Cœurs Vaillants 1941

Notre • courrier ••• Je voudra is bien savoir cc qu'il faut fa ire quand on change d'adresse ? Si vous change:: d'adresse J ean do D, M, 1/ fo ut, le plus oJtc poss1blo, nous mrno). 1 er la bonde d u dernscr tJumôro roçu (ou SJ vous s;::s::::s:::s:::=""'~::"'l l'avez porduc, voire ancienne adresse et la dato de votre abon– nem e nt) l'i l rnd1cat1on b1l!tJ e xact e de votre 11011vo. 1 /o adresse avct: 1,50 on timbres 22.!!!. /r ms d'tll fl· blrsscmenl do voire nouveau c/1- &!Jé.adrcsse. Q uMil arn illustrés ~~~~~!~~ dont vous uous parle:::, vous auc:r 1 ra.son d o dire q11'1ls nr sont pas to1res souvent JJ~ form ent 111 c!es chrét iens. dignes d'nu vrai C.Y . Leurs }Hs – stup1dos, quelquefois da11goror1ses, des hommes, m des F rauç.ais, tu E t u'c-.t-cc pas de cout-là avant tout, que notre pays a b cso111 1 J 'a i trouvé une f a mille pauvre , mois je voudrais savoir cc qui est le p lus importan t à donner. C omme je n e connais pas d 'équipe C.V., e st-cc q ue JC peux d istribue r directement' Pas d'équtflO C V fi 11ontpol/11.r ? Oh 1 mais si l i . }( . A .'/c:; donc vorr uu peu au ~ paroisses ~nt Clôophas, S a-wt D en s , Smnt· tdath1eu, Samte-A nue , Saint-Fran· ço•s on N -D. u os T ables Dans toutes, il ,;.1 a d os Camrs Vatl· /a-;its qw silrout 10/unont contents d e t'OCIS acc:r1C1/ '1r V ous deman– derer; à leurs dirigeants les ren· s c1gnemcnt3 qtto vous tlesrrct:: pour les ws1gn~rs. V orss leur dcmondo– rcr; a~.ssi de vous aid er pour vo· tre campagno d es pattvras car, pour poovotr ::ous répondre, 1/ fau drait savoir ce d ont cotto fam1/lc a bcsorn, co qac vous pouvc;.r oJf rtr et quant:té ,/la11tros rcuStllgnom cnts plus fo– n l es à t OntJaltra de Prvs quo da low. Je suis content d'être C .V J'o1 Io 101c dons m on cccur, cor depuis longte mps, JC rê vais de cette famille qu i s'entr'o1dc e t qui s'aime M. l'obbé m' a nomme chef d'cq u1pc, mors se voudra is btcn savon cc q u'on doit foire pour l'ê tre a fond.. Pour savoir rc que d ort fm re 1111 v rai chef d 'l•qm pe, Roger S de Stno utllar, le mwu t est d e 11011s dem a11der Io Cf1r,rnl du clze f d 'cq u1pr qui a et' 1abnq11c e t prcs po111 rc'a JI c o 1 t 01 I la l oi, la prwrc, la pro11•osse d.1 Chef, des q um J11tos d e con~rilr;, d P Jl'tt ~, d e tr·1cs prPcJett t Il ne co flt e que 3 fr fra11co rJt te sera plus ut1lr (1uc plusieurs gros 11t11 es Tu ftcJt1 \ ltrc auss: Io page specw le tics Chefs d 'eqmpe JOWte chaque mois "'' mrn·r ro de ({ En C hrc– hent é » que rcro:t 10 11 abb <· et , dans :011 JOurr:nf, '4.:s Avenir res de ) t'au-Franro•s, qm, J'en suis srir, te do:rnerout aussi hint1ro11p do bot•,ws rdl'ls Et cl'ml/e:irs tu vas 1 r•ct torr lncutot dr Beruard 4 lgau, t otrl' D1rigoant uat101a 1 uuc /cltt c plus éetc1//ér . Je ~ d'achever un manuscrit qui pourra it us sntercsscr s1 oui, 1e vous prie 01mable– mcnt de me Io ~01re sovo 1rt 't!c1s ou:, Jacques C do 7 oulor1so, et vous a 1ssr J . n d 'A uch, et it'faurr cc L d'A v1g1.011, vo s contes ~ ont beauc_oup 111/eres.)ts Ils "' '"" ""' "'" '~ """ "ii! pornl pcrir pouuo:r paraitrD dans , \ !;: JOtJnrn/ (l e mol rnr d' écrivat'ff " est un met•er très tl1/J1cilc ' ) mrus : [s mo.1/rent que vous cve:: de ( réelles drs positzons pour u nagrncr 1 de' h1l101res tt cola uo11s si•ra ,.-<• t rès préc.:eu.:t. , pl 1s tard, quand '9 vous cure= a ou rar.outer a des C œurs J all/a;•ts 1l1a.s au f~I, z:ous ovo: p o•1t utrl' di•Jà commence m 1ec vos équi– piers ou vos petits f1 èrrs ? Bravo, a'ors, 1/s doi – :;ent paner avec vous d e Ir es ch1ts m om rnts 1 Lo nuit était encore toute s cintilla nte lorsque, rc confortés, nous a vons quitté,.. l'a bri pour nous lance r a l'assaut d'une nou velle étape . c Il me faut dem eure r 1c1 pour attendre les o utres cord ee s, nous o dtt le Guide ou déport, mois vous pouvez m arc her sans cra inte, J'ai toisse d eu x m essa ges pour vous e n cours de ~ Le premier con tient un vieux secret d ? lp1- n 1ste , quant o u second, il faudra le transmettre au plus grand nombre oosS1ble de pe tit< freres cela vous aidera puissamment dans les prochornes eta peo Quand vous serez arn vés en h a ut de la corniche pour le d é1euner, a sseyez-vous e t regard ez ce q ue vous verrez vous paiera de t outes VC?S fatrgu-;s • • Nous m a rchons a llègre ment dons l'aube naissa nte. Ou peut bie n ctrc cc fame u x message > Tout le long de l'éta pe comme tout le long de Io vie, le Guide nous e ntoure et no us suit , le t out ;,!! de sc voir le decouvrtr.. Il fait grand 1our lorsque nous a rrivons à la corniche. Le soleil moh nol rosit le cie l e t sou s nos pie ds se d eroule un magnifique poysoge. Un crr de 101c jo1llJt tout d' un coup . là, sous le gros rocher qu' a b r1te un sa pin voila le prc mrer message du