Cœurs Vaillants 1941

Q 'AU BOUT... 9 h . 30 à l'aérodrome d'Alger-Maison– Blanche. Dans un vrombissement as– sourdissant de moteurs, lentement l'a– vion quitte la terre d'Afrique où celui qui e st à bord du Potez 663 est venu apporter à toutes les populations d 'Ou– tre-Mer le salut fraternel de l_a France entière. 12 h . 28 : Tout va bien à bord, le ronronnement régulier des moteurs sa– tisfait le pilote ; dans un quart d'heure il pourra atterrir - à l'aérodrome de VichY,. où le Général Huntziger est im– patiemment attendu. Brusquement, sans rien qui le laisse prévoir, c'est la catastrophe. On n'y voit plus rien, le brouillard envahit l'espace... le crépitement de l'appareil Plus mèche ! mais si, voyons, il y a encore celle des p eut-ê tre nous rendre un fi.cr ser vice... J moins que vou3 .c pensiez dès main– tenant à <t tourner le bouton )) quand · vous quittez une pièce au lieu de laisser la lumière comme cela vous arrive quelquefois. Mais surtout n'allez pas croire, comme mon ami Jacques, que nous verrons réapparaitre dans les théâtres et les salles de spectacle ·le petit bonhomme qui, 'autrefois, courait cout le long de la rampe pour moucher les chandelles. Puisque nous en sommes aux chandelles, savez-vous corn.ment on les fabri– quait au temps des Gaulois ?... mais oui, c'est aussi vieux que ccb. Nos ancêtres trempaient des fibres de chanvre ou de lin dans un bain de graisse, le• mèches •insi enduites étaient mises à sécher et l'on recommençait l'opé– ration jusqu'à cc que la chandelle ait atteint J. grosseur désirée... Halte-là ! ne vous mettez pas pour autant à fabriquer des kilomètres de rats-de-cave... votre m:in1an pourr:iit bien ne p:is trouver cela ~ son goût, h graisse est actuellement trop précieuse. Il j· a bien aussi h lampe à huile dont nous savons qu'elle était employée dans l'antiquité, mais cc procédé ne nous convient guère non plus. Cependant, le croiriez-vous, ce n'est qu'en 1470 que fut organisée la corporation des « chandeliers :». Les dii;nes fabricants du luminaire d'alors n'employaient que de la cire puisque la stéarine était encore inconnue. En 1831 seulement la première fabrique de bougies stéariques, utilisant le procédé que le chimiste français Chevreul venait de découvrir, s'ouvrit à Paris. Mais, mes amis, quelle histoire, ou plus exactement quelle fult)ée, et cela dura cinq ans puisque, en 1836 seulement, le propriétaire de la fabrique de bougies eut l'idée de tremper les mèches dans de l'2cide borique: c'était !.. victoire, les bougies étaient transformées et devenaient semblable:i à celles que nous connaissons aujourd'hui. Donc, même si parfoi~ nous sommes dans l'obligation d'utiliser l'antique chondelle de nos aïeux, nous n'ourons pas besoin de monter la garde avec une paire de ciseaux pour couper la mèche fumeuse... c'est déjà cela de gagné. Je voudrais bien savoir si tu es arrivé 4 sortir du f11mcux c:11ss~-tètc de la semaine dernière ? Oui ? alors lu es un as 1 cl nous pouvons continuer 4 jongler avec: le mystère. l Cola aurait pu durer toujour:s. Mals une nuit. vtnt où. pour renouer son amitié avec :ses enfants coupables, le Pèr" pe rmit à !'On Fils de ve nir vivre parmi eux, dans une famille comme les natres. 2 C'était une famille heureu~e, la première de toutes, qui nvnit été comblée de richesses pe:r un Père très aimant et. qui vivait dans lei jole de •son a mitié. 3 Et c'est depuis ce moment lè. qLJe nous pouvons de nouveau faire partie de la plus bello do toutos les familles - la g ronde f.amllle d es e nfa nts de Dfeu s u r la ter"re, 4 Depuis ce jour, il y eut. que lque chose de brisé entre la famille et son P ère. La fa mille a lOrs , conm.rt le souffra nce, et ses enf•nts , à tr•ve rs les âges, hii§ritàrent de ses peines. 