Cœurs Vaillants 1941

S j ~~!fYll<GW&Rül_~~ AVIEZ-VOUS? !_Ullit/p!iJ]ife_~;;;;; parfe-.. :j Voici pour notre ascension les consignes pratiques de la semaine Une mouche est une mouche... Non, il existe 40.000 espèces de mouches ! ! Il y a un bon moment que les équipes montent ferme sur Io route qui se fait de minute en minute plus difficile. Regarde ta carte d'ascension. Avec l'étape no 6 {celle de la' semaine passée), les dernières ff_acos de · verdure ont disparu ; c'est la neige maintenant, la neige fraiche dont l'étendue- 'fltlollc a tout recouvert, brouillant les pistes, nivelant les tolus, escamotant • Pour les groupes et pour les isolés •••• N'y a-t-il pas Jà de quai foire pâlir les naturalis– t es ? Et cela n'est rie:i, la science énumère au– jourd'hui 400.000 espè– ces de bêtes. Si les in– sectes tierinent la pren1iè– re place avec 280.000 e~pèces, il ·y a aussi un nombre impressionnant de poissons, oiseaux, mollus.. les points de repère. Pour comble de malheur, la nuit vient et il semble, dans l'ombre sans cesse grandissante, que le. Guide s'est fait, tout à coup, plus lointain... Pourtant, il nous o été joliment utile jusqu'ici, le Guide... Sans cesse présent, attentif à nos moindres efforts, c'est Lui qui nous o appris à nous aguerrir, à nous entrainer, à nous aider les uns les autres. C'est Lui qu; nous a donné, ou fur ·et à mesure de la route, la Loi qui récon– forte et la devise qui entraine, le précieux conseil qui aide à vaincre les obstacles. Et voilà que maintenant, juste au moment où tout s'embrouille, il n'est plus là... L'étape est longue... l'effort est rude... nous avons soif, nous avons faim... faim et soif de réconfort physique, de nourriture, de repos... faim et soif aussi de réconfort moral, de lumière, d'appui, de confiance... Le semaine· dernière, pour Io première fofo, vous êtes allée chez « vos pauvres ». V oas y êtes allés les mains pleines, le sourire · aux lèvres et déjà, il y a chez e ux, è. cause de voua. un peu pion de bonheur. " Mais tout celo n'est qo'un commencement. Ce que le Guide vous deman· de cette seme.ine, c'est de continuer vos visites afin d'arriver à le foire naître, Lui, qui, Seul, donner Je bonheur. . ques et reptiles. Les mam– mifères viennent en tout dernier rang, on n 'en connait en effet que 200 espèces. • Que penserait le grond naturaliste Linné qui, au XVI 11' siècle, dénombrait seulement 1.1 OO e'pèces animales existant sur la terre ? Ah ! voilà le Guide !... A un détour du chemin, brusquement, il vient 11 ne e'agit pas, ~-·---'-....;:i_ sûr, d'aller faire à vos pau- ,._ · de nous apparaitre (Jésus n'est jamais loin quand on le cherche vraiment> et tout de suite, cela va mieux. D'un geste Il nous · Qu'il existe dans une des plus grandes forêts de notre sol., la forêt de Tronçais, un ·chêne magnifique qui porte le nom de Philippe Pétain a remis sur la piste et là, .oui, c'est bien ça... là, au creux du vallon où il vient de nous conduire, il y a l'abri, le bon abri chaud où Il nous a préparé un gîte et un repas. Biefthouroux êtes-vous d'avoir eu faim c.t sait... nous dit-il en nous accueillant... bienheureux êtes..vous parce que vous serez rassasiés••• •. C'est vrai que ça parait tellement meilleur un solide repos quand on a eu vraiment faim ... c'est vrai que ça parait tellement meilleur de trouver Jésus quand on s'est senti seul et désemparé sur la route de vres, de grands discours et de beaux sermon&. Non. Il s'agit seulement de continuer à i ller leo voir souvent et de voue montrer, chez eux, de vrai~ Cœurs Voillonu, afin qu' en vous vovant agir ils oient envie de connaître Celui qui vous rend si chics et joyeux. li ne faudra eas V aller les moi1tS rJides. Evi– demment, tl n est pas questtoa de leur porter chaque seinaioe, un gros poquet comme la semaine Jernière, mois des petites choses qui pourront se renouveler souvent : votre journal - un petit jeu, un petit objet fabriqué por vous - quelques pe– titu provisions (fruits, légumes 7 bois pour ellu~ mer le leu), etc. Et ce chê ne, devinez qui la vie... · • l'a planté ? Un ,irond ser– viteur de la Fronce, lui aussi. Cor c'est Colbert Petit frère (tu l'as vu encore mieux que jamais au cours de notre Il ,,·y a eos Que ce QU~On a~porte. il y a aussi une quant1te de petites gentiffessee qui font en– core plus plaisir : petits services, commissions fai– tes, enfants qu'on illvite eu Group."