Cœurs Vaillants 1941

E Au clcl!1 d es \inrbelés, la nuit sombre et froide est tomb6e c:;ur lo. 1 i.mpagne toute cou vert'" de neige . Seule une p c :;te lumière troue l'obscurit.f. Dans ln bnrnque central,. du s talag les hommes ont ~u cc soir, la p ermi"'ion de v .. illcr ensemble. C'est Noël... L.a grand<" salle nue parée de guirlandes d e papiers , de branches de sapin , a pris un air de fête . L es hommes . eu x-mêmes, qui s'afFai1 cnt a utour Seo yeux sem– blen t poursui– vre une \'1s1on loint~Îne. Cléme nt r~ve :lu pet~t gars nu regard pur, n•t cœur loyal et vaillant qu 'il a laissé lors de la gr:i.nde tourmente, il :; n bient' t deux ans. Son petit Pierre v" avoir ses quatorze a ns . Et a vec angoisoe le pnpa se d emande pourquoi,• depuis des mois, Pierre ne met plu s un quand ils s 'en a llaient, sa lemme, lui et leur pcti t Pierre b tra. vers Io. for~t vos– gienne clont les grands sapins se serraient frileusement dans leur épai' manteau bla n c . Il revoit les gens du village "''CC qui on' IÈRE EURE DE de la grand e t~ble où se dresoe l'a rbre de Noël paraissent quelque peu oublier leur dur exil Ils apportent en grand ll'._)'Stère des paquets bien clos qui, tout a l'heu re, mettron t une lueur de vraie joie •Ur tous l1·s visages. T ous ont un air joyeux.. . Tous, sauf un. Clément cc soir n 'a rien dit et tout à coup. au début de ln veillée, alors qu'un de .ses camarades •ntonnait un v ieux Noël de chez n ous il s'est levé d'on bond et est allé se coucher. aù fond de b baraque. Un malaise 1 Non, un coup d e cafard. Les hommes s urpris se sont regar- dés; mois n'ont rien d it . Il n'est pas be~oin de mots quand LA on sait que la même pe ine est au fond des cœurs. Clémen t depuis p luaieurs semaines est de plus en plus soucieux, et en cette nuit de Noël. b seconde qu'il passe loin des siens, il n'" pu contenir davan– tage le chagrin qui le ronge. Main•enant sur se. pauvre c ouchette il cherche en vain le sommeil et, la t~te appuyc!e sur son bras replié , il songe... petit mot a u bas des lettres trop rares hélas, que so. maman écrit au cher prison nier. O ui , C lément ch e rche ... oh ! pas bien longtemps, car il sai.t bien ce qui peut se passer dans le cœur d:un garçon de quatorze ans quand le papn n'est plus Io... Et c'est ce chagrin là qui ronge Clémeot. IVlaintenant le silence est tombé sur la chambrée, seul un tin– tement se fait entendre. Il est minuit, et c'est Noël. Un r ayon de- lune éclaire la pièce et, à travers leo carreaux , Cll'.ment distingue les ombres des hommes. En une longue p rocession, ihi se dirigent vers la petite cho.pelle où, tout a l'heure , le prêtre, comptant soigneusement les quelques gou ttes de vin qui lui permet tront de célébrer le Saint S acrifice , fera revivre le myo– tère de Noël. Et Clément revoit alors d 'autres Noëls, faisait rnute , une lanterne à la main. bien enveloppés dans les grands cap.uchons . Comme on se sen tait unis a lors, en cette n!.!Ît ol1 l'on descendait de la montagne pour former 3 l•pr(.s de la i. rèche une s eule gr.'