6 Mais un ennemi veillait, ja loux. Il tendit un piège à colle famille pour la détour ner de son Père et la famille, ave ug lée, a lla m'1ime jusqu'à se révolter contre celui à qui elle devait tout. de radio ,qui émet des messages dans toutes les directions se fait en– tendre, de plus en plus pressant... le pilote cher- che sa route; il n'est pas (- ·~ ... loin de Marseille, lui _ • semble-t-il ; la radio si- gnale: « Givrage... cher- chons à n:~gagner Mar- seille... » Cette émission, le poste de Montpellier la ·reçoit aussi. 12 h. 50 : Les postes de guet scru– tent avec angoiSse le ciel bouché ; Wl bruit de moteur est repéré, c'est le Potez, il survole la région sud-ouest de - Mende... il appelle Montpellier. 12 h. 54 : Nîmes reçoit une émission de l'avion qui cherche à atterrir e t de– mande sa route ; il est perdu à quelque mille mètres d'altitude, en plein « grain ». Nîmes répond, , les aviateurs sont à 10 minutes de . vol de Montpellier. Ils vont pouvoir atterrir... Mais, dans sa détresse, l'avion est descendu, l'altimètre n'indique plus qu'une altitude insuffisante, il va fal– loir regagner de la hauteur. Le pilote n'en aura pas le temps, l'obstacle sur– git... il s'approche à une allure v erti– gineuse encore invisible dans le brouil– lard mais déjà inévit.able ; il est 13 h . 03, la catastrophe est consom– mée, l'avion a percuté la montagne ; gigantesque oiseau de feu il va s'écra– ser au sol. • Le général Huntziger sait trop ce que c'est que le danger pour ne pas avoir conscience de ce qui va se pas– ser. Va-t-il sauter en parachute, tenter de se sauver ?... non. Là, tout près de lui se trouve la serviette de cuir dans laquelle il a consigné tous les rensei– gnements précieux qu'il rapporte ; ces documents, ces renseignements appar– tiennent à la France, ce sont eux q ui doivent être sauvés, alors le gra nd soldat, qui sait quelle mort l'attend dans la carlingue envii.hie par les flam– mes, saisit la serviette et la lance par dessus bord. Il peut mourir en paix, jusqu'au bout il aura accompli sa mission. La serviette sera retrouvée accro– chée à un arbre, à quelques mètres de l'avion complètement carbonisé. Ce fier soldat et ce grand chef que la France pleure aujourd'hui, et q ui, d e Madagascar au Sénégal, de Syrie au Brésil et jusqu'aux confins de not r e Empire a -fait aimer notre beau pays, ce chef, petit frère, sais-tu quelle é tait sa devise : « Plus est en nous », et cette · devise-là, sa vie entière il l'a vécue en donnant toujours plus pour Dieu et la Patrie, en donnant tout, jusqu'à la mort. Cette devise, nous pouv?ns, nous aussi, la faire nôtre... « Plus est en nous », puisque Dieu est en nous et qu'unis à Lui nous pouvons toujours plus et t oujours mieux. Yves Michel. t:T Lt: Jt:U CONTINUE••• Regard~ un peu ces dessins-ci ... Ils n'ont l'air de rien, n'csl-ce pas ? ch bien, je parie qu'ils von{ encor~ fe donner loccasion de déployer foules les asluces de délcdivc. Voyons plutôt : Chacun de ces dessins avait une légende ( c'esf– â-dire quelques phrases qui en expliquaient le sens) Si celle légende se trouvai( encore dessous, ça irait foui seul el lu devinerais foui de suife la dé du mysfère. Oui, mais, voilà.. . au momenf où j'allais les placer sous leurs dessins, ces légendes onl éfé mélangées (toujours le farceur qui rôde dans mon bureau 1) el il faut majnfenanf que lu essaies de réparer ses dégafs en replaçant chaque légende sous son ~cssin (lu