! ou à jouer à Io maison 1 etc..• qui, chargé, en 1669, d 'ef– fectue r le reboisement des forê ts, fit mettre un gland dons chaque espace vide. Un · d e ces glands est devenu l'arbre magnifique s'é levant droit à 40 m è– campagne de charité>, il y a de par le monde beaucoup de pauvres gens qui ont faim et qui ont sait... faim et soif parce que la misère s'est abattue sur eux et qu'ils ont tout perdu : travail, foyer, famille... faim et soif aussi do lumière, de justice et de charité parce que personne ne s'est trouvé sur leur route pour leur montrer le chemin du bonheur. Toi qui os connu la ioie de rencontrer le Guide et de marcher à so 'iuite, pourrais..tu rester insensible à leur détresse ? Cherchez chacun ce qne vous pourrez foire. Cela variera avec les groupee 1 Jes pays, les familles. Cela est possible partout et pour tout le monde. L'important, C'est de foire quelque chose et cela est imfJorta"t parce qH cola préparera les prochaines étapes que v ou.t •e pourrie: ~as Jaire si v ous ne réalisiez pas bien ce//e-ei. tres dans le ciel, et porte aujourd'hui le nom du grand François. Chef de l' Etat Tu sais bien qu'on n'a pas le droit de gardér le bonheur pour soi tout seul, tu sais bien qu'on ne peut pas aimer et connaitre Jésus sans se sentir obligé de le faire aimer et de le foire connaitre, tu sais bien que le Christ a voulu avoir besoin de toi pour se do"nc• aux autres. Comment les Américains choisissent les noms des navires de guerre ? Alors, vos-y, petit hère, ce que le Guide te demande cette semaine, c'est de te donner à ta tâche d'apôtre à plein cœur, c'est de travailler de toutes tes forces à étendre «;le règne lumineux de la chrétienté, c'est de faire e n sorte que par te vaillance, ta générosité, ton s~urire, il y oit cette semaine un peu plus de cœurs qui découvrent le secre t du bonheur... Bien entendu t'Oa .s mar rurez les flisites cit~s les services ren us, es petits ca eaux aits, sur votre· tableau d'équipe ou sur votre car.net d'alpi– niste comme la semaine dernière. L'Aipiniste. N'allez pas croire que le secré taire d'Etat à la Marine de Guerre peut baptiser )es nouveaux na– vires sc ion sa fantaisie ou le goût du jour. Il doit se conformer à des règles fe rmes. N'oubUez pas de lire dans la colonne ciooeontre les consignes pratiques pour celle semaine. Un mot encor~. la semaine prochaine, nous pré– parerons ensemble one petite fête a laquelle vous inviterez, à l'occasion du Mardi.Gras, les familles que vous aurez visitées. Cette petite fête, il faut commencer à la préparer dès maintenant (et c'est pour cela que nous vous donnons dan s ce numéro une saynète écrite epéciolement à cette ioteotioo). Les sous-marins portent toujours des noms de pais– sons. Les porte - ovions, des noms historiques, de navires de guerre ou de ba 1·a illo. Les drag ueurs de mines, des noms d 'o iseaux. Quant aux grands remorqueurs de mer, ils portent des noms d e tribus indiennes, e t les remorqueurs de parts des noms de chefs indiens au encore des mots de langue indienne. Mals oal, caT d epuio toujoan, la France a ét6 la patrie des cœurs gén~reax Voyez en conseil de chefs d'équipe comment vous pourrez vGus distribuer les rôles et commencez à éla– borer le programme. 11 pour'ra v avoir des chants, des saynètes, des histoire' ou des paraboles mimées, des danses, un petit goû· ter suivi d'une distribution de jouets eux enfants. Il faudra que ce soit très gai et très familial. Cela Il en est de même pour les diffé rents bô li – ments de guerre, dont a uc un nom n'est laissé ou hosord. Tu vol.5 cc roi qui a lnvit6 à s a tallle les pauvres qu'il a rencontrés - Qui d'entre vous • aura deviner son nom? l'époque à l aquelle U vivait, et la plus grande aventure de sa vie ? ORGANISEZ DONC UN PETIT CONCOURS en équipe, au gToupe ou en famille , le soir. Préparez un prix pour le gagnant et•.• attendez la semaine prochaine, C.V. vous donnera la r6ponse exacte. pourra être nussi une excellente occasion d" faire pltJs ample conmiissance avec ceux qui acliètent leur joornal dans les kiosques. Invitez-les. cument 433 feu vert qui fait de l'escarpolette. 