Cœurs Vaillants 1941

Coup d'œil sur le monde... êi'autrefois Une revanche Le briquet à essence oot ~ort et les allumettes prennent uno belle revanche 1 t C'egt tellement prntique une allumette : un léger frottement our Jo boite et hop J voilà l'é· tincolle et même ln petite flom· me qui ac communÎG'llC ou boio ou ou papier. Ah 1 oui, nous sommes bien loin du temps où il fallait frotter deux morceaux de silex juoqu'à ce que la pré· cicuse étincel1e veuille bien se produire. MaiB ù propos, oavcz..vous depuis quand exie· tent les allumettes ? . Non,, alors écoutez bien ou plutôt lisez, j'oi interrogé pour vous le célèbre reporter Globoc et voici cc qu'il m'a confié : Les allumettes furent inventées en 1831 en Fronce en même tempe qu'à l'étranger, mais elles n'étaient pas aussi perfectionnées que maintenant, cor Ica allumettes, elles aussi, se sont modernisées. Pour allumer les premières qui furent inven· tées, il fallait les tremper d'abord dans un petit flacon contenant de l'acide sulfuriG-llc ; vous voyc-z qu' il ne s'a{!isaait pas de renverser la précieuse bouteille, on aurait été brûlé de belle façon... Comme cette manière de procéder était des plus dangereuses, les chimiotcs ae mirent ù l'ouvrage et dès l'année suivante on vit les allumettes à. friction, c'est·Ô·diro les mêmes que celles que noua utilisons aujourd'hui. Cblnoioeries Ticno 1 quelle heure est-il ? C'est la question quo ocmblc se poocr cc brave Cnulois, Il ne con~ nait pns comme nous Je geste ~ familier de jeter un regard BUr ~0, son poignet. Il cot vrai quo noa ancêtres pouvaient connaitre ' l'heure d'après le soleil, mois :: : cc n'était que de l'à peu prèo ' ,..._.:·· et comme les homme& ne vcu· ·· . lent pao oc contenter d'à peu .": : près, ito se mirent à construire • -~.. 1 · dca tao do machines capables de les renseigner avec précision. Les Chinais, G'Ui étaient un des peuples les pluo civilisé!!. d'alors, construisaient dca espèces de toun surmontées d'un repère, et d'après l'om– bre projetée par celui-ci ils pouvaient savoir l'heure auivant des règles précises qui étaient très compliqoécs, voua voua en doutez bien. Avoue.z que c'eot chinois. Un des plus anciens appareils est certainement le cadran solaire, vous en avez eûrerncnt d6j à.: vus et peut·être même vous êtes-vous amusés à essayer d'y lire ! 'heure, mais tout de même vous avez constaté que ce n'est pas aussi pratique que no~ bracelets·montre. Et .autrefois on ne pouvait pas oe promener avec aon cadran solaire en ban· doulièrc, c.ela eût été bien encombrant !... Jl!istoire de glace Quand vous allez au coiffeur, avez.vous déjà dct_mandé depuio qu~~g~:~sicf~n~:s P:::~~r: 0 ?~~e:~ tioo déjr. depuis un certain tempo, et que, je dois l'avoue r, · je oécboia lamentablement, j'ai fait le tour de11 coiffeurs de mon quarricr, et toua sont d'accord Pour dire que les rasoirs exis· . toient depuÏG très longtemps, mois aucun n'a pu me dire uoe date précise. AlorG je ouïs. allô encore trouver notre reporter, vous Gavez que c'est un type épatant G'UÎ a ré· ponsc à tout... eh bien, le croiriez-vous, lui non pluo n'a pu me dire depuis quand les hommes se rosaient : cc doit être depuis toujours... · seule· ment il m'a révélé quo si les rasoirs existaient depuis très longtemps, les hommes ne pouvaient s'en servir eux·mêmes parce qu'ils n'avaient pas de miroiro .... Les coiffeurs du t emps jadis devaient foire de trè!l belles affaires, n'êtes-voua pao de mon avis ? finances, Malades, Commissla" Géographique, Prières et Sacrifices, voilà dans votre Ministère quatre Commissions qui, d6jà, ont commencé avec un ·mognlfiquo entrain Jours activités. Por– tout, au Groupa, on en voit dOll prouves : tirelire, tronc des sacrifices, coin des malades, branie– bos d"' grands jours, airs mystérieux et rayonnants... on sont qu'il va so passer quelque chose, quelquo choso d'énorme, .de formldabl,., quelque chase quo Io Groupe n'a encore jamais connu... Et cola est vrai. Jusqu'ici notro campagno, c'était des préparatifs, de l'organisation. Maintenant, nous sommes. arrivés à la