Guide ! Il e st t rès court, mais c'est touf. un p rogramme : • c Btenheureux les dou x p a rce q u'ils posse– deron t la terre • Les doux.. N'est-cc p a s a force d 1 1m poflcnces vaincues, d 'e901Sme dompté, de charité b1enve1llante et d'entr'a1de fraternelle q ue "ji~~~~~ nous sommes a rrivés à ce tte éta pe ? N'e st-cc pas a ms1 q ue, petit a pet it, ·1 nous « possede rons la terre :>, c'est-à-d1rc !a confiance e t l'arn1he des o u t res, Io maîtrise de nous-mê mes, le se cret q ui fc1t triompher de t ous les obstacles > Joie d'être chrétiens. . d'être vaillants .. d'ê tre forts... Comme -tl fait b on penser qu' a ujourd'hui, demain, t o u1ours, le Guide se ra Io pour ~ a ider a monter, à c onquérir le b onheur e t à en porte r le secret aux autres ! Mois a u f ait, cc second m e ssa ge que nous devions transmettre, <JÙ cst-11 donc ' Cherchons ensemble, pe tits f;'ë";'ëS, . Qui de vous sa ura , le premier, le dc couvrsr ;> L'Alp1n1Ste. Consignes pratiqu.es pour cette semaine POUR LES GROUPES O' abord not re fête. De puis Io sema ine de rn1ere vou s a vez d û t ra – vailler terme a la preporer Le programme doit comprendre des chants '(vous trouvere z dons ce nume ro t\ Chante, oet1t frere 11 , por– t 1cul1èrement adapté a votre fê te) , u ne soyne te <a vez-vous a ppris celle donnee dans notre dernier numéro :>J , des danses, fobles, chan ts m imés, s1 possible un pet it goûter Ce qu'd fo u t o vant tOl;t , c'est que cette fê te sème de Io 101e dan s le cœu r de vos pro1eacs !donc evrter tcu t rappe l molodro 1t de leurs m 1seres le u r foire sen tir a u contraire q ue vous ê tes leurs fre res parce q ue cnret1ens) Que cette fê te soit o uss1 un p eu u ne fête de p ropogonde ou tOL1t le monde compre ndra ce que c'est que de vra is Cœurs Vailla nts Vo1c1 une idé e astucieuse qur a ét e ré o l1see par un groupe On d istribue a l'entree o chaque 1nv1te des proQramm es il lustres su r les– quels son1 inscri ts Io Lor e t les p rincipes CV Au cours d e la sea nce, des C V m 1mcn l l 'un OU' l'autre p r111c1pe que l'on fa it e n sui te de vi– ner o toute Io salle Ensuite une mstollot1on permane n t e Avoir fourni un bea u se rvice d e pauvres pe ndant cinq semrnnes ne servira it pas o g ro nd'– c h osc si vous deviez mainte noni tou t lq 1sser tombe r pour vous lancer dons de nouve lles oct1 v1tés 11 fou t installer au groupe -1uelque chose de permanent pour eux Voye z ensemble pour dc c1der, sU1vont les cas, une ti– relire des pauvres, une ca isse des pri~onniers un tronc du Secours Nationa l, u n tableau per– m a nent ou l'equ1pe de service inscrira cha a ue sema ine ce qu'elle a ura fait oour les pau vres, un service de pre t du iournol, etc Je connais des groupes qui n t mis sur 01ed u n é le\•a ge de looins, un service d e propa – g andistes pour gagner la p rime pro mise a t rois abonne ments snn ultanés a CV, A V eu Vaillance, e tc Qui t rouvera d'autres 1dees pou r a limen ter Io t1(elire des pal1vrcs :> L'affichage du tableau de campag ne sur la cari e du groupe Vous a vez t a d en équ1pe votre tab leau de campagne suivant le modele donne dons C V n o 4 Il s' a git maintenant de qrouper ensem– ble tous ces tableaux en add1t 1onnon t les famd lP.s secourues, les v1s1tes fa ites, les cade aux d1str1bués, poquets envoyés, services rend us, pour les inscrire t ous sur un tableau réca pitulatif des act 1v1tes du groupe Ce tableau (etabl1 sur le même modele que les t able aux d 'éq u1pe l sera a ffiché sur la carte d'a scenS1on du groupe entre les étapes 4 a 8 Les groupes qui a u ront continue a decorer le ur ca rte a vec des suiets en relief (sapins, rochers, abris, personnoqes, etc ) , pour- ront afficher ce tableau o côté de Io ca rte Ceux qu i ont fa it une carte d'ascension d'é– quipe d evront quand même le réolrser Cela est trè!. importan t p uisqu'il devra nou s ê tre envoyc en fin de campoone au Centre Natio– nal pou r demeure r ou dossier du arouoe e t servir a Io correct ion du qrand concours final de ! ascension Et mo1ntc nont, pour f1nar, un concours Il va nous lancer t ous a la re cherche d u me ssa ge, ce fameux messa ge QL1e le Gu ide nous a demande de transmettre a nos fre re s Ou a llons-nous le trouver :> Lisez 1 expl1cat1on donnee a ce su1e t en page 2 de ce numéro et , cherchez bien Toutes les repenses 1ustes g c – gneront et les prix vou s seront de \fem 1ère u t lite pou( la suite de l'osce ns1on Er TOI, PETI T FRERE QUI ES SEUL D'abord 1'espere bie n que tu os fai t con– no15sonce avec le Groupe C V de ta poro1~se, [ o l'occasion de Io compagne des - pauvres e t de la fête qui la r?i= 1 termine au1ourd'hu1 ~t s i vraiment tu habites à fll un e1i'dr-01t ou il n 'y o pas de g roupe tu n'es p lus tout seul puisque ton cornet d 'alpiniste doit ê t re maintenant bien garni e t que tu y as inscrit les belles etapes faites en union a vec t ou s tes petits frères les C V de Fronce Ce t te semaine tu vas d essiner le beau paysa ge qu on a perçoit depu is la corniche, la phrase du message du Guide et une pet ite explrcot ron pou r d rre comment tu la com– prends Et tu invente ras une pet ite m stollot1on des– t inee a cont inue r t on aide aux pauvres (t ire– lire pour mettre les sous dont tu t e priveras a leur 1ntent1on, - boîte a timbres pour les m 1ss1ons, - lettre s a un prisonnier, petits services regul1èrè ment rendus a des fa– milles pa uvres, - 1ou rnal p rête, etc l Coup d'œil sur le monde Une Sa voyarde q u i m esure 3 mètres ?.