1J « Non. Mois ce serait peut-être compromettre le succès de notre entre– prise que d'obéir à. un mouvement ir· raisonné. » RÉSUMÉ. - Un dossier contenant le secret d ·u.ue invention 1n·éc1c.u se pour ifh Patrie a dis11aru le jo1i1· meme ac la mo1·t de son invu1.te1i r. l e (ils de celui-ci tt. un de St!S amis décident de retrouver le voleur rotitc que coûte. lis ~·,~mi~iri!~in~r:i 0 ~~~1i;,~,qulA 1 ~Ji~~i;- d!:' ,,~~3,1!attl~~ u11. levonti11. qu i les nttfre daus un. mut m1ens. Ils rl!ussissent rts'échawei· et 1·etl'Otiut11t l'l1om- 111t du. mt d des 7JV1'<lmides. Mais 11n yuidc. mystérieux abandonne les jeunes aens dans 1m labvrintlle. - « J 'appuyais fortement ln ma.in con– tre ]a. muraille quand, brusr 1 'Ucment, j'ai senti celle-ci se dérober, comme si une porte s'élaJ'/ soudaintJtnon! ~ ouverto. $ - « Une porte ? » demanda Dupré j ustemcnt intràgué. - q, Ce fut mon impression. A l 1 ine– tant où je tombais, j'eus le temps d'aper– cevoir une lumière verte qui se bolan– çnit dans les ténèbres et... » - « ... et? l) - « ... une ombre opporut, immense, parmi. les sarcophages qui garnissent la pièce. » Dupré retint son soufH e : - « Tu dis, des sarcophages ? Alors ce n'est plus le couloir... Nous nous sommes fourvoyés encore une fois. » - ({ Peu importe, de même qu'il n'y n pos de fumée sans fcuJ il n'y n pas do lumière qui ee ballade sons que quel– qu'un la tienne. » - « Ça c'est juste 1 mois G'UÎ bran• dissait ln bougie ? » - « Cc n'étoit pas une bougie, mais une lanterne. :& Dupré réfl échit un iristont puis deman- da encore : · - « Et l'ornbrc, tu l'os... reconnue? » Il ajouta en riant : - ({ C'était peut-être un lantômc. » - <t Tu as vu déjà des rcvcnnnh se servir de lanterne P » - « Avoue, quand même, qnc le feu vert et l'ombre mystérieuse ça fait déjà pas mal vieux château. Il ne manque à cela que le bruit de chaînes traînant snr les dnllcs. » Serval prit une voix grave : - « IL Y AVAIT UN BRUlT DE CHAINllS. » - « Tu . dis... qtJe... qu'il y avait... enfin, que tu os entendu. . . ~ - « ... des chaînes se heurter ? Ouii je puis te l'oHÎrmcr.. » - « Enfin, tu ne vas pas croire, par hasard, à l'existence de fontômes dons les pyramides ? » - <I Pourtant... - « R éfléchis. voyons-noué ? Un personne autour. l) Pour feu, l'instant que une omtire et Dupré eut un geste d'impatience - « E nlia, l'ombre appartient bien à quelqu'un ? '1> Serval reprit très calme : . qu'un ~ - « .Non, pas le moins du monde, ni jeter• dans les pyramides, ni nulle part, mois « Sans doote, seulement cc quel· où se trouve-t-il P Vae-tu te témérairement Bu milieu de ht il est ccrtoin G"lle quelqu'un se promène par ici. » - « ÇD, alors, c'est... » Roger ne put en dire davantage, Io main de son compagnon venait de se plo– quer fortement .contre sa bouche, en mê– me temps Serval lui glissait tout près du visage : - « Motus 1... et regarde. » Débarrossé des doigts qui lui compri· moieni les lèvres il se leva lentement sur les O\'Bnt-bras et ce qu'il vit ne fit qu'a.ugmentcr son étonnement : une lan– terne ou feu vert se balançait dans l'om– bre et, chose curieuse, elle semblait n'ôtre tenue par personne. C'est en vain que nos h éros éc!lrquil– laient les yeux pour tô.cher de découvrir celui qui imp rimait au fanal ce mouve· ment de va-ct ..vicnt, mois dans le halo de lumière projetée autour de l'objet~ au– cun être ne donnait signe de vie. Et pourtart... sur un des murs, une gronde ombre se mouvait. · - « Ça c'est fort 1 » s'exclama Du· pré. Le,s jetJnes gens n'arr.ivaient pns à re– connaitre à G'Uel mystérieux personnage appartenait Io silhouette dont le visoge se pro61ait sur Io muroiUe. Dupré ne tenait plus en pince ; et si cc n'eût été la présence de -son compagnon pour le retenir, il eût bondi sur la lanterne pour s'assurer qu'elle ne se balançait pas, seule, dans l'ombre. « Reste tranquille 1 lui souffla Serval, nous n'avons rien à. gagner commettre une imprudence. » Roger faillit s'emporrer « Nous n'allons pas rester 1c1 JUS· qu'i1 la fin des siècles à contempler un • :j"' 0Pei8'ant à "" signe 111vsterie11:r, trois hommes s'élancèn::LI... salle au risque de tomber entre ,· }e5 moins de celui qui certainement n'attend que cet élan d e notre part. D Roger se plaqua à nouveau la poitrine au sol : - « Tu crois que ça peut avoir un rapport avec le Document 433 ? " demanda-t-il soudain mis à la raison. - <' J'ai des raisons de croire que ce feu doit être pour