péri.ode des réolisOtlons. Cc n'est plus seulement une Commission, un chef, un dirigeant, un petit gars isolé qui vont agir, mois TOUS LES GARS, TOUTES LES EQUIPES, TOUS LES GROUPES, unis, tendus vers le même but : PORTER A TOUS, POUR PAQUES, LA PETITE AFFICHE qui vient de sortir de l'imprimerie et dont vous voyez cl-contre Io reproduction. Portor cotte affiche partout, oui. Mais on sommo, à quoi cela ' servira-t-11 ? A rappeler à tout le monde la gronde minute dll Vondrodi-Salnt ? A porter à tous l'appel du Christ en Croix ? Et puis, après ? Est-câ quo c'ast cela qui changera le. monde ? est-ce quo c'est cela qui rondro à la Fronce la paix et Io bonheur ? Non, petits frères. SI vous dovle:r vous contenter de vous organiser magnifiquement pour porter votra. officho à des gens q11l, après l'avoir regardée quelques minutes Io mettraient de côté, cola no changerait pas grand'c:.ose à la marche du monde. ' ' Cc que vous obtiendrez, vous, les Cœurs Vaillants, c'est bien plus et bien mieux quo cela. Il faut qu'en contemplant, chaquo jqur de cette Semaine-Sainte 1941, votre petite affiche, VOS FRERES COMPRENNENT •L'APPEL DU CHRIST. Pour rendre· ou monde la paix et le bonheur, Il a besoin do leurs , efforts et do fours sacrifices, Il veut leur apprendre à marcher ovec Lui sur Io route qui monte, rudo mols joyeuse, à travers les petites difficultés de chaque jour. Et c'cSt pour les prendre aYec Lui, dans sa cordée, qu 1 ll leur fixe chaque année, à Pâques, 1.1n rendes-vous•.• Potits frères, cette année plus quo· jamais, Io monde a besoin du Christ cette année plus que Jamais, il fout que 11!5 ômes soient .nombreuses à Le retrouver dans une f~rvonte Comm'union Pascale. Cela,, si vous le veules, vous pouves l'obtenir et c'est pour cela que nous vous avons mobilisés tous, malades et bien portants, équipes et isolés. Il faut que vous vous y mcttie: tout de suite, non pas en tim_idcs, en tièdes, en hésitants, mois do tout votre cœur et de toutes vos forces, en vrais Cœurs VaiUanh. L'Alpiniste. - .- · CONSIGNES PRATIQUES DE LA SEMAINE - POll'R TOUT LE GROUPE. Cette semaine commence le recensement des fomilles, opérotion qui prépare directe– ment Io grande distribution de nos affiches. Il s'ogit de repérer exactement toutes les familles, tous les endroits où vous porterez, dons 15 jours, vos affiches. Celo 'est extrê· mement important, cor si vous ne suivez pas exoctement nos indications, si vous foites vo– tre liste n'importe comment, vos chiffres se– ront faux, votre commande d 'affiches insuf·.. fisante, votre distribution manquée. Or, Io Christ est mort pour towt le monde.. Oublier, volontoirement ou por né9ligence une seule famille, ce serait accepter de mettre sur so · porte cette affiche monstrueuse : c Le Christ n'est pos mort !)our cette moison ~ . . Celo est impossible, n'est- ce pos ? Alors : il fout parcourir toutes fos rue!:, entrer dons toulcs les mai– sons, noter toutes les fa– milles et tout en foisont ce repérage, préparer Io tf::.~-~ terrain pour Io distribution de l'affiche. Pour celo, un moyen magnifique la vente du journal. Cette sémoine : - Choque équipe étudiera avec son chef les rues ou les hameaux · qui lui ont été con– fiés por Io Commission Géographique. - Elle en répartira les maisons entre les équipiers (sans oublier les lieux de travoil : ateliers, bureaux, magasins, etc... et les fer– mes isolées ou lointaines) . - Chacun notera sur un papier le four et l'heure où il visitero choque maison <il fout choisir deS' heures où les gens sont chez eux, réportir le trovoiJ roisonnoblement pour arri– ver à tout foire dons Io semaine en gordont choque jour le temps nécessaire pour ses de– voirs. et leçons). - Chacun se munira, pour sa tournée, d'un papier et d'un crayon, et de Io pilè do jour- noux qui auront été commandés d'avance par le dirigeont (s'il en monquoit, prendre d 'an– ciens numéros et Jes donner ou lieu de les vendre). - Dans choque maison le C. V. se présentera avec le sourire, et cherchera à se rendre sympothique par une petite phrose gentille, un petit serviçe rendu, l'an– nonce d 'une prochaine vi– site c avec une surprise >. - En fin de tournée, il remettra à son chef Io feuille où sera noté le nom· bre de familles visitées. Le chef transmettra alors : - à Io Commission Géographique, le totol des familles repérées par son équipe. - à Io Commission des Finances, l'argent gagné sur Io vente du journol. 