.lnde fom'ille ... Il revoit aussi ln petite église, dont on apercevait brusqu•·ment le clocher nu t<;urnant . d e ln route. Sur le bas-côté de la nef, lt droite, ·c'était la cr l:cb e si jolie en sa naïve simplicité, cette crèche que son · petit Pierre avait tant d e fois admirée. P eut-être comme aut refois, est·il en train d e cheminer est-il en cc mome ·t près de ln crèche. .. Maio quoi ? La crèche, elle est lb.... Le prisonnier se frotte les y eux... d'un bond il se lève, promene sur tous les . personnages une main fiévreuse pour s'assurer qu'il ne se trompe p as . Non, c'est bien la crèche de snn village , celle que Pierre, l'année d e rnière, " v"it fabriquée en carton d écoupé pour l'covo..Ycr â son papa et que les camarades, avant de. partir, ont placé sans bruit près d e ln couchette de C lé ment. A lors effondré sur la table, la tête enfou;e d ans ses bras repliés , C lément ne c he rc h e plus b r e tenir les gros san– g lots qui oppressent son cœur, il pleure .. . il pleure com'm.e un enfant. Mais l'h omme s'est ressais i, il enfile sa capote et à grands pas rapides , les yeux encore tout gonflés d e la rmes, il s'enfonce d an s la nuit étoilée. Et q uaad l'aumÔaÎ.er les sen tiers couverts de neige , peut-être du camp éleve en tre ses doigts )' Hostie oà Jésus v ient d e renaître comme <lutrefois a la crèche, il y a la, au der– n;cr rang d es pris onniers, un homme qui a retrouvé leo v ieux mots d e son ~n fonce : Mon S eig'.'eur e t M!)n Dieu. Au village n atal P ierre n'a pas s u ce qui, cette nuit là, s 'était passé g râce a so. crèche.· a u S talag X 1 meus s1~ semaines ;lu s tard quand le fact~ur lui a r emis la p etite lettre qui lui t!tn.it destinée, à lui tout seul. il a compris combien un papn n toujours besoin que son p etit gars soit pour lui chic et vaillant. , Jean BERNARD. Résumé des chapitres précédents : L e Profcs. scur !11crcicr a t.~tô onlcoJ par des gangsters et transporté à bord d'un &argo <~quotoricn. le « 1l1a– nigordo ~. qCJi vogue vors Ga}•aquU. ff1atbias s'est lancé à Io poursuite dos ravisseurs et, pour d é– piste,. ses ennemis, réussit à so Jaire passer pour mort. Jltais l'homme dont il a emprunté l'iden!'itJ est un uo/our de bétail ot ON l'ar1'Ôtc pouf' lui faire subir fo justice _expéditive do la brousse. CHAPITRE XII IRENDEIDVOUS AVEC LA MORT Cette pensée s'imposa à l 'esprit de Ma– thias avec une telle netteté qu"l.l en fut d'a bord accablé. A plusieurs reprises, il chancela, les jambes molles, et vint bu – ter du front contre le flanc suant d 'une monture. Ses gardiens tiraient alors brus– quement sur ses liens et le jeune homme, grimaçant de douleur, devait soutenir l'al– lure des chevaux sous peine d'avo'.r les bras tordus, les épaules à demi arrachées. Mais cette défaillance fut de courte durée, une invocation au Tout-Puissar..t l'e rasséréna et la confiance revint habiter son cœur. La mort l'attendait au bout de cette r oute? Soit. Il saurait, s'il le falla it, l'a– border sans trembler... à moins que, bien entendu, il réussisse à lui fausser com– pagnie... Mais comment ? Là était la question. Une question que le jeune homm..:, ressassait en vain à me- sure que le chem:n déroulaÏt ·son ruban poudreux. Les policiers étaient convaincus qu'ils avaient affaire au véritable Ramirez. Frustes et méfiants, habitués aux roue– ries de fripouilles venues de tous·les coins du globe, ils ;.i'en démordraient pas. - Il y a un chef de la police à San Ra– fael? insista Mathias. Je pourra:s tou t de même le voù:... Un des métis se contenta de grogner d 'impatience mais l'aut re voulut bien ex- pliquer : · - Ne compte pas trop là-dessus, mon gaillard. Si le chef s'occupait de toutes