nous )a flommC qui attire le papillon, autrement dit le piège dans leG'llel il nous faut éviter de tomber. » - « Pourquoi, aureit-on perdus reprendre ensuite demanda Dupré, nous pour chercher à no11s ? » ' - <I Mystère, fit Serval en se grattant le front d'un oir embarrassé. Pourtant, si nous récapitulons les derniers événe– mcDts qui se sont écoulés, nous voyons une succession de .faits qui laissent sup– poser que l'ombre et le feu vett ne sont qu'un nouveau maillon à. la chaîne que nous · suivons. :> Tandis que Serval prononçait ces der– niers mots un bruit particulier venait de frapper leurs oreilles : celai que font de• anneaux m étalliques en s'entrechoquant. - « Tu O!l entendu P » demanda · Dupré holetapt. Mois l'inciQent ne se renouvela pas. Cependeot, le froid qui régnait les engourdissait peu à peu. Et le feu vert, passant et repassant snns cesse 'devant leurs yeux, fin(ssait par leur procurer parvenaient à 1es ligoter solidement 1 leur interdisant, ainsi, tout usage de leurs membres. - " Voilà qui s'appelle travailler », fit le chef, en affectant one certaine ad– miration pour son équipe. Pourtant, en contemplant Serval et Dupré ficelés à 5es picde il pnrot e'at– tendrir : - « Pauvres gosses, c'est dom.mage d 1 en arriver là, ils méritaient d'oHer jusqu'au bout 1.>. L 'un des personnages du trio ne crut pas cacher sôn admiration : - « Ils ont du cran les petits it~rs ... ]) L'outre haussa les ép3ules, marquant son indifférence pour cc qui allait Boivre CA suivre ) RODALY. un impérieux besoin de dormir contre,.._._____,.,._____ _,~---- lequel ils essayaient, vainement, de résister. ~ Et, presque du même coup, ils som– brèrent dans le néant. Nos héros. dormaient déjà depuis un certain t e Oli'S d'un sommeil profond, quand la lanterne cessa son mouvement de balançoire, s'arrêto à un point fixe, et descendit jusqu'au sol. Sous l'éclat de la lumière qu'elle pro– jetait autour d'elle, Serval et Dupré, s'ils n'avaient été plongés dons leur sommeil, auraient reconnu Jons 111 silhouette qui s'approchait d'eux un personnage qui ne leur était pas particulièrement sympathi– que. Celui-ci s'empara du fanal, l'éleva à bout de bras devant lai et, bientôt, s'ar– rêta près de nos· héros. « Eh bien, pcnso-t-it, narquois, ils sont plus forts encore que je ne le pen– sais : ils n'ont pas voulu approcher jus· que vers la lanterne de peur qu~ ce fût un piège. ~ Après s'être essuré qu'ils dormaient profondément, il pivota sur lui·mêmc et adressa un signe mystérieux en direction du centre de Io salle. .Aussitôt, trois hommes s'élancèrent. Jls avaient le type égyptien nettement ac– cusé et semblaient obéir aveuglément à celui qui les avait appelés. Sur un ordre rapide, ils tirèrent de leurs poches de fines cordelettes et, ton· dis que l'un d'eux s'appliquait ii bâil– lonner les jeunes gens, Jes autres, sans heurts, avec des précautions infinies, Pour discuter entre vous A propos de Jean-F.-anço!Jo. Qu"est~e que Po.ul a bien pu foire chez Lu· cien pour y rester si longtemps (Pourquoi Jea.n– Fro.nç:ois pensc-t-il que c'était du chic trnv.ûl ~ Qu'est-ce que Jean-François et son équipe foi– so.ient nu local qu.o.nd Daniel les :i rcjoinb ~ D"où venaient les objets qu'ils étaient en trnin de ronger ( Que vont·ils en fnirc ensuite ? Oue faisait Roger avec sa. draperie ( Qui rcpréscn.. toit-il ) Pourouoi les C.V. de ]enn-Frnnçoi!I ont– ils choisi cette scène à mimer pour b fête quïb veulent offrir nux pauvres ( • A propos do notre ascension.. Est-ce que le guide étnit réellement absent nu moment où les montagnards l'ont cru dis– paru ( Quilnd n-t~on l'impression que ]êsus est loin ? Cite dc:i. e."<emplcs ?·D'où celà. vient~il Î Comment fout-il foire a.lors pour le retrouv~r ? Pourquoi Jésus n~t-il besoin de toi pour 5«: donne..r nux autres ) Comment ton effort de cette semaine peut-il ogrondir Io Chrétienté ) · Comment vas-tu réaliser pr:ltiqucment cctcRort ? .!!. propoo du Jen de la Charltl!. A quelle comigne obéissent les C.V. mi:J en scène dans ce ieu ( Cette consigne qunnd o.