Cœurs Vaillants 1941

.C'est l'attaque prévue. En- venir f garde-toi, mon lieute– fin ! Mais les co.ups sont des nant ! » détonations sourdes. - « Tiens! Ils avaient surtout trop long– p as de musique de. mousque- -temps causé avant de fuir. E t tons, que se passe-t-ll donc ? » le mokadem Tamfous les avait Abdallah arrive, haletant, trop bien écoutés. c'était lui écœ uré. qui aurait dû les faire taire en - « Eh bien ! et tes hommes laiss ant répondre la poudre. Le que font-ils ? » lieutenant le fait appeler_ Le caïd baisse la tête ; il a - « Que veux-tu nous re- commandé le feu m ais les fu- procher ? lui r épondit le sous– -sils sont restés muets. L'homme ordre d 'Abdallah. Nous sommes bondit au milieu du camp, il a un contre dix. Tes r enforts .saisi un fusil et fixé sa baïon- n'arrivent pas. Toute la plaine n ette. Il pre nd le pas de course, est occupée par ceux du Rif et a rrive à la g arde rassemblée il en v ient toujours. Nous n 'en mais inerte, et lui lance en pouvons plus. Tous nos villages p assant : vont être brûlés. Retire-toi. - « Que les Bra n ès qui ont Eloignons la guerre. du pays foi en la France me suivent et Branès. Rentrons chez nous ! » !"P r angent à m es cqtés ! » Les nerfs tendus, le lieute- E t, sans atte ndre, il arrive à nant écoute... Il a donc devant la ligne d e sentinelles, a perçoit, lui le chef de la révolte qui en face, deux pala breurs qui couve, l'organisateur de la dé– grimacent à sa v ue et tentent fection qui menace. il e fuir. Le lieutenant est fin t ixeur , deux balles, d eux chutes .... d àfsêou reurs dans ·1es - buis– Eoris... Vidoir e ! Tous les partisans Branès q ui ont senti la poudre et fla iré le b aroud ont r allié le ur ·officier , car ils sont avant t..mt d es gu er r ier s ; on les atta– q ue, ils se défenden t et quel– ques minutes ont suffi pour n ettoyer les pentes. Les Rif– fains ont disparu avec leurs m or ts et le urs blessés. Mais ·fi ne lui fera pas l'hon– neur d'une réponse. D'un geste il é carte le '.:aïd sans au torité ·et son mokadem qu'il foudroie ·du regard. - « Si tu as peur de te me– surer encore a ve c les Riffains, toi un chef d e gu erre, eh bien ! c'est un Français qui seul ira monter la .garde. » Et alors ! Alors ? lisons ce que l'Homme Rouge écrivit plus tard. - « Ils sont par tis trop v ite! - - C( J 'en tends les cris rau- observe Abdall<1h Ils von t re- q,,_,::; àes Riifaill:; d'Ab del Krim 1 • c --=---- qui grimpent vers Je • post e a b andonné par Tamfous. Minu– tes inoubliables. Instinctive– ment mes doigts se crispent sur mon revol'vet. J ' approche d u but. H est entouré d 'épais buis– sons dans lesquels l'œil ne peut pénétrer. J 'ai fait souvent le sa– crifice de ma vie. Cette fois elle, ne flanche jamais, n e flan– chera pas... « Vais-je h ésiter ? Allons donc ! Encore un petit e ffor t ! Ça y est , j 'arrive au sommet. Je sors mon revolv er. '' A ma vue l'ennemi pousse des cris de victoire ! Il doit avancer plaqué à terre car les b r anches des buissons s'agitent devant moi. Mais ils ne tir ent pas. Parbleu, Abdallah a v ait raison, c'est vivant que les Rif– fains ont décid é de me captu– rer. E t pour corser l'hor reu r de cette v ision, derrièr e l'officier montent les v ocifér ations d es Branès p récédés de T amfous. Ils Alors, saisissant un fusil, Bou r n azel crie aux· Br anès r al– liés à son courage : - « Feu r apide à volonté ! l) - « Feu! » crie Tamfous qui a dép assé le lieute nant pour le couvrir . L a fusillade roule, cré– pite, fauche la pent e. A b dallah fait ro uler des rochers énormes sur les salopards q u'ils rejoi– gnent, bousculen t , écr asent . Une pan ique ind escriptible balaye les abords du plateau e t les Riffains s'enfuient j usque dans la plaine, poursuiv is par les salves des Btanès fidèles de l'Homme Rouge. cour.