dif/icultiJ çuand on veut aider le Chrùl d sauver le monde ? - Pourquoi e.sl -il lrb im.f>Ortant de ne PaJ te mtltre en retard Pout Ion reccrucm.enl de.J / amille.J ) Q uand doit-il élre terminé ) A propon dc:J hfotohoo do co num.éro. Jean-Françoio, - Pourquoi ]ean-Françoi• n"a-t-il pru oDat touJ dt 3uite d"allt:r lui rn.Emc daru la maiJon Haute} Un bon chef ne <Ùvraih'I PaJ aar<Ùr peur lui 1,. minioru diJ/icil" ) . ~-~~--------~~-------~·-~------~~------~-rm••·~~w• ) ~-~ ~~ ~~~~ ""w ~ ~~- ) E.t-il le ,.,./ ) Quelle iclù /'affiche <ÙJ CV doit-elle /aire P••- «A J'ôppe/ de Dieu, lô Sainte Vierge. 25 sôns hésiter, ô répondu : OUI » MARS Cœur Vaillant, pour faire connaître la Chris t, c'est à toi que Dieu fait appel aujourd'hui. Es-tu prêt, toi aussi, à SERVIR ? Des jeux ••• BRICOLEURS! voici le printemps et les beaux jours..• Pour que votre papa puisse se re- poser le soir au jardin, fabdquez-lut cette chaise légère el pra tique. Pr'enez des plnnches de 27 mm. d.épaisseur et de 5 cm. de la rgeur ' pré– alablement nettoyées et possée.s au pa– pier" de verre. Ces lames constitueront las pieds et le.s deux montants de la chai.se 1 pour les fixer entre elles ( aux end roits indiqués sur le dessin) il serait préfér•ble d'employer des boulons. Quand ô la le.me du dossier reliant les deux montants , elle se com pose d'une planche de 10 à 15 cm. de large. Les pet.iles plaquatt.es du siège sont. composées de liteaux dont les bords Des problèmes ardus... 1) - Lo mkhe d"~ne lampe è pélrolc est devenue frop courte Si vous n'ovez pas de m~chr de rechange et si vous mon– quez de pêlrole, que failes·vou• pour a:lumer votre lampe? 2) • Un homme d'ofToires ottendait depuis quelques t•mp• une ltlfrc très imporlonfe. Appelé à AVIGNON, il dit à sa femme. avant de porlir , de lui envoyer ccfle lellre dès qu'elle la recevrait. li est ii AVIGNON. Le l•mps passe •I il ne rcçoil pos de lettreit.. Devant retourm•r dons sa v,lle il envoie ô se femme un téf, gramme pour sovoir si le lelfre n'est P"!l en r nufe. •· Je n"ai pas encore reçu le lettre. Stop - ·· Où esl elle"' ? Q uelques moments plus lord. il reçoil un mot dt sa femme. •• Tu es croporte lo!!I cld .te Io boi1e ou:ir: lettres!..•• l•homme d'affaires. mécontent de lu, s'empr~sse de réparer son erreur. Il envoie Io clef sous enveloppe en annonçenl qu'il co 11plc encore rcslcr une huiloine de jours 8 AVIGNON. el qu'il ollcndra de recevoir Io lc:tlre Les huil jours sëcuulent, cl l'homme d ofl.sire!J ne reçoit pas la leflrf' désirée. ni de ré– ponse de son épouse: Ou" s'est-il donc- oessé ' Q uel ~31 /'03/ucleux qui nou3 enverra Io vraie 30/ution du J~rnicr probUme ~ Un Rébus. .-L, -œ:y-~r~tzit~ 1 1-t:ài~ Je. ~ ' ~ ~ c~ . (Solutions au prochain 11um6ro) ont. été échancrés de façon à les foire pénét rer da ns les deux pla nêhëS qu ils doivent. recouvrir, puis Cn!iuit.c I< s clouer avec de petites pointes q •e vous enfoncez bien (Il ne s·ogit. pa!> de dé– chirer robe ou pantalon, avec le.s reS• trictions, ce serait désastreux..) Enfin , pour terminer, vous passe– rez u ne première couche de peinture, puis quand elle .sera sèche, vous ·en passerez une seconde, pas à la façon d"un barbouillage, mals dans le sens du bois. Alor:s, vite menuisiers... à voa établis. ( Envoi àe R. Vawu not) Le tracte ur. Un propriétaire p ortant de A avec son troc- teur doit a ller reioin- .