-t– clle étC donnée aux chrétiens ? P .:ir qui ? Cite des phrases où elle est exprimée. Queb :i.ont lc3 personnages historiques quÎo.pp:lruisst'nt nu c:ours de la. soyn~tc ? Por quoi se sont~ib fo.its rcnur.. quer ) Pourrnis-tu en citer d'autres qui nveÎr_nt lo même vertu ? ~~e .1Et1 Je la OiDRÏTÉ 3° C.V. : Oh,mo.isl'idéenevenaitpasdeluil teau est fait de deux. capes de telle sorte LEC. E.: Nous les chrétiens, 2• C.V.: Et de qui donc ? · que le moment ve11u 11 semble le partager l" C.V.: Nous les petits. · ( On entend, à bouche fermée, l' Ubi en deu.~. !l contempl~ le 11~e'!diant qui arn·ve TOUS: Les Cœurs Vaillants, ~~~ Cari.tas) . en sens inverse, puis, d;:~idé, partag~ son LEC. E.: Nous montrcrora à nos frères ~ ~Ctl'~fo: LE C. E . : Ecoute, petit frère ( ili se manteau. L e pat~'UTt expnme s~ gratitude, souffrants que nous les aimons. ~ .::'"/!}. rangent de biais en avant de la scène à gau- tous deux poursuivent leur chenun. Pendant 1er C V • N faire ~~A ~~ic/~ecpr;;;.i~~":i,~el'e~rr,:;rJ · d~cs~~i~~ ;~'::ni::rn:;rs!~ts d1°/:Ü iI. bcuf/RJ~S.'Jes, trouver · • • ous saurons leur Cc jeu compose · 1pécialement pour Io petite rntc que vous offrirez à vos pauvres le mardi-gras, est très facile à jouer. Aucun d écor. D es costumes très simples : tuniques longues, cap:t!s, couvertures, etc... o~ peut augmenter ou diminuer à volont~ le nombre des acteurs, modifier suivant les circons-– tonccs les services réalisés par les C.V. U ne seule chose importe : jouer de tout son cœur comme si on vivait la scmt pour de b01J. PREI\1IER TllBLEAU (Troi• Cœurs Vaillants jouent aux ln/les : cm entend tùs réflexions : • A toi, à moi, lnen visé, veine, etc... Arrive le chef d'équj'pc.) LE CHEF D'EQUIPE (saluant) : UNIS, petits frères ( les Cœurs V ai//ants répondent UNIS). E nfin je vous trouve, je vous cher– chais. PREMIER C.V.:. Pourquoi faire ? LE C. E. : Eh bien voilà, je sors du conseil de chefs, on a décidé des tas de choses, c'est fonnidable. 1 °' C.V.: Quoi donc, dis vite. :zc C.V. : C'est pour l'ascension de la Montagne ? la recherche du trésor ? LE C. E. : Naturellement 1 Il s'agit de suivre les conseils du guide. TOUS : Oui, oui. 3 ° C.V.: Oui, attends (il cherche) . li faut aider ceux: qui ne peuvent plus monter parce qu'ils sont fatigués. LE C. E.: I;>arfaitement, mais où troUver ceu."< qui sont fatigués ? 1•• C.V, : Ben les malades, les pauvres. LE C. E. : Oui, et encore ?... Ceux qui sont fatigués p3r la vie p énible ? 3° C.V. : Les réfugiés. ! cr C.V. : les expulsés. 2° C.V. : les prisonniers. 3 ° C.V. : les chômeurs. LE C. E. : C'est ça, tous ceux qui souf– frent, ceux qui n'ont plus de toit, plus de tr.lvail. , 3° C.V.: Ceux qui ont perdu le bonheur. 1°• C.V. : Alors, on travaille pour le Secours National ? LE C. E. : Exactement, et vous vous rnppelez ce que le Maréchal a dit · u Il ne s'agit pas de les plaindre, Il faut les aider et les défendre contre le:< rlg ueu.n; de l'hiver. n 2° C.V. : Ça c'est une chic idée, et il faut s'y mettre sérieusement. 3° C.V. : Et il foudr:i donner quelque chose qui nous coClte. C'est notre tollJ' fi nous les petits d'aider le Secours National. LE C. E. -: Surtout quand on s'appelle l'équi?f' St-PAUL. Vous vous rappelez comme il a su organiser le Secours National en faveur des chrétiens de Jérusalem ? l cr C.V.: C'est vrai, c'était la prerruère fois. MOTS CROISÉS Borizontalem.: 4.Roc/le volcanique. 2. Quand on le {a1t clans le mhne se11s quequelqu'un,c'est que l'on est de son avis. 3. JI y e11t 3 papes de ce nom. <A 1'ClJ0111·s) tierce de do majeur. 4. 1A reûottrS\ Initiales de l'/1.ymne de f>t-Jean– Baptiste. Con1onctio11. 5. Situation yeourapl1i– que. tA re(Jow·s) Initiales : ::;es travaux ont ameni! la dtfcouve1·te de la lumière oxyd11qu.e. 6, ElOtWdi. 7. Tu te fais totts les joura <te tes /eçons. 6 &. ) '1 j ' 'l . j ~-+--+==-- " w~~~ j • f Vert.icalem. : 1. Fabriquer u11. ou-vrage desllne d rndiquer les aanoers que prt!se11 tent u1'. vort. 2. co11t1'Ulre aux lois. 3. Dans ta c//arrz•e Sorte de oale qui atteint les c//e– vaux. 4. Pas si Ptte qu'on le dit 01.wrnoe etabli au bord d'u11e 1·ivitre pou1· av·ioer le cours de l'eau. a. Initiales d'un 01·011d 11eintre de /'t!]JO· que de Napolëon. Plwttéliq·uemente1i.le.ve1: G S.e (ait aux vieilles 1·ooes. 7. Ne 1tevra1t ia11ia1s etre au pluriel. • Allo ! Allo ! Détective 00000 00© On dCJ'l"l,3.ndc un peu de pcnpicacité. Des lettres sont in>crit~ dan• 3 cat~orih de cttcle• dont un est. D élimiria pour obtenir 1'onearamme d'un ,.rend Maréchal ~ Fronce. des Pauvre". LE C. E.: Et la nwt swvante, Jésus re· TOUS: Le chemin du bonheur . (L es Cœurs Vaillants resteront .,, vetu :de cette moitié de manteau apparut à ( l.il reprennent leur place comme précé- place pendant les sctncs suivantes. ) Marttn et dit : cc J'avais froid et Mar tin demment ). m'a prêté son manteau. u Michel, un Cœur Vaillant, entre en DEUXIÈME TABLEAU LE C. E. : Un ho mme descendait de Jérusalem à Jéricho, etc... ( St Luc, chapitre X versets 3 o à 35 inclus ) ... Paraît à droite le voyageur, un bâton à la main. Le narrateur doit suivre la sc4ne de f aton à cc que l'action se déroule pendant qu'il parle. Lorsque le voyageur a fait quelques pas, les t1oleurs surgissent. Le blessé reste étendu, seul, gémissant. Le prêtre juif et le lévite passent successivement, de droite à gauche 1 regardent le blessé, et dédaigneusement c passent outre ... Le Bon SamaTitain arrive à son tour, mime la compassion et les soins qu'il donne au blessé, l'aide à se relever et le conduit d l'h6te//erie - d droite, en avant de la sctne. - Il peut lui-méme dire à l'h6tel~r : cc Prends sain de lui, et tout ce que tu aurns dépensé d e plus, j e te le rembourseraJ en repassant. » L'hôtelier et le blessé entrent, le B01z Samaritain poursuit son chemin vers la gauche, la scène reste vide. Chant de la L oi de CHARITE- • Chan– tons en chœur • NO 13, fiche N° Q, ou C.V. N ° 3 - premier couplet. Tous les enfants peuvent reprendre en chœur, le premier verset. PREMIER C.V. : Et les chrétiens to ut de suite vivent la LOI DE CH ARITE. C ,est Saint P aul q ui orglnisc un secours au profit des frères malheureux de Jérusalcm, et qui alerte pour eu.x les chrétientés d 'An– tioche, de Galacie, de Macédoine et de Corinthe. On entend chanter trts doux : « Lorsque nous aJmons Jésus nos frères, Dieu est avec nous. n 2 ° C.V.: C'est St Jean qui sur la fin de sa vie ne faisait que répéter (bas et lent) cc Mes enfants, mes petits enfants, aimez- vous les uns les autres. TOUS (formant la chaîne) : Nous nous aimons les uns les a utres comme J ésus nous a aimés. LE C. E. : A travers les siècles, partout le miracle de la Charité du Christ se repro– duit : en Gaule c'est Soint Martin, le futur évêque de Tours... ( St Martin paraît m soldat. S on man- On demande nn œil de Lynx. ~; 0 ~•,';;';,ts ~~! étoile parlonte. Pouvez-vous la déchiffrer. 11 s'aa-it de trouver le nom d'une région des Karpates. Ce nom est inscrit sur l'étoile en prenant d'abord dans l'ordre les lettres qui accu~ pent bs rongs im– pairs. puis ont a ajouté à ·la suite et toujqurs clnns le même ordre, celles des rnng.s impaira. Pos une seule fois vous nedevez passer d'un trait de 1' étoile 5ur un autre. Et voilà un ribua. LE COIN DES CHERCHEURS Mes quntre pieds font tout rr.on bien. Mon dernier vaut mon tout,et mon tout ne vaut ri:n - Ecrivez "herbe séch~e '' avec 4 lettres. - Qu~ dit le ~in quand on le coupe ? - Qu'~ke que Dieu ne voit jo.mai:s, le roi rnre- ment. le paysan souvent ? - Pourquoi lu marins ne peuvent-ils plus écrire lorsqu .. il:s sont eu port ? • Mon premin a des Poils sa~s plumes Mon aecond o des plumes ~n:s Poils Mon tout n'a ni poils ni plumes. - Qudle différence y a-t.. il entte une chemise et r.. AJ.,.,.' • Qui est-ce qui rmrche sur la tête et qui est sous les pied> } ( Chant très doux: u Lorsque nous scène par la droite, soutenant un vieillard aimons eu J ésus, tous nos frères, Dieu courbé et tremblant. est a vec n ous. 11 ) MICHEL: N'ayez pas peur, grand-père, t er C. V.: C'est St Louis, le Roi Croisé, appuyez-vous sur moi, je suis solide. qui fonde tant d'œuvres d'assistance, et LE VIEILLARD : Bon petit gars, ja– soigne lui-meme les Uprcux.11 donne tout mais je n'oublierai ce que tu fais pour moi, son argent aux pauvres et répète souvent... tes visites si fréquentes, les services que tu (St Louis passe, des merzdiants l'entou- me rends. T u es mon rayon de soleil. rent 1 il les console, les secourt et dit : St LOUIS: Mieux vout pour un roi se ruiner en aumônes pour l'amour de Dieu, qu'en faste et en vaine gloire: ( Il sort suivi des mendiants. ) Chant de LA LOI DE CHARIT E, deu- xi~me couplet. . 