~nt dans la direction de Les fiers guerriers n 'avaient le ur chef. Que disent-ils ? Après p as voulu se laisser surpasser tout, peu importe, pourvu que en b ravoure et en v aillance. ma v olonté n e soit pas brisée L 'Homme Rouge avait une fois par la fatigue et ·l'émotion for- de p lus reconquis le coeur d e m idable q ui m 'étreint. ses hommes en s'offran t, h olo- causte vivan t, pour assurer le '' Que c'est donc long de mou- respect aux t rois couleurs de rir ! » son fanion. - « Les voilà ! » • • • . .-" . . . ~ . . _Plante sur · l'eperon a l'en- Plaqués à terre, s 'abrita nt derrière les rochers, les ennemis g a gnent du terrain ·- Qs1 ·- Ma·1s · T-arnfeus-= en- -tete: i:froit ou T am fOus l'ava it défen– au pas dé course, d~ns. le do~ du, il flottait glorieux et in v in– et par devant les R iffams q_u~ cible b arr age à la ruée du Riff r a mpent e_n p~og~essant. V01c1 vers Ta za. t ous les revoltes a sa hau teu r. T amfous bondit ver s l'officier qui l e fixe sans mot dir e - d e– bout - ; r edressé il domine le mokadem qui s'agenouille to ut L 'Homme Rouge, qui dev ait quelque temps après mourir en plein combat, a vait mér ité une fois de plus ce qu'on a gravé su r son t ombeau de la casbah d e R issani : « Son n om rest era comme celui d'un des plus purs héros ·des tr oupes du Ma roc >>. pourtan t tout espoir de me ti– rer du guêpier n'est plus pos– sib le et je sens mollir mes j ambes. · à cbup à ses pieds et b a isse la tê te en s aisissan t son dolman : (( c'est blit, Si les jambes moliissent, que le corps har;issé fai– maii! l'âme du v aillant, - '' Abr ite-moi, lui clame – t-il, c'est nous qui monter ons la garde. » M"rc HÉRESSE. 120 kilos, une cathédrale? oh non 1 c'est impossible 1 Eh bien, c'.e8! vrai pourtant,. et ce qu'il y a de plus for!, c"esl que cette cathé– drale extraordinaire a été construik non par des orchitedes ou des ouvriers spécialisés très calés, mois par de simples Cœurs Vaillants comme vous. Parfaitement. Et ces Cœurs Voillanfs, là, (ils sont du Puy). réunis pendant .huit semaines à leur colonie de Chade– nac, ont bien su monfrer que pour de vrais Cœurs Vaillants. il n'y avait rien d'impossible. • Venus à pied, à vélo ou en car tous les jo11rs, depuis leur maison à la colonie, ils ont sti réaliser des choses magnifiques. O'a·bord celte fameuse calhéd<ale de 120 !tgs, qui est l'œuvre des Ardents et qui. construite en briques _rouges el vertes réunies par des joints en terre grise, ne mesure pas moins de 1 m. 20 de long, avec une veule en briques soutenue par une armature en 111 de fer. Un fa- · Au p a ys d es aJonc:s d•or et des rudes le m• pêle1, les C œ u rs Valllanls flenne n! bon..• et ce splendide village, construit par eux motgr~ toutes les difficultés, est la meilleure preuve que, Pour un gars d• chez nous, il n'y o jamots riel'l d'impossible. meux travail, hein ? et qui parait– plus précieux encore quand on sait comment les briques nécessaires à la cathédrale cf aux maisons qui l'entourent, on! été gagnées... • Les Cœurs d"Or, eux. on! cons- truit !out un village en terre glaise dont r église en briques a des vitraux transparenfs el un fameux échafau– dage qui a failli foire prendre des cheveu. bloncs aux corporotions qui l'on! édifié. !I Ouanl aux Entraineurs, ils ne doutent de rien. Pour bâtir leurs maisons de Corporation sur des modèles vrais, ils ont fouillé !"his– toire de 13 siècles, pas U!J de moins, el réalisé des merveilles. Ouanl à lçur cathédrale, elle promeUait d'être un chef d'œuvre gothique à 3 nefs avec une facade entièrement mode– lée et une armature de bois e{ de fer qui a demandé trois semaines de travail. Malheureusement Io cathé– drale n "a pas pu être terminée pen– oonl la colonie... celles de nos pères n'ont-elles pas demandé "des siècles d'efforts ?... Les Cœurs Vaillants du P uy peuvent êfre Ciers du beau !ravoil qu.ils onf réalisé ; celui qui se voit sur ces photos el celui, plus beau encore, que le Seigneur es! seul à voir au fond de leur cœur el qui rayonnera cef1e année sur fous ceux qu'ils vont co~quérir au Chris! • C'est ainsi que, partout. nous. les Cœurs Vailltrnts, nous travaillons à reconstruire le France. J 'ai dit partout, car regardez un peu ce magnifique viflage... li es! l'œuvre de vos petits frères de Bretagne, qui bravent loufes les dif!lculfés pour vivre à fond leur chic idéal. li!! Et c'est noire fierté à tous de nous sentir ainsi unis autour de notre Chef pour conslruire avec Lui celte cité chrétienne où, quand nous serons grands. nous ferons régner la Loi de Charité, la Loi qui confient le secref du vrai bonheur. En allendanf. nous la vivons o bloc, n'est-ce pas ? C'est la plus sûre façon de rebâflr. JEAN BERNARD . Hordi, le; !