diras par exemple : la légende n° x va avec le dessin nO x). Ouand tu auras fini lu pourras lire d'un boui à I' aufre Io belle histoire de mes.dessins. Ce n'es{ pas une histoire ordinaire. Elle csf un peu mysté– rieuse à première vue. mais quand on sail lire entre les lignes on s'aperçoit que c'est une his– toire vraie, la plus formidable de loufes les his– toires. Tu os deviné, n'est-ce pas, ce que je veu• dire ? Alors, pour me montrer-que lu as bien compris, QUESTIONS '.tNIGMES Oue lle était la premiére de loulos les fomilles ? De quelles richesses avait-elle é t6 comblée ? Por qui 7 Oui 6fait Jalou• de son bonheur ? Comment celte lomille s'c•l-elle r6YOltée contre son Pèro ? Ouelle.s souffrances a.f.elle connues alors 7 Pourquoi ? C omme nt le Pàre O·f-il renoult aon amiti' avec Sel 9 nfonfs ? prends donc une feuille de papier el réponds par écrit ô ces pe!ilcs queslions (si fu fois porfie d'un groupe ce serai! plus amusant de discuter ces questions en équipe après que fon chef les aura étudiées lui-même en conseil de chefs avec Ion dirigeant\. Chaque réponse juste vaudro 10 voillonts. De même chaque légende replacée sous son dessin le fera· gagner 10 vaillants pour Ion trésor qui doit commencer 4 bien s'augmenter. L'ALPINISTE Réaum6 dç-o chapitres précédents : L o ' w agon. Ne croyez-vous pas que profcsscr;r Mercier o 6r6 onlové par dos nous serions mieux dehors ? gc;::;gslCTs cl tr<ntsporté à bord d'an cargo _ C'est possible Oquatorfon, le 4 ~fLJnigordo I>, qus vogua , . • . . . Dors Guayaquil. Mashias vient do décou. L espnt tendu, Mathias suivit vrir quo son compagnon, Io métis Va· le métis sur la plate-forme dé– lcntino, ast ao traitra à Io sa/do des couver te qui terminait le wagon. ca,,gst~s. Los der= hommes sont _dans Un couple admirait la forêt a ux le trt;;., q.U les mÙ<lo il Puorto-Lsmon. cèdres géants. CHAPITRE IX LIE SAUT DE LA MORT - Tenez, dit aimablement Va– lentino, · je vais vous mettre un siège par là... Vous y ser ez mer– veilleuseme nt bien. Le traia traversait un paysage Mathias allumait une cigarette d'une grandiose sauvagerie, La mais son regard perçant< ne r es– vo:e s'accrochait aux flancs de tait pas inactif. Il s'ar rêta sur la montagne, surplombait d'innom- la barre mobile qu'on fixait au brables - pr écipices, longeait des départ du train pour fermer la corniches rocheuses ou plongeait plate-forme et, imméd iatement, le soudain dans un océan de ver- reporter cilla. dure. Il avait compr is. En tout autr e temp s Mathias se , serait émerveillé du spectacle qui La barre tenait en equ ilibre sur lui était offert mais ce joÛr-là le .son point d'appui au lieu d'être jeu ne homme restait délibérément insensible à cette splendeur. Il avait, on le sait, des raisons ' pour cela. Valentino, qui était allé fumer un cigare sur la plate-f.orme ar– rière, ven ait de reprendre sa place et se montrait plus souriant que jamais. « Que peut-il bien manigan– cer ? » se demanda le Français sans rien laisser paraître de son anxiété grandissante. Il était préparé au pire et en arrivait à souhaiter un dénoue– ment, q uel q u'il fût. quand, brusquement la rampe céda Il fumait à lentes bouff•es, et parfois, à la dér obée, il' r egardait le m étis dont le front s'était cou– vert de petites gouttes de sueur. i Ah ! pensa Mathias, s'il pou– vait me pousser d'un bon coup d 'épaule... Mais voilà... il y a des témoins... » Le couple était toujours là et u ne vieille dame l'avait r ejoint. Valentino, muet, para'.ssait absorbé par la contemplation des r ochers qui bor da:ent le ballast. Des aras, dérangés, fuyaient dans