2° C.V. : Au 1er siècle c'est Saint Vincent de PauJ, d'abord Aumônier des galères 1 qui redonne la joie et le courage de vivre à ses fr~res souffrants, puis grand apôtre de la Charité... ( St Vincent de Paul paraft, avec deux ou troù petits enfants qui se serrent pr~s de lui, il passe lentement. ) 2° C.V. (continuant) : Il secourt toutes les misères, les enfants abandonnés, les jeunes filles, les viejllards, les pauvres, et fonde dans cc but l'Institut des Filles de ln Charité. A ' horrche fennée premier verset de l' UBI CARJTAS. 3 ° C.V. : A notre époque c'est un père Damien... (Le Ptre Damien para(t entouré de lépreux bofteux, manchots, aveugles, faciles à simuler, auxquels il montre son Crucifix, puis le Ciel.) 3 ° C.V. (continuant) : ... qui par CHA– RITE va vivre au milic\,,l d'es lépreux p:irce qu'ils sont nos frères malheureux et qu'il veut lour faire retrouver le chemin du bonheur. · Il sait qu'il sE>ra atteint par leur horrible mal, mais il veut mourir au milieu d 'eux pour leur prouver son amour. Chant de la LOI DE CHARITE, troisilme couplet. TROlSIÈMI; TABLEAU T ous face au public, formant la chal•e, très lenteme1lt : u Nous nous aimons les uns les a utres comme J ésus nous a aimés. n NoH avons r~ço des jeux des C.V. auivat1h : MM. Brun ; A. Palmer ; J.-F. Kov<r ; G . Oebay ; J. T ailhade ; R. Grandcmange : G. M1mlredi ; J. Nicoliu: B. Laville et des C.V. de Jn Navarre. Merci ! continuez 1 continuc.z 1 Qui veut remplir sa tirelire ? On embauche..• On e:rnbauche !.. O'O'l ? POURQUOI ? OU ? - Tous ceux qui ont de l'astuce et du cran.•. - Pour faire de la propagande... - Partout autour d 'eux... Et ça rapporte ce métier-là ? JE CROIS BIEN 1 ECOUTE : Chaque fais que tu réussis à p lacer trois abonnements d'un an à Cœurs Vaillanlo, Ames Vaillantes ou Vail– }QDce (les Irais journaux peuven1 êlre pris indifféremmenl) tu g agnes ane prime d e 10 % - c'esl-à-dire S frs p our chaque abonnement. Tu p =ux soit garder celle prime entièrement p oJr toi, soit en laisser une p artie à les clianls pour " faire mousser " ta propagande. Alors, tu as compris? Tu es des nôtres ? Bravo ! e t bonne cha11ce petit frère. En remplissant la tirelir e tu mettras aussi dans ton ccaur la 1oie d'avoir semé du bonheur, d e la lu– mière, de la vaillance. Et c'est une joie qui paie d e laus les efforts. Un fermier emhanassé ! tf. 10· 15 1) - ,, .. .j6 iî .t1 1q .u tj .t! i~ tj. ~·~li •.ac. st 1 a 'l5 Il vient de constater la disparition d 'un habi– tant de la basse cour. Vous pouvez l'aider à le retrouvE:r en reliant le s chiffres par des li– gnes clr i:"s, elensuivantl'ordre numérique. ~CHEL : MAis je vo us aime bien grand– père, LE VIEILLARD : Grand-;>ère, comme ce nom est doux quand on est seul sur terre, quand ·on a perdu tous les siens. (Entrent d gauche Gilbert, chargé d'un gros paqud de C.V ., et Bernard portant c,v., A .V., Vai/laiue et que/que journal local. Ils se saluent : UNIS. ) MiCHEL : Où allez-vous ainsi ? BERNARD: ·Moi, j'ai organisé un cir– cuit pour tous ces journaux-là qu'on reçoit chez nous. Ma.man a pennis parce qu'elle dit qu'il faut bien s'aider. Alors je les fais circuler clu-z ceux 'qui ne pourra;ent pas les acheter. Tiens, voici ma· liste : Le père et la mère Virot, qui sont bien \'ÎCU.'< et pas tou– jours commodes, tu snis ! les Mourions qui chôment et qui Clnt cinq enfants. Je-an Mar· tin dont le p3p3 est prisonnier, et qui a trois petites sœurs, et puis j c~m-Marie, le petit réfugié. J e vo.is vite leur pcrter on est plu– sieurs de mon équipe :..1 faire ça, si jamais tu connais quelqu'un à ·.'· ~. fasse plaisir, tu me le diras. MICHEL: Chic idée, j'y penserai. Et toi, Gilbert ? GILBERT : Moi, je vais porter ma col– lection C .V. à Jean-Marie puisqu'il a laissé tous ses jouets chez lui. Et tu sais, je la lui donne 1 c'est dur, va ! Mais je suis heu– reux de donner de la joie à Jeannot. LE VIEILLARD (essuyant une larme) ; Bons petits cœurs. MICHEL: Au revoir, petits frères, à bientôt. (Michel et le "frillard sortent à gauche, Bernard et Gi"lbert continuent leur chemin en fredonnant : « C'est nous, les petits gars de Frnnce u. Ils u heurtent à troz'.s grands C.V. qui porteril les objets les plus Ce que pense le Ma réchal En rentrant d'un de ses voyn.gcs à trnvers la France, le MnrCchal Péwin n confié ses imprc~ sions à son entoutnie. Lc.s petits lecteurs de "Cœurs Vaillants" trouveront focilcment l'opinion du Maréchal qu'un ministre, omi de l'effort, à confié à Io roue du bonheur. Prenez une plume et vite reconstituez une phrase en réunissant