•• Il s'agit de la grosse cloche du Sacre-Cœur de Montmartre q ui, chaque 1our, egrene ses sons ~wœl ::~~~: (( J:;f :,;;;.;:·;;;,~~~,~~; m ,....,. doit son pse udonyme a 1'Arche– vêque de C hambéry q ui, 11 y a p lus de quarante ans, avait ouvert ~ dona son diocèse une souscription ~ destinec o payer cette cloche. Lo P PH<ll ' ' " « Savoyarde » mes ure 3 m 60 de diomet re et 3 m. Oi> de hau– teur , elle pese le poids coquet de 18 835 Io logs Peut-on se passer de fourchettes ' Les G recs et Jes Romains s 'en possa1ent fort bien, ils ut1h sa1ent seulement des cu1llcres pour manger les me ts liquides Q uant ou reste, Ils le mangeaient tout Il stmplement avec leur s doigts sons outres comphcattons J 'en vois dé1a plus d'un qui pense • « Au mom s çn . c'était p rat1· 0 que )) Pourtanc rcfléch1sscz bien .. Il devait y en avolf' des taches ~ de graisse sur les beaux costu· mes en ce temps-la .. Pendant tout le moyen âge 1 et pendant une gronde pc.rtte des temps modernes, les fourchettes ont étc ignorées Ce n'est qu'au XVlllc s1cc1e qu'elles commencercnt a foi re une t1m1de appa~ ntaon, mais elles n'eta1ent alors uti11sees que chez les plus grands princes, ou elles ser v01cnt pour des mets except10nncla, par exemple pour prendre les mûres Or, Je pane que 1ustement les mûres vous Jes mangez avec \OS doigts C omme les t emps changent., tout de ~ ' ... Champion de vitesse... Il ::i battu tous les records Qui ? un chomp1on cycliste ? un virtuose de la course a. pied -;. Non ' Il s'agit seulement d 1 un tout pe– tit oiseau · le martinet, et vous allez \ OJr qu d depssse de beau– coup tous nos record!i hum:11ns Quand vous regardez les 0 1· seaux dccn re dans l'azur tee: courbes grnc1euses de leur ,, o1, avez-vous dé1n songe a 1:1 vitesse que ccrtorns d' entre eux pou.. vn1ent pnrcounr en une heure ? Le reporter de « Cœurs V::ul– lants ) vient de faire pour vous cette enquête ~s1onrnrnte et il est arrive u cette constatat10n Les petits oiseaux volent a une vitesse de 40 u 50 k1lometr es a l'heure , le pigeon voyageur at– teint 9ï k1lomètrcs, le canard sau\a~c 122, l' bt– rondellc 240, et c est 1c1 que nous orrt\ ans a notre champ10n le martinet Lui, 11 brlile les ctapes en faisant, tenez-\ OUS bien, 316 kilomctres u l' heure Q u:rnd JC \Ous d1s:ns qu il dép::tsso1t a e beaucoup d:>us nos records ~ Saluo ns ...nous ! C ' est tres s1mp1e de dire bon1our chez nous 1 u11e po1gnee de m:llns ou un simple geste et tou! est fini i\l::u s Que diriez-vous s1 \ OUS ct1cz ncs dnns certains po~s~ P"<" ou le s:Jlut est pnrfo1s une véri- table acrobatie -;i 4 ux îles Philippines, on prend les rnams de la pcrson 1e que l'on ,..S. aborde et I1on s'en frotte Je '1· ., 1 D sage , dans quelques iles vo1s1ncs \.~ ta on se courbe tres bas en meu:int les mains sur les JOues, en le- ~ • vant un pied en l'air et en p liant le genou En Nou\. elle Guinee, on pince de• feuil les s ur la tête de ceux que 1 on \.eut saluer Q uant aux Chinois, lorsqu'ils se rencontrent apres une lon~ue séporot1on 1 ils se Jettent :i genoux et penchent tro.s fois leur viso~c par terre. Vous VO) ez que tout cela est bten complique T outefois, vous pouvez tout de même essaver en guise de culture ph\SiG'Ue .1Pm..11ir d!iscut ell" entre vo\\Jls ~ ll p ropos d e n otre ascension. • Par quels mo11em le Guide nous enloure-t tl el nom a1dc– t.. rf dans la vre } Cite que/que.s-ur1s de ses mes.sages ) De ses l\:;::::::=.:;::::.::;::i,==eF.::::==-~-~-~-.-"""'---"*---"""\""'.,_ __ ~;i,,,,----1!11!1-~~~ ... --6'11-~~-, me.ssager.s } Des rencle=-uoUJ qu zl nous donne ? \.: Que faul-tl pour arrwer a le Jerouunr ) De qt.iel Rl:.SUME' - Un dnss1cr co11te11a11t le secl'ct d'u ne un entwn 1 réctt:ll1it: 110111 la /Ja 111c <t cln1m1u lt 1ou1 wCmt! de la 11101 t rie sôu. lflt•"lllr'Ur /..e /lls de cel 111-c1el wz <le ses a1111s décutult d e i el1 0 11: e1 le 10/ew cou te (Jlte t Olllt Ils s't:mbar<111nll 11our l EauJJf(). ~ Ill 11 11. 