un con– cert de cris discor dants. - Qu'est-ce que cela? inter ro– gea Mathias en montrant une li– g ne sombre. - Le pont du r io Gr ande, r é– pondit le métis. Nous n'allons pas tarder à nous y engager. Bientôt Je paysage se modifia. Une rivière apparut, qui r oulait des eaux profondes entre ses ber– ges abr uptes. Le r eporter avait pâli. - Je n'ai jamais r :en vu d'aussi beau, dit-il d'une v·oix un peu r auque. · Le pont métallique vibrait main– tenant 1Sous les roues du convoi. Mathias se ·pencha pour m ontrer q uelque chose et, soudain, la ram– pe céda... La vieille dame, poussant tin cri aigu, se cacha le visage tandis que Valent ino, les yeux gra n ds ou– verts, r egardait Je corps q ui tom- bait dans le vide... · L'insta nt d'après il se ruait vers la sonnette d'alar me et action– n ait le signal. Le train stoppa de l'autre côté de la r ivière. L'accident avait eu qua tre té– moins. Ils ·en firent un récit hor– rifié et, immédiatement, une dou– eaine d'hommes coururent jusq u 'au pont. Mais c'est en vain qu'ils scrutè– r ent les eaux grondantes. Le rio Grande continuait sa course sans livrer aucune trace du disparu... Pourtant, blotti entr e deux r o– chers, un homme attendait. C'était Mathias. Tout autre que lui, peut-être, POUR ACCROCHER A L'ARBRE DE NOEL Un Tintin artic Dans un car.ton fort ou du contreplaqué mince, vous dé– coupez à part un buste ( 1). deux bras (2). 2 jambe• (3). Vous assemblez le tout avec du fil de laiton ou des attaches métalli– ques ttêt..? ronde o n plate. en vente dans les papete– ries) par les trous H et J. Prenez qnc ficelle de la longueur a, b ; faites un nœud à b par vous passez, avant de le serrer, une ficelle b 1, b 2 ; faites de même à j a vec une ficelle j 1 et j2 -et a ttachez par derrière ces deux ficelles prèo de r articula- tion des bras à b 1 et b2, et des jambes à j 1 et i2 comme l'indique la figure. Pendez votre pantin à un clou par une ficelle attachée à la tête, et voua n'avez plus qu'à tirer la ficelle d'en bao pour faire remuer tous les membres. Voilà un jouet facile ù faire que voue pourrez Bl i aoe r dans leo colio deo petits réfugiés. Faire arrêter le métis?' Il y avait certes pensé mais quel eût été le résultat obtenu ? Valentino a urait nié effrontément et Ma– thias n 'aurait rien pu prouver contre lui. D 'autr e part, les com– plices du métis a uraient immé– diatement alerté par radio le na– vir e équatorien, lequ el se serait empressé de changer de route ou de supprimer le professeur Mer– cier. coincée dans l'encoche pr évue. Un simple mouvement de la chaise et la barre glisser a it... Ce ser ait a lors la chute brutale sur la voie, l'écr asement... n e serait pas sorti sain et sauf\-~__,..__..._~ ..... -:-~ .... ~--"-~~--~--"-~~"-~~--~~~~--"'-~-d e l'épreuve, mais Mathias était un virtuose du plongeon , il avait même disputé, jad:s, plusieurs championnats. P endant les aerniè – res minutes sur la plate-for me il s'était tenu Je raisonnement sui– « Je sais bien ce qui serait le mieux, pensa le reporter , mais ce n'est pas une entreprise de tout repos. Les r isques sont terrible– ment élevés... » Il en éta it là de ses réflexions quand Valentino proposa avec un sourire candide On étouffe un peu dans le · - Non, pas de chaise, fit dou– cement le Français. Je préfère r est er debout. vant : Il écarta le siège et, noncha– l amment, vint s'accoter à la cloi– son du wagon, tout près de la « Cette situation ne peut durer . La défensive est une position in– tenable si l'on doit s'y cantonner ' indéfiniment. Valentino me ratera d ix fois mà!s, à la onzième, il réussir