'l'R.llVAIL DES COMMISSIONS. La Commission des finances étobliro d'oc· cord avec les dirigeants du groupe une pre– mière commando. d'affiches qu'elle expédiera immédiatement ou Centre Notionol (odresse : Administration de c C.V. • , 16, rue Nicoloï, Lyon- 7•) . Si cette commende nous parvient avant le 21 mars, elle bénéficiera d'une réduction ex– ceptionnelle de 10 %. Si elle est accompagnée de son paiement por chè– que postol !C. V. Lyon 891-20! elle sero expédiée franco de port et d'embal– lage. Lo tirelire installée ou Groupe Io semaine dernière doit permettre de régler cette commonde. Voici les orix des affiches : por unité : 0,20 ; à partir de 10 : 0, 19 ; à par– tir de 50 : 0 , 18 ; à partir de 1OO : 0 ,17 ; à partir de 500 : 0, 16 ; à portir de 1.000 : 0,15. Com e t? en port~nt putou.t cette afficlû~ ../ ALORS .. Il REDONNERA AU MONDE lA PAIX u LE BON HEU Lo chiffre de c:etto commaAde sera un chif– fre approximatif. Puisque le recensement des fami lles par les éQuipes commence à peine il est encore imoossible de sovoir exactement de combien d'offiches le groupe oura besoin. Mois celo n'a pos d'importonce. Lo Commis· • sion fero la semaine prochaine une deuxième commende d'oprès les résultots exacts du re· censement. Ce qui importe aujourd'hui, c'est d 'expédier tout de suite une première com· monde opproximotive d'abord pour bénéficier de la réduction accordée .:...... ensuite pour être sûr de recevoir des affiches à temps pour le début de Io distribution. La Commi15ion Géograehigus surveillera Io mise en route du recenseme nt des familles. Elle s'assurera que choque équipe a bien com– pris ce qu'elle doit foire, a idero d iscrètement celles qui auraient du mol à établir leurs tournées, stimulera les hésitants, assurera les liaisons nécessaires. Lo Commission est direc– tement responsable pour tout le Groupe des opérations de recensement et de distribution. Il faut qu'elle prenne so tâche à cœur, c'est d'elle que dépend Io ré ussite de la compagne. La Commission u Prières et Sa.srifjse; .o in – ventera d 1aufres offtches pour demonder les efforts de tout le monde. ~ Elle fobriquero des . trocts :g:~ à remettre à Io Commission · ~ des Molodes pour les pe- b U tits frères des sanas et des prévents, elle en distribue– ro oux équipiers du Grou– pe, en collera dans leurs pupitres, en mettra dons leurs monteoux, etc... Main- tenllnt que !'Alpiniste a Vl' 1 r. expllqué le but spirituel de ~ la compagne, il fout quo chocun redouble de p rières et d'efforts ; ce sont eux qui assure– ront ra victoire. La Commission des Mala écriro une deuxième ettre aux molodes pour les tenir ou couront de ce que le Groupe a déjà foit, leur demonder leur oide, leur envoyer des des– sins pour le coin Qu'ifs auront dû in!>taller dons leur salle ou leur chambre et en récla– mer pour le Coin du Groupe. =12i~~==-~~...,._~:ac.!bE!lllEllll..,_d!!Dr,.,__ ___._______..___________ ~--~ QUANT A VOUS, ISOLES... Cc fut à Marseille que jo vous rat.. pris vite où Burg voulait en venir. J e tro.paio, au moment où voua filiez le jouais l'indifférence. Alors il s'emporta Levantin. Avec vouo et à votre inou do plue belle et convint, aassitôt, de me j'ai rnio le pied our le <r Nil ». A remettre entre les mains de Io police Alexandrie, je vio Ali oe rencontrer avec égyptienne. C 'était le moment ·d'êtro bon l'homme blond, dono lequel je reconnu• joueur et de le battre our Io terrain de bien vite un peroonnni;lc avec lequel les la comédie. Je suppliais Burg de o'eo polices du monde entier avaient eu, déjà, rien faire ; qu'oyant besoin de vivre je maille à partir. Je ne doutais point m'étais laissé aller à qoelquee histoires qu'il lut pour quelque chose dans ln de contrebande. Moio le patron semblait dîsporition du Document 433 ; je snvais intraitable. Pourtont 1 à force d'insister, il co..