11r1q" ebot ou 1/s ont c· u 1etez ' ' la 111stt: du 11use1 able: UH lua n tm qw les atti re tian s un uuet ave11s Ils 1 cussr.ssen t rt s ec/tapi;e1 et 1et1 0111eut l hom– me du med des pyu11111rles 1Jn1~ nu au1tlt In!JSl t11e11.1 tzgol t' les 1eu ucs Ot1ns 1~1 les abnn– don11e dans la JJUI amide - « C'est vr111, mais ço dcvcn:Ht \ rn1· ment trop dangereux et mieux \ Out les mettre dans 1 1 1mposs1bihté de gêner no! prOJets )) U ne derniere fo is 11 !.!leva son fanal, inondant de lumière, u ne seconde, les visages endornus, puis d s'clo1g1rn, su1v1 de ses acolytes C ependant il ne devait pas nllt.:1 bien Join. Pendant un certain temps le fais– ceau '\ Crt osc1llo en tous sens, tnnd10 qoc les voix des hommes se fo soient entendre, n pcm e d1stmctes dans les profondcur:s de Io pyramide E t, d'un seul coup, le silence tomba en même t emps que le m) sten eux per– sonnage refaisait son oppant1on, Io lan– terne élevée ou·dessus de sa tète Il s'arrêta au centre de 1n s11lle pendant quelques !'>Ccondcs, puis alla s'11ssco1r sur un snrcophag<;J tandis que Je fanal res– tait suspendu entre Io voûte et le sol. Parmi l'entassement des débns ac p1cr· rcs et de poteries accumulés sur le sol, Senol OU\ re les yeux Tout d'abord 11 ne réillise pas les d1fficultes de sa situa– tion. l\fots 4"tmnd 11 \ CUt remuer lc5 brns, 11 constate, nvec stupéfnct1on, que ce)3 Ju 1 est totalem ent 1m{Joss1bJc tandis qu'il sent ses lèvr es comp( 'mccc: sous une etofîe fort ement serrée Une sourde an~o1sse commence n l'en- vnh1r cette fois d est bien prisonnier de ses cnnenus. Certes, ce n'est pac; ln (>(Cm1erc fois qu' il tombe entre leurs marne;, mn1s 1ama1s S:l s1tunt10n n'a été aussi cntiquc II a cependa nt l'1mpress1on q ue Roger est dcrnèrc lu i Roulnnt d'une épnulc s ur l'outre, Sen ni parvient à se rapprocher de Dnprc, qu. continue à dormrr pa1s1blcmcnt D 'un cnup de ta1on i1 l'arroche à son somme il Roger sursaute, comme s'il eut etc couché sur un tonneau de poudre Et, dans le brusque mouvement QU 11 fait pour s' 1Sseo1r, les cordes Q'l.11 l'enscrren~ se font sentir douloureusement I l pousse une cxclomnt1on, qu' etou ffc le bâ ilJon qu'il a sur la bouche. - <1: Compris ' » , se du-il en constn· tant Io ro1son de son 1mpu1ss3ncc a mo u– voir ses membres. Tourne vers Scr vo1, les JCUnes gens se dé\ 1sn~ent un court m stont Les yeux de P ier re sont restes rieurs et dans leun prunelles brille une lueur d'espoir. - « Ça va t >), constat~ Dupré en. répondant par un clin d'œ1l rno1de l'encouragement muet ~ son compagnon E n se frottant contre 1'cpaule de Sen al, il parvient n libérer sa bouche du bûillon qui l'emprisonne. - 4: O uf ! Qu'est-cc qu1 nous arrive encore ? ». Pierre répond par un grognement sourd - « l'vlon pauvre vieux, c'est vr::11 Que tu es encore muselé ». èl d'un coup de dents, il declu rc le fou lard applique sur les levrcs de son omL C ette prcm1cre v1cto1re 1cs cmph t d : u:sc , d'entendre leurs \. O IX cugmcntc leur co urn~e - « l\f:.J1s enfin, questionne R, l!er t:..i. sais comment cela nous esi arri ~ é :> - <• Pas le mo 1~u mondc 1 comme toi 1c m e s uis trou\ c ficcle cemmc un snuc1sson. " - « 1\famtcnont, 11 faut commencer a nous déb.1rr3sscr de nos liens » - « Facile à dire, mois encore fo.u– dratt· il que nous ayons l us::ige de no"" moi ns Comment comptes-tu faU"e '=" Vos-), JC t 'écoute ». Ecpcndnnt, hors de Io p) ramide, deux personn:Jges obscn ent ottcntn cment la sor tie du mausolee - <c Q u'est -cc que peut b1<'n f01re mon b édou in ? », se <lcm:rnde 1 un d'eux qm , pour calmer son 1mpat1encc, ne cesse de port i;: r la mnin u son fez, comme pour mie ux l'a1ustcr sur son ci ;Înc Tous nos lecteurs ont reconnu ~h le ra' 1sscur du document 433 Non loin de. Iu1 1 l'homme blond ta– quine, du bout de sa cnnne, un enor mc lézard ver t A chaque mstnnt, son regard se porte vers l'enormc mnssc t rrnnguln1re A ln fin , n' > tenant plus, 11 se tourne en d1- rect1on du Le' a ot1n - « Vous êtes sûr de cet ûnicr ? » - « Parfn1temcnt sùr tl de\ ait cgo- rcr les deux gamins dans 1e dédale des niches, puis revenir aussitôt nous retrou– ver. » L'homme, d'un geste nen ~ux, fauche avec sa canne une touffe d herbe nne– IDIG'UC. - « P ourquoi dites-vous tou1ours les ~nm ins ? Cc sont des garçons tres forts très forts et très courageux C'est fort en au~ eux qu'ils m'ob11gcnt à emploi. er des mo) ens un peu . expéditifs. )) L 'autre l'm terrompt - « Pardon, 11 est entendu que vou 0 n'allez pas . » Son interlocuteur éelote d'un rire mé– prisant · - « Non, non, tranQu1lhscz-vous Seu– lement, pendant qu'ils se débattront avec la peur et l'obscurité, nous pourrons ré– gler en paix nos petttes affaires Apres quoi nous les rendrons à lu lumière et à Io liberté. » Brusquement, de J'cxtrcre,te de ~3 can– ne, il désigne une s1lhouet\e blanche qui se détache dnns J encadrement formé psr l'entrée de la