comme ils do~vent l'être tous les points cfc la roue. • out LES llSTUCŒlJX YOICI DES CHARADES POUR VOUS Mon premier du visnge est un ornement Et mon second se dit privé de vêtement Mon troisième C:5t lumière ou embellissement Et mon tout? Une neur,et oui, tout simplement .. Mon troisième, pourtant est a.ussi autre chose Suivant comme on l'accouple ou comment on le pose ; Devenu mon premier et note pour second Le tout veut dite.empli de quelque chose d.e bon. Hop 1 Enlevons Io note et prenons-en une outre Le tout devient un poich qui peul être le vôtre. Lo. note )ôte encore: mon frère ic. n'y met point. Mon tout, à faire des tours, d'honneur met un point. Tiens, un out.te second ? malpropre, je l'oi vu: Ville de The55alie mon tout e3t devenu. Mon second 5"est changé en un bien clair liquide Et mon tout, bien vêtu, est pédant insipide. hétéroclites : paniers remplis de vaisselle du linge, dei; chaussures, Ulle ou deux chaises' oreillers, battaie de cuisine, etc...) JACQUES : At.....tention les petits gars 1... Gare 3. la casse... 1 BERNARD : Qu'est-ce que vous faites ? ANDRE: Je te présente l'équipe St-Jean qui va chez Marcel le petit Lorrain. Ces pauvres gens manquent de tout, ils n'ont presque rien pu emporter. ROBERT : On a demandé à nos parents, à. droite, à gauche, on a supplié pour eux... JACQUES: C 'est notre troisième voyage, et c'est pas tout . Un vrai déménagement. ANDRE: Ah 1 si tu vop is la joie de Marcel et de sa maman ! elle dit q u'on lui fait oublier ses malheurs. JACQUES: Allez les gars, venez vite, il n 'y a pas de temps :i perdre. J\ bientôt, petits frères. ( Bernard et Gilbert sortent par la droite, et les trois grands par la gauche. Entre au f ond à gauche Georges q1â porte un arro– soir et un sac à provision. Il szf/lote. u Nous lançons partout à ln ronde... Par la droite arrivent René et L ouis tenant p/u. sieurs paquds pour prisonniers.) RENE: Tiens d'où viens-tu ? GEORGES : Je viens de faire les com- missions de M lle Angèle, elle ile peut pns encore sortir. C'est p3s drôle d'être comme elle, tout' le temps m alade. Elle rep rend un peu courage depuis que chaque jour je vais lui rendre un peu service... Vous êtes bien chor!?éS ? LOUIS : C'est pour • nos n prisonniers C c sont de pauvres soldats qui n'ont p3s de fomilJe et qui ne reçoivent jamais de colis. GEORGES : Pauvres types ! RENE : Alors on met ensemble nos pe– tites économies, on y intéresse nos familles et on arrive à leur envoyer des pnquets. LOUIS : Ils nous ont écrit pour nous remercier. et l'un d 'eux d it q u'on lui fait reprendre goQt à l::i vie, et que grncc !!. nous il croit :-iu relèvement de la France. GEORGES : La France ? bien sClr 1 on la rebâtira et plus belle qu 'ava.nt 1 1'01ts les acteurs des tableaux précédenu reviennent. Tous chantent - piano d 'abord - puù de pills en plus fort : Nous refrrons chrétiens nos frères ( chant : Fil7lé chré.. tie1111e, /J. 53 de Chantons en chœur, dernier couplet). Ils do1111m t la mair1. aux C.V. restés sur la scène pendant que se termine le couplet. Tous chanrent le refrain qui sera repris si possible f)ar toute la salle. G. F LUSIN. Q UI A TROUVÉ ? Solution du Nwnéro précédenl MOTS CROISÉS Horizont"1em. :,1. Dr ape au. 2. Rémiges. 3. Osier. 4. Siègent. 5. En. - Enée. 6. Renne . 7. As. - T.S.F. Vertlcalem. : 1. Drosera. 2. Résines. 3. Amie. 4. Piègent S. Egrenenl. 6. Ae. - Ne. 7. Usitée. Ohé ! leo G6omètrov, Avez-vous réussi ? Voici comment il fallait disposer les d ifférenles figures pour oblenir le losange , • RÉBUS... Nul ne peul se vanler de se passer des hommes. CHARADES••• Cerf-volant - Bonjour. - Piolet. .•• et OEVINETTES San1ander. - Chiendent. - La lotlre i est la vayel19 el le clocher c'est la conzonne (c'est là qu'on sonne) . - Le b atoir. - Théâtre (Thé âlre). • Une drôle de colle ! Avec 9 mégots on pe ul faire 4 cigarones el il rG3lera un mé got. - 9 mégols don· nent 3 cigarettes, mais en fumant ces lrois cigarelles il resle 3 mégots qui fonl la q ualrième el en fumant celle cigarette, il resto un mégot.. • et ce jeu de la sou.ris. Les petits dessins du brui de la page v ous indiquent comment il fallait déplacer les figures par paire en suivanl le sens des flèches pour réussir la coup en trois poinlo. Avez-vous gagné ? .

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