-...Quc valait l'homme, Il trovoiJloit pour se laissa attendrir : il me Jaiss.ait li· lui·même et vendait à Io nation qui les bre, libre même de continaer mon petit payait Io mieux le produit de ses vols commerce en marge des lois, .à la condi. internationaux, lesquels conofotaient tou· tion que je fisse partie de oa bande. jourc en documente secrcto concernant la protection d'un pnya. L'invention de Moo• En quelques mots il m'explique cc BÎcur Serval étoit une affaire trop ten· qu'il attendait de moi, et me fit corn.. tonte poor qu'il ne o'y intéressât pae ; · pseodrc que dorénavant j'avais tout in· on avait perlé, fort peu, certes, de cette térêt 6. marcher daoB aon sillage : j'en découverte, mnio leo quelqueo articles pu· sovnis déjà trop long sor us egisse• bliér ovaient ouffi à bouleverser l'opinion mcnts. Encore une fois je joueie Io con– univereclle. Et James Burg, pour l'appc· traintc, mois, dane le fond, j'étais rnvi 1er par oon nom, n'était pas homme à de ce qui m'arrivait : j'étais dans la laiaser échopper une porcillo affaire. ploee. J e parle plusieurs langues, dont l'égyp. Après vour avoiT perdua à Alexno- tien couramment. Je me grimais légère· drie, puis au Coire, je voas retrouvais ment de façon à me donner suffisamment à Gisez, meie c'était pour vous voir le typo du P•Y• et j"nllaio rôder dons les aoesthésiés dans l'antre du vieux Selym. parages de l'hôtel qu'habitait Burg. Je ous que vous étiez rovenoo de booae J'ovaio appria qu'il cherchait un chauf· heure et c'est alors que je vous en– feur, je me présentais à lui et j'euo Io voyais l'â nier le lendemain matin, è. le. chance d'être accepté. porte de votre hôtel, avec mission de Lo mêmo noir, mon oouveou patron me vous emmener aux pyromides coûte que lnisait oppeler. Sitôt que jo lus ea oa coûte. J e devais ouivre Io bande. JI im· présence, il entra dano uoe colère folle. portait donc, maintenant qae je vous te· En quclQ'Ueo mots il me dit avoir dé- nais, de ne pins vous tacher. Comme couvert que je faisais quelques trafics l'finier n'était rien dans notre bende, je clandestino et qu'il n'admettait oao de lui oropoaais, contre une bonce Bomme, te 1 o ngiosemento de la part de .aon de vouo obondooner dane Io pyramide.' chauffeur. C'était d'oi11eura le vœu de Ja.meè Borg L'hiotaire n'était poo neuve et je com· qui tenait à oe débarrasser de voue le pour échon~er le Docu– un benu sac• ·de livres Le rendez-vooo avec le pcrsoonogc aaqael devait être remio le document de· voit se faire dons une oolle secrète de Io pyromide. Sous .un prétexte plausible je parvioo à y pénétrer suffisamment à temps poor y disposer les policiers que les borcaux égyptiens, prévenus par mes soins, m'avaient oecrètement envoyés. Mais, vons étiez égarés; j'avais en· tendu voa oppeh. Ccst alors q·ue j'eu! l'idée d'agiter mei lanterne. Comme des papillons, von5 etes venus, attirés par elle. Me montrer alors L vous était tout ccmptomettre : me voyant Beul et r econ· naissant le chooffeur de la voiture jaune il était certain que vous alliez me mettre hors d'état de nuire. Or j'avais beso'.n d'être libre. Et c'est pourquoi, après avoir Suspeodo la lanterne à un fil de Jer pendu ô 1a voûte, je . restais invi– Gibte. L3 fatigue, ce fonal qui pas~ait et repa'!eait dovont vos yeux, je le savais. coatriboeraieot à vous plonger, bientôt, dans un profond sommeil. Aa bout de quelques instants mes hommes voua ti~otèrent et vous mirent oo bûiHon : oini!i 1 j'étais treaquil1e à votre sujet ei vous veniez à vous ré· veiller. Bientôt Burg, Ali et celui auquel de– vait être remis le Document 433 entrè· rent. Tout allait pour le inieux. Mois pouvais-.jc prévoir que voue iriez jusq'll'à voua débarrasser de vos liens. Ah 1 voua s~.voz, voos êtes de rudes gaillards. Puis co fat votre intervention, ta mienne, celle do mes hommes. V oua con· naissez Io fin. Et voilà, votre aventure eet termin~e. 2> Se-rvnl et Dopré entrevoyaient déj~ un rectimglo de lomière crue à l'extrémité de la i?alerie ; l'atmosphère extérieure commençait à se foire sentir parmi ces blocs de pierre qui, depuis des millé– naires qu'ils étaient eofanie dans l'om· bre, avaient échoppé à la calcination due on terrible soleil égyptien. Nos héros s'étaient retournés vers le policier : - « Loisse2·moi vous rerr.ercier, fit Pierre, de l'aide précieuse que vous nous avez apportée. 