P}rnm1de - « Vo1c1 notre homme t », fa1t-1I simplement. C ctu1-c1 semble cherche r, parmi les sables et les boule\ crscmcnts des fouil - nenre c:k douceur e.sl ·rf parle dans le me.ssage du Gurde } Quelle d1fference a-t-elle avec une al~ t1tude pare.s.seuse, a/Jat/uque, un (Jeu ' nouille ? Quelle quafrte faut 1/ ou conlratre, (>our arm er à auo11 celle douceur-la } Comment peut.die nolu conduire a po.s.sedcr la turc ) A propos de Jean-François. De quel/el devises Daniel veut-il parler qu,md ri dit qu il urri:.iera tut ou tard a conqucnr la band• des X , X ; Commrnl /audra-1-il que Mau– rice, Robert et Roger agmenl a 1 ccolc pour QIU Prerrc, uen qu'a les t>oir, comfJ;enne a que c e.sl que des Cœur.s Varllanls J Qutl/e est la methode que les C V cmp/ounl pour conque11r le~ autres } A quel message du Cmdc cette methode te f ai 1 clic penser } L'Aventure fantastique d'un gars de 12 ann. Qu'c..st~cc que h Prltf livre cnvoye a Francu lm a apprrs de formtdablc J De qw:l/e armtt.' c.st· tl qu:sfwn ) Qu c.st ce qu un gars de 12 ans fJeut faire dans crtte armec ? Pourquoi cela bou~ leversc-t-il .sa oie ' les G'UJ s'étalent devant s~s }eux, quel· "''""""'~""'"""==~"""==6'0~==°"'==~ qu' un de connats.!oanec. A li a ôt e son fez et l 1g1te ù bout de bras. A.uss1tôt le béd\)um se prec1p1te en d1rcetton des deux hommes Des q u"il fut 3. portée d~ voix, le Le– \. nntrn le héla ... -- « !\lors ~ » L'outre attendit de s'ct1e rapproché (( Z 1 a1 fait comme VOUS (.\\Olr VOU• lu » - « Tout s'est bien passé '::> » L 'Egypt1cn sourit d'un nrr entendu et se frotta les mains. L'homme blond mit r:.1p1demcnt un t<'rme Jogue « T iens ' » ù cc court d1u- II Ju1 tC'nd1t quelques b11letc; que l'a– empocho 0' cc une ' 1s1b?c sottsfoc.. nier tlon « Sou\i c-1oi, maintenant Et~ s1 tu parles » Le be<lou1n mtt une 111 "'' 'ur so11 crcur et s'rnclrno, un doigt s ur les Jè, res - « Z1 sou1s mouct comme la p1crr D (a suivre) RODALY. Généreux, jov10.1 et popu1oirc, le bon roi Hcnn 01ma1t pass1onoemcot ln chasse. Uo JOUr qu'il poursu1va1t le sanglier dons la forêt de Montbrison, son cheval, cxc-tté por la course, l'emporte li toute allure, semant b1cntôt les autres cava– liers. Voici la nutt. Henri se trouve eo p lcrnc forèt, en un endroit tot3lement rnconnu ou lo végctat1on touffue ne laisse pas percevoir la moindre trace de sen– tier Que faire ? Il erre a droite, a ga uche . i l appelle . personne ne ré.. pond... Soudain u o bruit sourd trouble le si.. lencc On dirait qu'un pas régulier mnr· tèle le sol 11 se rapproche . devieot plus d1st10ct... Le roi écarquille les veux... des formes se préc1seot dons J'ombre . c'est un meunier qui 1' tent len.. tcmcnt, à califourchon sur son âne. Le ro1 a bondt Jusqu'au sentier : - fionhommc, cn e· t-Jl de tou,tes I CI forces, 1nd1quez-rno1., 1e vous pne, le chemin de Montbrison '::> Mais le meunier doit être méfu:int (il est vra.1 qu à cette époque les forêts sont plua frequentces por des bandits que par des rois) Il re~arde de tra"Vers l'in– connu et pour toute reponsc, donne deux coups de tilÎOn dans les flancs de sa mon– ~ure Le rot pourtilnt est bien décidé à no pas laisser échapper cette seule chance de solut Résolument, il lance son .cheval sur les traces du modeste c:lvnh er : - Etes ..\ ous sourd ? ètes-vous muet ? l'ami... Lo meunier décidément n'est pao commode Sa \01x bourrue résonne Gour• dcmcnt sous la mante · - Bien b1en 1 c::imarildc, 1e n'aime pa1 qu'on me plaisante Votre chem1n, vous le savez aussi bien G'Ue moi. - Sur mon honneur, Je vous parle sé– rieusement et s1 vous ne me répondez pa s de même, 11 me faudra passer Io nuit sous ces arbres. - Un grand malheur en vérité ' Cc ac seTa pas la prcm1ere fois, JC pense, que vous vous serez cho1s1 votre cham– bre 3 coucher dans la forêt ? ~!le, ABie, on d e m a nde d es nouve lles •.• Jean Schmitt, évacué, 28, Mo ison So rbier, ruo de Roanne, à Annnnay , dema nde ces nouve lles de R. Ray. mund, R Etienne et J Schweitzer de Me tz Lui ecr1re directement. DES JEUX. ... Mots Crois és Honzonlalenunt 1 Rcpcté, représente le nre. 2 Année • Canton de ln Côte d Or - D10contmuer (phonet1quement). 3 Fête de lu Nauv1te - lnfu.. Sion 4 Roi d Israël - Attacha avec un hen ) Détacher ovec effort 6 Mesure ch1not.se .. An– cêtre des lomen5 .. Sans ornement 1 li est pru– dent d'o.voi.r touJours cette pièce dans sa poche. 8 T ranso1re .. Et cœtera 9 Saison chaude - Roynl. 10 Ile de l'Atlanhquc - Pronom mdéfini Septteme note 11 Oem1 rase Vertical.ment 1 Chomt (phonétiq.). 2 E.poce de temp• • Idem (abr ) - Fm d'mfin1t1f 3 Con... tru:uut J'nrche ... Sutt une n.ction en Ju.5ttce. 4 Le rœme du 4 horizontal - Dévêtue.> Gaité aub1te. 6 S ur ln Tille • Souverain • Corpa dur. 1 On y met une lumie::re a l'nbn du vent. 8 Manie - Sauon. 