a. Et comme moi je veux me débarrasser de lui sans corn- barre déplacée. · - Vous aviez raison, Valentino, dit-il On est vraiment mieux ici qu'à l'j.ntérieur. Cc bruit croissait de plus en plus Ils criaient éomme des perdus : •C'est frop d_ormi qu'on se réveille 1• Ils répéloien{ foujours cela : - Bergers venez voir la merveille El vos troupeaux, el vos troupeaux, laisscz– Et vos froupea ux. laissez-les là. [les lè, Allons. Colas, ne doute plus Viens adorer cc p'fil Jésus Oui s'est réduit dans une grange · JI n'a ni couche ni berceau El dans celte misère étrange Tu le verras, lu le verras, rien n'est si beau Tu le verras, rien n'est si beau. · promettre le résultat de mon en– treprise, il faut y aller de la grande comédie. » C'est la vue de la rivièr e qui avait suggéré au r eporter cette pér illeuse mise en scène. Il pou– vait se rompre les os, il pouvait aussi r é ussir. Or il avait réuss:. Il entendît le train qui se re– mettait en marche et sor tit de l'eau pour aller s'étend r e sur une étroite plage. Ses nerfs n'étaient pas en cor e complètement rem is en place. Il avait besoin de r epos. - Enfin seul ! monologua-t -il avec satisfaction. A l'heure actue!– le, cette jeune crapule de Valen– tino me croit mort et il triomphe. Sachant que j'étais seul à connaî– tre la vér ité au sujet du « Ma– nigordo », il doit être absolument r assuré. · Le cargo n'aura donc pas besoin de modifier son itiné– r aire et c'est à Guayaqu il que je pourrai le retrouver, Mais ii me faut !aire peau neuve si je ne ·veux pas tout gâcher... Car Mathias reconna:ssait que le navire avait t r op d'avance sur lui pour qu'il pût espér er le rat – tra per ·e n cours de r oute ou a r– r iver en même temps que lui en l Equateur . P endant que ses vêtements fi– nissaient de sécher au soleil, Ma- j thias consulta une ca rte - en i assez piteux état - de l'Amérique centrale. Il étudia la frontière qui sépar ait Costa-Rica de P anama et . décida de se diriger vers l'ouest pour ne franchir la frontiè re qu'à proximité de Balboa. Là, j-e trouverai vite un ba– tea u pour me conduire à Guaya– quil. L e soir approchait et le reporter décida de se mettre en quête d'un r anch où il pourrait acheter quel– ques vivres et, à l'occasion , obte– nir un a bri pour la nuit. Comme il allait se rhabiller il lui sembla entendre un frôlement prolongé dans les taillis. . Il n'y attacha pas d'importance et r a – massa ses vêtements. Mais b rus– quement une voix gouailla; t oute proche : - t;rne petite m inu te, senor... Mathias se retourna d'un bloc mais il ne vit tout d'abord que le canon bruni d'une cara bine, poin– té à travers le feuillage... ( A suivre). La umaine çirachaine : FAUVES- HUMAINS .1 C'est dur de fonder une Plus est en nous ••• LIGUE DE LOYAUTE· 11 y a des difficultés --de . toutes sortes Mais un garçon qiii a du c:ran an-ive à vaincre toutes les difficultés ... Tu en e s, ·n'est-ce pas? Alors, qu'offends-fu pour nous renvoyer Io feuille d'engagement? Telle élo it Io belle devise du Généra l Hu ntziger. Vous tous qui avez lu, page 4, le récit de s a mort tragiq ue, discutez donc entre vous pour savoir : - Q ue v.eut dire celte devise ? - Nous, les chré tiens, que lle force pos- sédons-nous e n nous pour nous aider à toujours mieux foire 7 - Celle force, qua nd nous a-t-elle été donnée 7 - Pouvons-nous Io perdre 7 Comme nt 7 __: · Pouvons-nous l'augmente r 7 Com– ment 7 - Oue vos-tu foire cette semaine pour prouver qu'e n vroi fils de Dieu, e n vrai fib de Fronce, tu es capable de foire toujours plus 7

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