1> C'est cette semaine que vous établirez <ur votre carnet le compte dPs familles a u>ouelles vous pensez pouvoi~ porter i'affiche. V0us chercherez également tes moyens de vous procurer l'argent neces– sai•e au paiement de ces affiches (tirelire, petits s~crifices, etc...) A aucun prix il ne fa 11t vous conte nter d'un chiffre trop timide ou trop modeste. Un pPt it gars qui a du cran peut bPBU· coup, même s'il est tout seul· Le Christ compte sur vous, Il ·faut que vous répondiez à son appel. - « Sans voue, continus son compo. gnon, nous Berions encore dons les pro• '11fl!!l!B!l!l!lll!••!!!!!m!!lll!!!!!m!m!ll"'!!!I~·-~ fondeun de la grs ode pyramide. » Jacques Orlaod souffla sa looterne et mit une main suri l'épaule de Serval. - <r Mon regret est de n'avoir pu voue faire rentrer plus rapidement en possession du Document 433, mois il était nécessaire que j'ailte jusq'U'ou bout, n6n que le moodc soit débarrassé à tout jomais de James Bucg; d'une pierre jo tenaio à foire deux coupe. Maintenant, meB amie, rentrez vite en Bourgogne où l'on vous attend ovec l'impatience que vous devinez. Inutile, Monsieur Serval, de vous r ecommander. .à l'avenir, de bien veiller sur les plans de votre pèro, je sais certoin qu'ils seront bien proté~ée. 1> - « D'autant plus que, sitôt revenu sur Je sol de France, je remets le Docu.. ment 433 à. mon paya, suivent le vœu de mon père. r> Ils avaient cont inué d'avancer. Uo rayon de oo1cil les surprit ou moment où tous trois unissoicot Jeurs moino dons anc amicale étreinte. Au loin, Je Sphinx iœpaosible conti· nuait à fixer par dessuo Je3 e:nbleo. RODALY. FIN Pour discuter entre 'ITO'llls. 0 Xpropes de !!t!lb'a gl 'ar.de =mpagno Quel est le véritoblc but de notre c:nmp:il!lle ~ Où Jésu!J donne..t-il rendez-vous à tou3 fc-o hom– me' ~ PourQuoi ~ Comment le, entnûnerc.·t·il b. so suite sur le chemin du bonh: u:r i Commenl? celn pourro.t-il changer le monde ~ PourQuoi est-ce ~culibcment importnnt cette année ? Comment vooaffiches fcront...ellc!) p:l.!l~er l"~ppcl du Christ l A quellco conditions ) A quoi oervirn le rcccnocment dc!l fa.miHeo et lieux de trn'-"11il ? Pourquoi doit.-il être fnit avec ordre et di,cipline ~ Commznt votre vi.,itc cb cette serruiine peut~lle pré~rer le tenu.in pour ln distribution do l'nffüh-e ? o 11 propna tin chime doo ll.Jpinistes Pourquoi fout-il chnntcr Qunnd on doit foire quelque chose do diificile ? Ch.,clto do.no c~· QU~ couplet cnmment celui ... ci vous aidera opé.. cmlement. Qucln sont re~ scc:rct!I qui y ~ont cach~ ~ Comm::nt un chant peut.il êtTc \!.J"'l moyen de conqu~te '? Es:e:mpfes pour cclui--ci, 0 ll !Jl'OJ!O!> de Jcao-l!'n\nçofe. Pourquoi Poul C!lt-i1 si dCmonté il Pcurouoi Je:ln-Froncoi!s a-t· il confi::mca Qu:m d .. m:!m~ ~ Qui o roiann ? Quo <!i• ln ""'""'" à c:c •uie• ~ CDmmtnt un effort peut-il être un oocriffcc ? OD.ne cc lleM que \.'1l~~tu foire, toi, pou.t" lo crunp~e ? jeént ou so demand a ce qui arrivait••• Lo soloil d é jà h<tut dans Io ciel, ot surtout son estomac lui disaiont qu'il d evait êtTo midi d epuis longtemps déjà ot pourtant il n'avait pes ontendu, comme chequo jo<U", l'Angelus sonftor au clocher du village. ., Poutlant rien d'anormal no s'était passé; ce ma tin, moîtrosso Alice l'avait éve illé comme d 'habitudo ot après avoir cassé le bois pour allumer Io fou, rempli d'oau la grande chau– dière " pour f aire cuire' aux bêtes ", le petit commis était venu s'asseoir dans le grande cuisine poUT prendre le grande assietto de soupo qu'il avale chaque matin avant de par– tir " on champ les vaches ". Maîtresse Alico, cependant, lui avait bien recommandé do refttrer à l'Angelus, et il en était sûr maintenant, l'Angelus n'avait pas sonné. Vaguement inquiet, Jeantou r11ssembla ses bêtas à la hâte et les pressa sur le chemin du rotot.