9 Tltre du ro1 de Perse - Circ.ons~ce 10 Démonatratif • De cela • Mesure cbinoue. 11 Ruiooelct. Les lettres qui parlent Le!l lettres de l\Jphnbct aont réunies en grand conaeil. nu1n elles n'nmvent pas a se •mettre d'accord Pouvez-vou:; les y 1uder Î Il s a.git de trouver quellee ~ont les lettre:> le!l plll!I hautes, leo plU'.l b;is>eo. leo pl1111 anciennes, les plu• re.. pectnbles. leo p)ua n che" le• pl1111 légere•, leo plu:i maltra1téeo, les plu• snmea, lea plus chaudes, le! mom!l luubles les mom:i spirituelles. Le p rochain numéro de «Coeurs Vaillants> aura 8 PAGES - Et pour qui me prenez-vous donc P - Pour ce que vous êtes, mon 1eune brove T enez donc votre chevo.l à dts· tance .• - Mo1s, je suio gcnt1lhomme, dit le roi qui commençait à. s' amuser de l'aven• t urc. - V ous, geotilhomme ? Vous m'avez b1cn l'air de porter toute votre gen– tilhommene sur votre dos et voua se– n e:i., 1e crms, fort embarrasse de foire sonner a votre bourse l'oogelus. Cette fois, Je roi se ta1sa1t, cor 11 n'avait pos même u ne bourse. Mois, dans sa borbe en brousso1lle, le meumer lui dit avec un gros n re de brave homme . - C 'est égal, r 1 01me mieux m 'exposer a être dupe que de manquer a la cho· r 1té. Sun ez-moi~ mon bel oiseau, la ville est trop elo1gnée pour que vous pu ss1ez la reJorndre cette nuit, mo1s 1 s1 vous êtes un honnête homme, on ne vous 101sscra pas dormir ou cl:u r de lune - Je suis un honnête homme, dit le roi, et comme gage, vo1c1 m3 main. - Tout beilu, JC ne donne pas de po1gnecs de m::un quand 11 fait s1 noir. Plus tard, plus tard, G'Uand Je vous connaîtrru mieux. Ils cheminèrent un certain temps, l~ meumer surveillant son compagnon, et Jlr. finirent par decou,nr, au bas d'un vallon, en marge d'une rn 1èrc, une pe· tite habitiltrnn ! L =i lumière filtratt par' les fentes de la por te, quelques ctm· celles voltigeaient ou·dessus de la che– mmée T ous deux mirent p ed a terre et le meunier poussa le vantiltl en faisa nt passer l'incon nu de\ ont lui Le roi, suf– foqué 1par la fumée et l'odeur du lurd bouilli, reculôl et faillit tomber :sur son hôte, mais celui-ci Je maintint et com– mença pilr l'examiner - Ma fo1 , tu os une figure qui me revient assez .- tu ne m'ns pas l'mr aussi coquin que JC le croy:l1S SJ tu ne déplais pas à Ja ménagere, tu souperas et tu coucheras au moulin La mén::rgcrc 1 qui fa1s:ut reluire un pot d'éta n , s'arrêta pour rcga.rdcr le nou· veau venu, debout devant elle, tête nue et dons une attitude respectueuse. - C 'est un pauvre diable, lui dit tout bas son man. Nous ne pouvons pas le laisser à la porte Regarde, 11 a presque l'air d'un homme comme 11 faut Il a de Io c1v1h té, tu ,, ois, 11 soit le r espect c.tu '1l doit aux personnes qui ' a1ent nu eux que lui - Eh donc, soyez le bien' cnu , dit la meunière Pour coucher, mon garçon, " ous aurez une bottt~ de paille fraiche et une paire de draps de toile neu\ e E t pas moms que notre fils J ean-Pier re pour camarade de lit, 01outa le meunier -- Pourvu qu'il soit propre sur lui et qu' il n'a t pas de- compagmc, ajouta la femme. S'il en o, JC veux pas qu'il couche avec m01, s'écria la bouche pleine, le gros J ean-P1errc. Le roi port1t d' un tel éclat de rire tu' d mit tout le monde en belle hnmeur. • On se mit à table et on m~nl_'.!c::i du lard, de la soupe aux choux, de la fourme et, faute de f!cheletc;, !e roi but a ln cruc~c comme ses hôles un pettt v10 de pa~s qui gJ1sso1t tout seul. Le meunier, re, eou de ses soupçons, eta1t de plus en plus 1ovrnl - Femme, dit-il, ne ~·tu rien nous servir de mieux ? N'avons-nous pas ' en– core dans la huche ~ morceau de « pied lc~e- ") >. Une gr.llade exquise fut auss1tf•t dé– µecee et mon~ee - Vo11a qu1 est dchc1cux 1 dit Henri C 'est un morceau de roi Et n qucJ marché \ end-on de s1 bonne ' innde ? - Penses-tu que nous sommes 3sscz sots pour l'acheter ? dit J ean-Pierre Ea fo1t de marche, n cn ne \ aut la forêt ou tu viens de te perdre - - Ah f ah 1 ne serait-ce pornt l.1 du chc' rcutl ? ~~~CHANTE, PETIT - V raiment, dit le meunier d'un t oo ra1lleur, tu es sorcier. F audrait venir de l'nutre monde pour croire qu'on se fosse foute de gibier qua nd on l'a sous ln main. Mois to1s-12b Le ro1 ne badine pas sur les d rottsOe chasse. - Soyez tr._onqu1lle, dit Henn, ce n'est pas moi qui en parlerai JOmo1s ou roi... Sur la paille fraïche, le rot dorm it aussi simplement qu'il avait mangé. Et l'aube avait depuis longtemps rosi le ciel lorsque la \ OIX 1ovialc du meunier l'ap– pela à Ja. eu s10e où l'ottcndau un so– lide dé1euner. Soudarn un bruit de pos fait trembler Io porte de bois li y o toute une foule de~ors, des chc\aux QUI p10ffcnt, des ca· vahers qui s'interpellent, des tirmes qut s'entrechoquent Le meunier inquiet regarde H enr:i. Henri, un