les r-éclamations des voleurs de ton aca– bit, la potence ne fonctionnera~t pas sou– vent et il n'y aurait plus beaucoup de troupeaux dans le pays ! A vous entendre, vous êtes tous blancs comme neige ! - Mais je ne suis pas Ramirez ! pro– testa le Français. Le capitaine Hernan– dez vous le dirait tout de suite. L'homme parut excédé. - Je t'ai déjà dit que ce n'était pas la peine de mettre le capitaine dans cette h istoire. Personne ne marchera. On a trouvé sur toi les papiers de Ramirez la police de Huevas me les a donnés et ça nous suffit. Fallait laisser nos che– vaux tranquilles si t u voulais devenir centenaire ! Mathias jugea inutile d'insister. La cha - leur ~t la fatigue pesaie'nt sur son cer – veau, paralysaient ses idées. - Si nous faisions une halte ? pro– posa un dès policiers. Son compagnon trouva cette initiative à son goüt et les deux métis mirent pied à terre. . - Nous en avons bien pour deux heu– res avant d'arriver à San Rafael, soupira le plus âgé des hommes en at tachant le prisonnier à un arbre. - Oui, dit l'autre , nous n 'y serons pas avant la nuit et il faudra encore faire la pendaison aux flambeaux comme la dernière fois, pour le noir ' incendiaire... Mathias s'était laissé tomber sur le ta– lus, au p ied de l'arbre, et ce lugubre programme l e fit frissonner. - Mourir, ça irait encore, bougonna· t -il, mais mourir de la mor' infâmante des pillards, c'est vraiment .....agéré ! L'amertume le suomergea. Avoir ris– qué cent fois sa vie pour de justes causes et finir dans la peau d'un détr ousseur- de ranch ! Quelle sinistre dérision ! - Deux heures, répéta·-t-il, deux heu– res et tout sera fini. Il rêva d'une évasion désespérée et concentra ses efforts pour se défaire de ses liens. Mais la corde, loin de céder, mordit cruellement ses. poignets. Il eut conscience de sa totale impuissance. trices s'était précipité vers le Français mais, arrivé devant lui, il s'ar rêta. Les autres s'avancèrent. Ils partageaient la stupéfaction du colosse. Quant à Mathias il comprenait fort b ien , maintenant, d'où lui venait ce se– cours inattendu. Le nommé Ramirez de– vait a ppa rtenir à une bande de voleurs d e bétail et ses complices, ayant appr is son arrestation et son transfer t, avaient sans doute résolu de tendre une embus– cade à l'escorte. Les banilits revenaient difficilement de leur déconvenue. P ourtant l'un d'eux coupa les liens de Mat.hia s. - Ce n'est pas toi que nous voulions délivrer , tu n'es pas Ramirez, mais du moment que la chose est faite, autant vaut-il que tu en profites. Le Français frotta en silence ses poi– gnets endolor is. Il ne voyait pas e ncore très bien où pouvait le conduire cette méprise . Pour tant le colosse le considérait d'un œ il suspicieux. - Pour quoi t'a-t-on pr!s pour Ramirez? - Je n 'en sais r ien, répliqua calme- ment Mathias. On n'a jamais voulu enten– dre mes protestations. - Fouillez les policiers, ordonna le co– los_se à ses deux compagnons. Les banilits obéirent et se penchèrent VACANCES, JO E LES EMBARRAS DU PROFESSEUR OMEGA Le professeur, après ovoir déchiffré ce der– n ie r rébus géométrique, est parti furieux. Cher– chez ce qui est inscrit sur Io colonne et quand vous aurez trouvé vous comprendrez Io colère de notre savant. UNE EXCURSION EN MONTAGNE Avez-vous du feu, s'il vous pla it?... Un groupe de touristes entrêprend u ne ex– curs;on en