[l'. A mosure qu'il se rapprochait, son inquiétude 9randis5ait ; les bruits familiers ne parvenaient plus à son oreillo ; il cherchait en vain la ru– meur de la vio, los aboiements des chiens, le ronronnement sourd et ri>gulior d e la scierie. Rien•.• Et quo la · routo est déserte 1 Jamais, en plein midi, il n'a vu cela. Ah l vite; qu'il rentre a ie ferme, pour échap– per à cdte impression de solitude qui lui serra le gorgo. Mais derrière la barrière ou– vorte, c'ost Io mémo silenco que dans les ruas du village, Io silence de l'abandon. Courant commo un fou, Joantou parcourt tous les bâti- De11 mots croisés HORIZONTALEMENT 1. Oo trouve . porfoio aon empreinte daoa la bouille. - 2. Montagne du Var. - 3. Ile. - Sorte do crapaud d'aspect repoussant. - 4. M assue de gymnastique. Propre. - S. · Ville de Syrie.. - Symbole chimique. - 6. Pronom person· oel. - Termine une prière. 7. Art de lire. ments et, haietant, sort à nouve&u dans le vil· lage dont il a vite fait le t our. " C e n'est pas possible, je suis tout seul, ils m'o nt laissé, ils m'o nt o ublié 1 )). Et pour ajoutor à son angoisse 'a canonnade qui avait cessé d epuis hier reprend soudain d ans Io loin·tain. lil Après ê.tre resté quelque temps comme anéanti par la terrible constatation : ses maî– tres n'ont plus pensé à lui, dans leur hâte d e fu1ir ils ont oublié le pauvre petit vacher qui n'est qu'un orphelin, J eantou s'est dit qu'il allait essayer de les rejoindre. Longtemps il a marché sur le chemin désert qui relie le petit village à la grend'route. Ah 1 la voilà là-bas, cette route, enfin, et là )e retrouverai du monde. Encore un bon kilo– mètre, je serai au viaduc qui enjambe Io tor– rent..• Jeantou court mafotenant, il l!l tellement hât e de retrouver quelqu'un, de sortir de cette effrayante solitude 1 Son regard s'emplit d'épouvante : voilà le viaduc, ou plutôt ce qu'il en reste car las belles arches de pierre ne sont plu:s qu'un amas de décombres dans le lit du t orrent, tan· dis que la balùstrade do fer tend ses d eux bras tordus au-dessus du vide. Miné depuis longtemps par les soldats du g é nie, le viaduc vient d 'êtra sacrifié pour retarder l'ennemi dans son avance. • Sur le chemin désert, il n'y a plus qu'un pauvre petit gars écrasé par son chagrin qui rentre au village d'un pas morne. Seul••. il est tout seul.•• que va-t-il devenir 7 Des visions d'horreur passent devant ses yeux. Voilà l'église entourée de son petit cimetière; elle est ouverte ; Jeantou y e ntre les yeux embuês de larmes. Tiens 1 la petite lampe rouge est allumée, ce qui arrive bien rareme nt da ns cette toute petite desserte o ù célébrer, qu'une ou de ux . fois par mois. , Ah 1 oui, c'est vrai, Jeantou se rappelle " Puisque je reviens ma rd,i p our. un service, a d it M. le Curé, je vous laisse le Bon Dieu ce n'e st pas si souvent que vous pouvei . en jouir ; .et je sais bien que vous no voudrez pas le laisser tout seul... " " Le laisset tout se ul " .•• mais alors, c'od comme lui, on l'a pourtant abandonné aussi..• " Oui, mais alors, se prend •oudain à mur· murer J ea n tou, nous sommes deux maintenant, detix oubiiés, je ne suis plus tout seul ici " . Et l'enfent sent le courago renaître en lui. Puisque t out le mo ndo " abandonné Jésus, lui, ie petit qu'on a aussi oublié, il le ga rdera et, au besoin, il le protège ra. Une grande fierté monte en lui à la pensée de cotte mission. li est sorti d 'un pas forme, et jetant un long regard au tabernacle devant lequel brille IB petite luour, il a fermé l'église el r. is la clef dans sa poche. C 'est avec un calme tranquille qu'il upente maintenant les d épendances d e la forme pour voir si tout e st en ordre ; Io cheval n'est plus à l'écurie ; pian sûr, il tire maintenant sur les routes la charrette où l'on a charg é t out ce qu'on pouva it. " Tant mioux, pense Jeentou, c'e•t lui qui m'aurait donné le plus d 'ennuis car je ne sais pas encore Io soigner ". Quant aux vaches, cela c'est s11 partie ; il les con– nait si bien, chacune avec son humeur diffé – rente, et elles, les braves bêtes, elles connais– sent aussi leur petit vachor, elles ont uno façon à elles de tourner leur grosso têto dès qu'il entre da ns l'étable, pour Io regarder si fixement..