sourire b.zarre au corn des lèvres, regarde le meunier... des coups sourds ebronlcnt Io porte et presque aussitôt une troupe de gentilshommes en· vohit Io ch::rnm1erc Entrés hardiment et prêts à interpeller Je meumcr, les \Ollu qui se taisent brus· quemcnt , mettent un genou en ter re de· 'ant l inconnu · - Ah r Sire, vous 1e1 . nous vous cherchons sons trêve depuis hier . Sire ' Le meunier affole regarde son hôte et tout :i coup la ' en té tra' erse son esprit en un eclorr Le roi ' c' est le rot qu'il a hébergé si cnv:ih eremcnt c'est ou roi qu'il a ré\ clé lu1 -m~me les larcins s1 sou\ ent commis dans ln foret T remblant comme une feuille, le pau– \ re hnmmc s'ccroulc oux pieds du ro , mais cclu1-c1 en n:int, le relt.:vc, lut donne 1 accolade et s é'"'•~ne sur un JO} eux « au r~' 01r » • Plusieurs Jours ont p!lssé et, d~ns la chnum1ere du meunier, l'inquiétude na cesse de grnnd1( Le roi ne b::idrne pas FRÈRE~~~ Paroles et ftlusrquc de A L osay, A m11ôu or C V de Dieppe, '" ~## Clr.ln- te, chan - te. pe _ _ ttt r hè - re - ment ta F01, Ton â • me r cla1 - re, • 1 Et 1 re Dieu QU• vit en ~~H r G qg v 1F v J fre-re, Chan- te Ier. ven.Je et f:"I 1 ! r ! OL Pe - t1t frère à l'â -111e da1-re. Char>-tr lie . remenr 1a f QI IV Clrnn•c, ch~nte, petit frère, Il faudra b1cntÎll lutter. C ontr(" ln ha111c ou ln guerre, Chame ~ fort la chnritc 1 Ne cra ins pas, mon petit frère, E t chante s 11 faut lutter. V Chnnte ch'1nte, petit frère, T u feras mieux torr devo ir S il te o:emble plus nustcre, Si tu SC'ns le J ésespo1r, C lrnntc, chontc, petit frerc, F:::i1s Quand mcmc ton de\ 01r. V I C!tnntc, chontc, petit frère, P otJr ccu.., qui ne chantent pas, Ceux quP .. .,ngc la. miserc O u ceux dont le cr.cur est las Toi QUI chantes, petit frèro, Oh 1 ne les dédni~nc pas 1 sur Io quCition du braconnage... ci:.tte of. faire, uo 1our ou l'antre, aura uoe triste fin . U n matin, en effet, ua page vient frop.. per à la porte du meunier. « L e roi, mon maître, vous invite à venir ou chô.. teou avec votre femme et votr e fila... »-. - Que nous vcat-il ? demande timi– dement la femme sitôt le messager parti. Le meunier n'avait aucune illusion : - Nous pendre haut et court... à cause d u chevreuil... !\fais taot pis, nous irons bravement, tous les trois... Ço, mon fils et ma femme, fai&ons de notre mieux. Les pourpoints et la robe rouge fu– rent nettoyés, Jeiln-P1erro mit è. son cha– peau Io plus belle plume du coq, le meunier Jetil sur le dos de l'âne une couverture verte et orna ses oreilles d'un filet à fraoges. Ils arrivèrent dans cet équipage devant le roi, qui avait interdit les ra llcnes. - C 'est pourtant \rai, dit Jeon..P1erre, qu'i l ne nous a pas oubliés. - Eh, comment :iur!ll·Je oublu5 mon cam::irodc de lit, dit Henri. - 0 '1 ! oh ! protesta Jean-Pierre, sauf '\ otrc respect, Sire, "ous n'êtes pilG un bon coucheur et, snns (i'Uclqucs bons coups de poing dons le dos... - T c tau-as•tu ? mnnant .. La rcmc çtnbrassa Io meunière qui en resta roide comme ln dame de pique. O n se mit l table et le mcucucr, p1cin de confiance, se mit à boire tout cc qu'on lui ' ersa1t. Q uand 11 eut !Ioûté de toutes les bouteil les et de tous les plats - Vroiment, dit .. 11 à sa femme, nou~ n :l\'Ons pas de m ctlleura • Îas - ~lais vous avez. de meilleurs rohD, obsen a le roi, JC regrette de a 'avo1r pas de « p1ed-le~er D a '\OUS offrir .. - Halte-la ' crin Jean-Pierre. sans cesser de manger, c'est une trahison, SJ(e, 'nus O\ iez promis de n'en rien duc à personne - Tu as r"a1son, J ean-P ier re, dit Je ro1 1 il ne faut pas que Je roi le sache . Pourtant vers b fin du rcpils, 11 an· nonça ::iu meumcr Qu'JI J'a\r11t nommé garde-chasse de la forêt ou dn s'étn1ent rencontrés - Pour que tu me conserves, lui dit 11, les chc \ remis que tu :nais l'ho.b11udc de me prendre. Cuy CHASTEL Notre devin e !t9e - conco11J11rs du dernlell" numéro J e pense que vous ove:: fou::; re– connu le grand roi Louis IX fSomt Lou1S l , né à Po..sy le 25 a vril 12 15 et mort à Tunis le 25 août 1 270 Qua nt a Io plus belle ovcnt urc de sa vie, cc f u t la Croisa de organisée pour aller délivrer le tombeau du Chr1St. QUI A TROUVÉ ? Mots cr oisée II Ill VII Honzontc.lemcnt - 1. Bas~lte. 2 Abonda Chante, cb:rnte, peut frère, Chnnte, chante, petit frè(e, Chante, chante, petit frère. Luce - M1 4 S r - :Vr 5 S,1~ - T D (Thomas C hante riÎn Dieu tout le JOUr C h::mte pour \!arncrc le mal ~lets ta JOIC au fo11d des cœurs, Drummond) 6 E,1oporc 7 R~ctfes Que ta voix monte en pncre G :Jrde en ton cœur la lum1cre, Ton sourire et tri pricre Vcrttcalcment - 1 Balt~r 2 Abus1~ 3 S oc.. .. Et ton chant en en d amour S ois vaillant et sois loynl 1 Feront n:.11tre du bonheur Tac 4 Ane - Epi 5. L D ( i.AuiJ Dav1d) • Petit frere, en ta priere, R este pur, mon petit frcre, G~udc Dieu, mon pet it frère, 0 E . ( Oter ) . 