montagne. Après avoir monté pen- LA CARAVANE... DANS LE DESERT dont plusieurs heures. ils t rouve·n t un bel en– droit en ple in soleil, où ils se reposent. Pendant que l'un d'eux exprime son p la isir de prendre enfin du repos, un outre foit des photos de Io belle région. Le troisième essoye de voir, à l'a ide d 'une longue- vue, Io plus pro– rhe compagne qu'on voit à peine à l'œ il nu. · Le q uatrième, enfin, va chercher des edelweiss ses fleurs préférées. . ' - Je voudra is allumer u ne cigor~tte, s'écrie soudoin le premier. Qui est -ce q ui me donne du feu? Héla s ! ils n'ont ni a llumettes, ni b riquet. - Je dois donc renoncer à ma ciga rette..: - Qu'à cela ne t ienne, lu i d it un de ses omis. Dans quelques instants, tu pou rra s fumer ta cigorette. ~ Comment est-il possible à ce bra ve excursion– niste d'ollumer sa cigarette sons avoir du feu ? CHARADES M.on premier se rt à diriger u n navire dons Io nuit. Une cé réale, voilà mon second. Mon tro isième, lui, est uoe négation. Mon tout, très restreint cette O(lnée, Vient de che z I'? meunier. Mon prerJier est une noi e de· musique. Mon second une céréale d' Indochine. Nion troisième est un préfixe. · Qyont . à mon tout, il se dit·: mult itude. Les métis avaient coupé des cannes. à sucre dans le champ voisin et, paisibles, ils les épluchaient a u coutelas pour en mâcher la m oeUe rafraichissante. - Il est temps de repartir, décida le plus vieux en regardant l'heure au so– leil. Mathias dut se lever et reprendre sa place entre les chevaux. La course h a – ra ssante continua. Comme ils tr aversaient le gué· d'un rio, les policiers, compatissants, permirent au Français de s'arrêter pour bo'.r e. Mathias s'agenouilla et plongea la tête dans l'eau qui bouillonnait entre les pierres. - Allons, Ramirez, debout ! Ils quittèrent le rio et s 'enfoncèrent &,ous le couvert de la forêt. Les arbres formaient une voüte sombre au-dessus d'eux et une brousse compacte bordait le sentier. Or, à peine avaient-ils franchi quelques mètr es qu'une véritable fusil– lade crépita dans les four rés vois' ns. Un des policiers s'abattit en travers de sa selle et l'au tre , éperonnant sa mon– ture, tenta de prendr e le large en r ipos– tant au petit bonheur. Mais il n'alla pas loin. Touché par une balle, son cheval s'affaissa et le métis , projeté à terre, y cfemeura sans mouvements. ; . - sur les corps inertes des métis:- Bientôt l'un d'eux brandissait une enveloppe qui portait le cachet de la police de Hue– vas. A l'intérieur se trouvaient les pa– piers au nom de Ramirez qu'on avait ai– sis sur Mathias. - Ainsi, dit-il au Français, tu étais en possession des papiers de Hamirez? Où les avais-tu pris? Tu as dépou'llé .notre camarade, hein ? Tu l'as tué. peut-être? La voix du colosse s'était chargée de menaces. Les trois hommes se rapprochè– r ent et Mathias lut dans leurs yeux une volonté de vengeance... (A suivre.) Georges MARIEVAL. Qui veut construire une corcivone pou r a ller voir le transsaharien et foire de beaux voyages? Découpez ou carton les hôte~ drdinoires du Scho re : un Arobe et sa monture. Décalquez les dessins et refaites-les à Io plume. Pliez aux lignes po int illées, le chomeou d 'abord, Io $elle ensuite, p uis l'Arabe. Munissez-vous d'un morceau de cordonnet pour foire les rênes du chameau. R&gordez b ien Eberlué, Mathias vit des hommes sur– gir de la brousse et l'entourer. LA SEMA I NE PROC H A I NE Npus voici, Ràmirez ! criaient-ils. Un coloss·e au v:sage couturé de cica- POS TE FRON TI ÈRE le mod èle que nous vous donnons et composez-vous une belle caravane qui s'en ira sous les déserts brûlonts... à moins que ce ne soit sur les 'carreaux o locés de Io cuisine... SOLUTIONS LES EMBARRA S DU PROFESSEUR OMEGA "VD3~110 :· ~.J.J3!d 0 ( .JOS tDOU UOS ôU!J 3p l!