• Décidément, vo ilà Jeantou tout rag aillardi. Et après avoir déjeuné d e quelques provisions trouvées au cellier, il s'en va à travers Io vil– lage abandonné, fermant 1ç1 une barrière quo, dans la précipitation du d épart, on a lain ée Il Ill IV V VI VII OHÉ! LES BRICOLEURS •• 1 2 3 ! ,,__+--- 4 I 5 6 7 VERTICALEMENT 1. Allrafe. - Il. Plante d'un goût ocide qui tient de l'épinard, - III. Possède oa clé. - Lor~eur d'une étoffe. - IV. Lettres de pègre. - Terme d'échec, - V. Ancien nom de l'Irlande. - Actionné. - VI. S'exercer seul à dire ce qu'on devra enauitc réoé•er eu public. - VJJ. Petite herbe aquatique. En tzois c:o11ps de ciseaux • gu?aéc~i~~~~t~~ ~i~ quatre parties de même superficie et de même for– me d'e façon à former un corré dégogeont un car– ré vide à l'intérieur, Nos c:haraciea 1 M on premier est un déportement. En Italie coule moo oceond. U n objectif cet mon deroicr. Mon tou.t est un mot qu'ignorent lco [bon• c.V'. il Moo un coupe tout en q'Uotre. M on deux s ert au vendangeur. Mon tout eat un légume. H l Moo premier eot un onirnoJ sauvage. Mon occond cot un contenant. Mon tout est le fila de mon premier. Pour votre local, Cœura Vaillants, voi.. ci un lustre épa· tant ot peu coO.teux. Vite, à l'ouvr~e. Â\ ~ y Ma11fr;e/ : - 6 baguettes en bois de 1 m. 50 (bagaettes d'électricité ou simples petites bran· cbes rustiques). - papier transparent de couleur vive (rouge de préféreace), - carton (force moyenne). - lacets ou rubans. - punaises. R éaJlsation : 1° Construire deux triangles équi· latéraux en lixant trois baguettes en A, B, C (fig. 1) . 2t:> Superposer ces deux triangles pour former une étoile à 6 bronches les fixant en 1, 2, 3, 4, s, 6 (fig. 2). $ . 3° Découper daoo du carton 6 trinn- . glca oyant pour bas fr4 Io longueur de 1 à 2 (fi~. 2) - c'est· à-dire les côt~ do l'bp:i:agone çeotral 1, 2, 3, 4, !5, 6 - - et a)'tlnt une -hauteur supérieure à l'apo· thème de ce même hexagone. ' 4° Dans ces triangles en carton (de couleur foncée) tracez dee motife (animaux, ineignea du mouvement, etc...) que voue découperez ensuite de façon à les foire venir en creux ou plus exoc· tement en joura. Puis comme indiqué dons la fig ure 3, s ur deux côtés des triangles, perfor ez le carton de trous, petj,ts et osiez distonta les .uno des autres, en laissant une marge prèa du bord do 2 cm. environ. Pftt.! un terrible coup de vent.• ., 4° Derrière la partie évidée, coller ou agruler du trooaporent, de couleur. 5° II oe reste plus qu'ù fixer cc• triangles par leur base aur Je5 côtés do l'hexagone central (fig. 4, triangles en poin· tims) . Ramener les pointes des triangles vers le centre. Relier les triangles entre eux en les loçoot (avec les r ubans ou les lacets) que l'on 1foit passer à travers les trous ménagés. L 'ensemble doit donner uoe pyramide hexagonale fixée our une étoile a six b rooches (fig. 5). 6° Remplif les pointes de l'étoile par le papier transparent (si l'oo veut d'une couleur différente . de celle des triangles intérieurs), voir figure 4, parties hachurées. Systim~ do suip1nsÎD• : A Vaide d'une cordelière que vous ferez avec du coton perlé GSl!leZ fort - de même cou· leur quo le papier transparent - voue eu1pendrez votre chel-d'œuvre ainsi que l'ampoule à un clou du p!ofond, comme indiqué oor le figure 6. Voue aurez · aiaai réatiaé, tout en ornant votre local, uc chic bricologe... • GROUPE C. V. DE LA NAVARRE. Un petit pz:oblème a1111ez compliqu6 De quelle maoiàre faut-il o'y prendre pour qu'en allwnettlla à 12, il en re~te une . · ouverte, visitant là les bêtes à l'éteblo pour s'assurer qu'ollos ·ne manquent d e rion. S'il veut ainsi voilier à t o ut il n'aura pas Io temps de s'ennuyer. Oui, c'cist bien cela ; il est, d 'une certa ine mànière , le g a rdien