6 Tcm drt 7. Erm1fr.,. Chante a Dieu tout ton amour. C hante pour \ a,ncrc le mol. Tu scmeros du bonheur. 0 d d 'I d L l _.,;;_ __ _,..;.;.;.;..-mi 9 - -----.. llll"'-~---•r-----•liim------••-------· ...-..., 11 eman e an œ1 e ynx... ... ~ L< mot o trouuu .rait TRANSYLVANIE et ,/ Une colle poor lu forts en français Trouver un mot tel. que plncé devant chacun des motsc1-dessous,1len fosse autant de nouveaux Pos1uon - Dire - Table .. F1xe - Face ... Parer Caution - Nom ... Sure - Texte· Voyant - D1ct1on Venir - Caire - Tendre · Cite - Ceder · Post , Les ombres courent ! U soleil commence d faire de t11nzdes DlllJl!– rlltons et enfin vous pou.v1•z 7ouer dans ta cour ou le 1arttm 1eu de ballon, de coui se, cliat perclu:, l aut u 11a."ïSt! au;ou1d'llut nous vous do1mo1• une nouvelle façon de 1011er d cliat, et pas m.v ft!J amusante. qut! l'aulf t! bien au. contrau·e Celu i qui est le chat se sert de son ombre 11ow· attraper lu aut1·es Est 111 tR et devient chat d son tour celu i dont l'omb1·e a tté r ecouverte, s• peut que ce soit, par l omore du chat C'est un JW très animé et 11/ein d'1m– prt!vu , u n 'u t JJas si facile que cela de ma– nœuvrei· so11ombre1 D'autre pai 1, w se bais– sant t'Jrus<t.uemtnt on raccou.rctt son ombre, dt! mlme qu en se penchant a di 01te 01• à aauclie, sans bouotr sot-mt mt! 011 la diplact! sans qu'il par aisse. COMPLET MES!:IEURS Découpez cea 3 S et essayez de lea loger dans le paral– lélogramme c1...contre. La caverne d ' .!\li Baba Ah Baba n cntra.înc un Jeune imprudent au fo nd de sa Cll\ er'nc que vat 11devem( s1 nous n'ai Ions pa,.s bien vite le del1vrer en (OUie petit frere, mo.ts attention 11 faut po.rhr de " E ' et nrnvcr a ln chambre ' C en se fra)l::tnt un passage a tra· vers les galeries qui ne sont p:is fe(mees pfl( des porte9 bonne choncc 1 Un p roverb e est c a ché... De chacun des c11u1 1no1erbes c1-rles~ous 1 ret11·er UTl mol et tro1we1 n1ns1 un s1x1üue µ1o– ve1 be Le 111emre1 mot r/lll co111vose te 111 01 e1Vt! d t101wer se tJouve ttnns le v1·e1111e1 p101c1•lJe. le serond mot dans le uco•HI m ot t:1 be et a11l s1 de s111te A clrnque )OlLI sufnt sa pc111e Chose dtfeudue chose des11 él ()111 n lerme ne doit 1·ien A chacun son met1er u tunvs per1J11 ne se recou vre 7io111t Un mazchand astucieux Toto est resté perplexe devant lii nouvelle bou tique de la rue Chose, le ndco.u n'est pas en· core levé et 11 peut seulement contempler cette t!:trange enseigne. que peut elle bien vouloir dire . 0 000 0 00 9 Le coin des cherche urs 1 Q uel est le s~1nt qui o le plus de cheveux 2 Quel est le sn1nt qu'on trouve chez le qu1ncaallier ~ En quoi un coq ressemble t il a une montagne ~ J a1 un beau cho.pe11u pas de tete, un beau pied, pas de souliers, QUI suis Je i> 5 Quelle! sont les quarres villes de Frnnce qui, unies entre elle~, cgalent 321. Pouvez-vous ecn(e un mot de a1x lctl(C' O\:CC S voyelles i> Et sour-i.::1~rc vivante avec 4 lcttre:s "} Que signifie cet etmnge message. atdoz moi o le dcch1flrer LtZARD RIS MOIRE VAN FST et celui c1 1e crois qu 11 s ng1t de 4 VIiies françaises c Mystère et boule 'de gomme. /olla1l ope.ru am.si T o. 3 1 o i r n y v n c. Alla 1 Allo 1 Détectives. En t!.lrmmnnl l~:s t:uclt!.$ gru tl now r1.Jte la ldtus cks cacltJ blanc.s cl c1:..s ccrdc.J norn. ~Ott T-N-E-U-R-N-E qrn .sont l'anagramme: d.e TURENNE, ctl<bre mar<chol de France. Ce q u e pense le ...a,och a l 1 La rou.e mUltenaz.se vu nl k nous /uJur son secret, d vow pouo~z maintenant connaitre ta ~ruce cl!! notre arand cW. Ré bue C'est en forG<emt qu'on .Uvunt for~ron. Le ca ln dea chercheura. 1. Z<ro. Il. Foin. Ill. Il dirrunU<. IV. Son J<mblable V. Pore< qu',/, ont 1<1< l'ancre VI. C.rf– volanl Vil Lo clu:mtSI! n'a qu'un col et lu Alt><• en ont plw1<ur>. VIII Le, dow d. •oulim. No1rc1ssez tous les petJts carrés marqués d'un pomt de cet étrange labyrinthe e t vous Un fermier obtiendrez mats mystere et boule de e m b arrassé . gomme. - SOLUTIONS au proch ain n uméro Oui I mau grâce à Voto 1l a pu rtlrouver ] tannot lot1tn qui sen donnait a cœur Joie dans le PCJla.acr. Cette 1ei:u1ae aC11a1 aua• 11ca du je:ar d1 : Jean van Doxsom. René Ca.Mnava. Row-cr Delons Michel Mo11cnicr. H h1 Mattéi Jeon Gutllon. Ohé, les as e n calcul ! .. 11 pnrt de Lyon, 1our et nuit et c\uquc minute, un train ô destmation de Valence. Chnque train met exactement 60 minutes pour o.rriYer à cksu– nation En sens tnverse 11 p:irt auui de VcJence, du.que minute, un train QW o.rnve 60 m1ï1utcs plus t.nrd a Lyon. MonS1cur D un.nd monte dan' le tratn de 12 heures 0 Lyon Il arnvc dom:: 3 1 heure o Va– lence. Combien de tro.rns o-t-11 rencontre 1

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