ÇU3h Jn3SS3JOJd 01\UJq 3, UN E E XCURSION EN MONTAGNE ·anb!sAl{d 3Jl O:\ suop n1oa ï>.1poa.1d -de IJP ZO/\O sg1oa SO[ SnOA 'J3W · wo9ua,1 ~ sod lUapJ Ul au ta 1U3W · 51w.1ou}" tuaync11a a 1 ':.n1a.1ufl!:> ç Ja!U13d 3J J OS S5>JlU3JUO::t snOJ JUOJ9 .•l!aios np suoAc.s S.'.>f : UO!l6J!(dx3 'J3WRJ[O,J Op !SU!C 13 3l)OJD~!O U[ JDS xnaU!WO( SUOÂUJ SJJ J;)JJU<>:>UOJ op (oun 1uo uo SJ!) onA-on~uor oan 03AO O[!OYJ!P sed 1so,u Il 'S?l~JJO JUJ!OJ9,s S3JS!J OOJ S:ll ~o J!0.1puo,1 1? l!OJOS ap dnoonoaq l!OAo .{ l!,nb l!P suoAo snou '~Hpc:> ;:nmnqoJd no eJ!Ol -•!•I a1100 n1 uo!q zaAo snO/\ !S CHARADES ' (pC•Z!J•!lll) ap . (au·zp-JDlld) OU!.JUif MOTS CROISES. LA BROUETTE 'JoJod~S L - 'OJ~jj -OllJ '9 - ' (JajJdOJ_ Otfd1opou ) ' L'll TH ·s - ·rn '(?l!:::J Of op) 3JI 't - ·na 'J!W ·c - .,, ·wopv ·z - '(DJ~U~Q 'T - '1tt"tlUJfO:J}1.JOA 'HJJna1 'l - 'OJlU'flV ·9 - '?ll ·s - ' ( 6 ' 0 ~) oo ·ow ·v - · (9d - doq ) d V ·uom1 T - '9l !l!Pil (! - "S3J;:>(CQ ·r - "JU<JtUIJ/O/trn.Z!.10/J MOTS CROIStS : " La brouollo u: Horixon tolcmcnt. - 1. Anciens no~ vires ma rchant à Io rame. - 2. Mo– gistroture qui veille à Io ville à l'en– tretien des rues. - 3. (A rebours.) Ministre de Io religion mohométo ne. Phonétiquement : saisi brusquement à l'improviste. - 4. (A rebours.) Pro– nom personnel. Phonétiquer;nent : sy– nonyme de gorçon. - S. (A re– bours.) Nore. - 6. Mo rbre tronspo– rent. .::_ 7, Tromper. 'll.3~56 ~ t 11=-=+-~-+-==+iiiPll==-==+-==I l.._..,=1--=-.!lo..~Jldl~-t===z'.f ~ ~-=6>~~ J """'...,jf-=...il.. ;....~ ..... ~!-~io=.o=ll 6 ""=~~~~""=~.ic-~!=-==!!=..c.d i Vcrtica!cme nt. - 1. Universel. - 2 . Premie r homme. Article. - 3. (A rebours.) Adjectif numérique. Avolé. - 4. !A rebours.) Notre-Dome de Paris s'y trouve. (A rebours. J Nom du soleil chez les Egyptiens. - 5. Du verbe signifiont marquer de Io gaîté. 1A rebours. ) 1nitioles d 'un ro– mancier et mora liste suisse du siècle dernier. 6. Meuble formé de ta– b lettes. - 7. Désunir. LE JET D'IEAU DANS LIE VIDE Remplissez d 'eau aux 3/ 4 un p etit flocon à pharmacie : bouchez-le, mo is t raversez le bouchon d'une poille, Io plus fine possible ; il fout que ce tuyau · plonge bien dons le liquide comme l'indique le dessin. Posez ce flocon sur 3 ou 4 feu illes de buvord moui llé et recouvrez ra– pidement d 'un bocal plus grond dons lequel vous ourez foi! un vide portiel en chouffont l'a ir intérieur avec une bougie. (Explication de la formation de ce vide : l'a ir choud t ient p lus .de place que l'oir froid : donc qu a nd on chauffe l'air du bocal, une par– t ie de cet a ir sort qÛond l'air se refroidit ; oprès fermeture complète il tient moins de volu – me : il est ra– réfié, il y a un vide portiel) . Appliquez très fortement sur le bocal avec Io main dons le sens des flèches. L'air extérieur ne passera pas. Vous v cr re z b ientôt un petit jet d'cou s'é le – ver do la poille et venir se bri– ser sur le fond du flocon.

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