d o cos foyers d éserts, il saura tenir son rôlo... puis– q u'il n'est pas t out se ul, la grosse clef qu'il sent au fond d e sa poche le lui redit. D Trois jours ont passé, s: vite, si vito, q ua J eantou ost tout étonné , un mat in, où il rame· na it d e la pâture non plus seulement ses vachos à lui, mais le petit troupeau augmenté des quelques· bêtes . aba ndonnées ~à et là d a ns les étables, d e voir au loin sur Io chemin menant au village uno caravane s'avancer... Plus de doute... c:o sont les ht1bitants q ui reviennent. A prè s des souffrances sans nom ils o nt dû rebrousser che min et , l'âme on deuil, Ils reviennent vers leurs demeures, la gorge serrée par l'angoisse de c e qu'ils y trouveront : leurs foyors pillés pout-êtro, !ours bêtos en fuite. Mais qu'est-ce 7 C 'est le cloche d e l'é glise qui se met à sonner, c'est vrai il est midi ; qui donc, dans Io village d ése rté , songô encore à sonner I'Angolus 7 Tout le monde pressa le pas ; les moins f at ig ués courent pour savoir plus vite.. Devant la porto do l'é g lise 9 rando o uverto, J ea ntou reço it Io triste cortège , c onsolant le~ uns, rassurant les autres, sa ns un mot d e ran· c unc, bon et compatissant à tous. Et d errière l'enfant, Ill-bas, rout au fond , o n pouvait voir briller la potito luour qui pen– dant cos jours sombrEis ne s'était pas étointo... M. BO URRO N. NotW ovono reçu cett.e oemainca des jeux de : P. Girordot, ), Oucrot. M. T hioux. A. Villcml· 11T1e, J, Frey10inct, G. Prudent, M. de La Quin– tinie, L. Belle. Michel R..., O. Coppolo, R. X..., F. X.... B. Laville. J. Mofü.re, G. Séverin. V. Fabre. J. Allègre, J. Boutelier, L. Go1pé, L. Gor· eicr. R. Mourre, R. lsonrd. Poul Henni, J. Pollet, R. Boum er, J. Rù:cinrdi, M. Vcyret. M. Artluud, P. Courtois, J. Coudret, H. Permonnc: O. de La Sublière, H. Bontemps. T, RougÏer. f .. H. de Virieu. More-cl L... , R. et J. Oustcl, Roud, nu, R. Genoux, J. Du>!ert, H. Bonh.immc, Ph. Humbc.rt, Les petits sémi· noristes d'Alger, Ve.uthicr, A. Rcvalc.r. Qui a Solutions du num6ro pr6c6dont ~llO'IS CROIStS - Bor. 1. Ti ; Moi. 2. Joug; Duro :,, Erra; Perle. 4. Ring: Amie . 5. Nourrir. 0. Ait. 7. Servant. 8. Anière . 9. 11; Tôtc . - V<>rl. !. Gor. 2. Turin; Sol. 3. Giorno. 4. Jaguar, 5. Riva. 6. Partant. 7. Demi; Nio. 8. Mûrir; Tet. 9. Orlo; Rô , 10. Pise. _-. - 0 / A l) «.fJJJ21JJ ~ I x~~(t)l o \1 y '0 '!~ Loo aorpon ta. --· Q ui a t.rouvé le seul chcmio qui mèac de A ù B oaos interruption ? R e· aardoz un p eu Io dc:!s!n ci·contrc, quelle cm· brouilJamici n'est·cc po!I? Qui mulD·JO ? - Pour ceux qui ne oouo oat pns recon nus, nou:s nous préacntono : 1 o Io mouton - 2° Io brouette - 3° le pain - 4° le vent - 5° Io papier. r.=;:~~:::;:;:;;;=;=;=;=;::::;:::;;::::;i Bop J en eoureo - Qui d'en· tr() vous est or· rivé ô. trouver ? .11 qul l• pl'emlsr lapin ? Il oero pour M. D urand, car, dans un moment d'étourderie. M. Dupont a oublié aea cortouchea (reportez· vou• au de•nln). Heureusement pour Jooot-lopin. Pan1on1an1. n•est-ce pas, ce tamem~ message qui uow a lran.Jorm.! low en dlclriJJ1eur1 d' lnigma ... Et oot11 U a vc.: /011 6icn 1iwsi, ·ma foi, puiJC[t!3 1ta nombrt effarant Je réponus r<çu:. ( Plia de 5.000 pour nos dtux journaux/.., oow voue.:: à'i"ci ravalanch: du ldtro l) il '11 en a à ptin< 10 % cû maavaiatJ. Braoo pour votre puspicacit~ d volt~ entrain à /ai1r. les concours. Vow. arJtz dl.ià 1e., u. raru doute, oolrt 1tcomkr~ : 4 maRnlfi1111a af/idt!J qae vow alltz pouooir porf<r pour PâqU!J à 4 familla ooûlna ( now vow auion1 annon c~ des •arprüu pour fcuaruion ·ce/Ici-ci ne sont-elles peu la mdlltureJ) Mais oous ne vow con/enterez t>aJ de u/a. Un vrai C. V. unC' vraie A .V., quand il 11·a1it d: condaitc SlJ frè1a au Ch1isl, a l p/w ambiliuu qu.t cela. Alon vile, puntz aur tnveloppe cl lcrivt z à l'adminlltration de C V-AV, 16, rue Nicola1, Luon (7°) m ioianant 2 /ri en timbra à votr1 lettre tJow poutrtz 1cu ooit 10 aa.t:resa afflcbe•, à con– dition que volte comrnan~ not!J atrive avant le 21 ma11.

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