-------:,..-- --, dre ses ouvriers pour A {) 0 ID000 0 t rovoille r un chomp qui se trouve à B, ff#<> ("\\} n sans avoir à traverser Q{)• G? 0 v.n a; 0 0. 0 ~ les taillis, ni à reven ir /) (:1-/ 0 sur ses pas, ni à COU- ve r--.C:... [}. 0 !\ ,Q D" per un chemin déjà (.,.J ~ v'-' Ll parcouru. Sachant qu'il !ft 0008")~ va d'un point noir à 0 g. 0 0,(J1~r-.ll~ un point bla nc, puis "'' 0 v-' u à un noir et a insi de • ODo ~ rs suite (en ligne droite) {} ~ Q . (/'O ~D quel est le chem if' v--;: • () 0 \J !' qu'a pris le tracteur ? 0 O• \;!,• 0 Astuce. Quel est le chiffre qu i, employé 8 fois dons une addition, produ it exactement le nombre 1.000 ? Histoire de soupe. Le capitaine fait le tour aux cuisines, il soulève le couvercle d'une ma rmite qui fume. Cette soupe est-e lle bonne? - Mon capita ine... - Pas d'explica t ion ! Poua h ! ! ! c'est une véritable ea u de vaisse lle ! Cuisinier, qu'ovez– vous à répondre ? - Que c'est just ement de l'eau de va isselle, mon capitaine. Lo soupe, c 1 cst Io marmite d 'en face ! :er doru ICJ famille" ) Quel doit en être /e r6ultat ) Comment f ere:::.-volil pour qu.il soit atteint ) 25 Mars • Quel apt><I Dieu a-t-il adrwé à la S te-Vieinc le 25 mar.s ' Cet apf>tl à qui l'adresse-t-il aujourd"hui ~ Com ment peux.tu !J ripondre ? Comment la Stc~Vic:rae Ptut-eflr t'aider à 3t.rvir ? Une flèro r6ponoe. • Que 1><n:CJ-tu de la ''"°"" du chef d"équipe à M . Lamirand ? f3/.. ce vraiment-là l'e.sxntiel Je: cc qu"on apprend aux C V ? Pourquoi ? Pourquoi celà c!Dit-il donna confiance aux chefs qui ruulcnl bûtir avec now la Franc< nouvelle? .Il vous les savants... On y trouve l'olivier e t le c itronnier On l'a su rnommée l'ile de Beauté Elle vit naitre un• gra nd génie fra nçais. Il fut poète, a cadémicien et député Il est né dons une ville ou bord de Io ·Saône Il o é crit un poème sur le. Io cdu Bourget. Il fut précepteur d'un dauphin de France Il fut évêque de Dijon Il fit des Oraisons funèbres q ui sont restées célèbres. C'est une des plus vastes créa tions du monde Elle o de nombreux bras Ceux qui travaillent a vec elle ne peuvent 'Plus . s'en détacher. Des lettres sont cachées. Les let tres de l'a lpha bet · sont mêlées e t il en ma n– que que lques-unes avec lesque lles il vous foui trouver le nom d'une villE de Fronce. (Solutlone a.u prochain nuinéro) Qui a trouvé? - SOLUTIONS DU NUMÉRO PRÉCÉDENT - Des moto crols6s. Horizontnlement : 1. Fou. ère: 2. E>tercl : 3. Re, Pipo ; 4. Mil, Net ; 5. Alep, Ti ; 6. Il, Amen : 7, Lee· ture. Verticnlornent : 1. Fermail : 2. Û>cille : 3. Ut, Le 4. Cep, Pet ; 5, Erin, Mu ; 6. Rcpéter : 7. Elcline. Pfil1 1lll terriblo coup do veDL A = 4. B = 7. D = 1. E = 2. F = 3. G = 5. H = 6. C vn nu-tète. UD polit problème asnez c ompUquh : mais p» du tout 1 Enlevez le• d.eux o.llu- n n n~ n n= mclte5 et n1ngez les da oulrca u u u ~u u~ comme suit : c:::::1 ED trois conps de obeaux, qui a trouvé ? R6pon•ee au..: charade•. IO) lmpouiLle (AiwPô-ciblc). 20) Carotte (qUArl·hou c), 30) U onceau (lion-.ceou).

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