>"rs, ou travail 1 Si on en met un coup. cc soir o n y verra plus clair ! Et les coups de cognée reprennent de plus belle. - D is donc. toi 1 b sentinelle, ne f~rmc p:ts le q u::irt d 'un œil, c'est p:is le moment! - Plus sou vent que je bat t r ais des cils ! réplique l'homme en fact.on, je suis payé pour savoir qu~ -les Iroquois ne bodinen: pas... c'est rusé et silen– cieux... Han ! Han ! foi t b cognée dans le bois qui frémit sous les coups des F rançais q ui mettent tout leur cœu r à b besogne, destinée à agrandir Li petite ville de Montréal, devenue t rop éLroite pour eux. Tout à coup, le regard de la senti– nelle se fixe obstinément sur un buis– son touffu... t rop touffu... « C'est dangereux, ces verdures-là, songe-t-il. Il faut fos supprimer, ces diables d'hommes pourraient aisémenr s'y C3Cher et jl5 auraient beau jeu )). - Aïe ! - Un formidable croc en iambe et le François se sent soulevé, emporté s1ns avoir r ien vu ni rien entendu. !'Iroquois l'ayant attaqué par derrière, m ent ... silen cieusement , Le lâche sournoise- La sentinelle se débat, mais le Peau· Rouge a la poigne solide et il l'emporte tel un n1outon, m ais un mouto n récal– citrant. - Au secours ! A moi, les gors ! 1 il n'est que blessé. Va-t-on le laisser ~Iélas, il est déjà 1oin ! Ses cris par - mourir là, sans secours ? ne connaît la de un g uerre, guère que la rude loi de est impressio nné par tan t viend ront-ils à ses camarad es ? D octeu r, b!essé, u n percée. nous vous Pe;,tu-Rougc, apportons dévouement et d 'émouvantes vcrs:ations s'en gagent en t re mièrc et lui : - Vous êtes tous si son bons con– infir- pour Penché vers l'arbre qu'il abat, Lam– bert Clossc a entendu. Etienne Bouchard, le chirurgien, f ronce les sourcils. m oi... cependant , je suis vot re ennemi... - Notre en nen1i, pourquoi ? n•: - A lerte, vous aut res, nous sorn– mes attaqués ! - Sale besogne, pas mal amoché! sommes-nous p as tous f rères! mais c?est u n homme, on va le sau ver! - j'ai tué des blancs, vous m'avez Aussitôt, d'un même élan, tous le< dit Jeanne Ma- . blessé... :bûcherons se redres– sent comme m us par u n ressort. H élas! les I roquois sont trois fois plus nombreux : il faut se battre... Lambert qui. n ':i pas peur et qui ne perd pas son sang– froid, dirige la pour– suite. Tout de suite il s':ivise que le co– losse rond c o m m e une barrique qui corn-· mande !à-bas d'un - Parce que nous ne nous corn p rcn ions pas. Vous c royiez que nous vous voulions d u mal, mJintcn:J.nt, vous savez que ·nOU!; désirons être vos :imÎs vous e.nseig ncr ·la p iste du vrai bonheur. D geste impérieux et bref, doit être le chef. L 'i11clien, brusquement, s"écrouln sur l e sol •. Tout à coup, un remue-m énage insolite trouble le sil~nce du fort, un- bruit de fu – sillade vient interrom– pre la conversation. Jeanne pâlit. F rançois, crie-t -il, t u es notre nec, la jeune Française q ui, d ie aussi, meilleur tireur, vise-moi un peu cette s'efforce de faire ai mer la France, dans b::irrique, m 'est avis q u 'elle est encom - cc pays encore sauvage d u C:inad::i. brante... Qu'est-cc encore ? Elle ouvre h porte, des hommes courent, glissan t des cartouches d ans leurs fusils. 1 Où allez-vous ? d - Cc sont les Faces-Rouges qui es- chef à terre, sont pris de terreur et' Jeanne ne quitte guère le .chcwt e 1 Le coup est parti, l'Indien s'écroule sur le sol. Les lroquoi~ voyant leur l 'i d. sayent de prendre le fort. f uient en désord re, abandon nant leu r ' n icn, son cœ ur compatissant se prisonnier. : penche sur cet homme, un enncmj, ; Agiles comn1c des singes, les In- '. pour éssayer de lui faire con1prcn drc dicos, en effet , escaladent mu rs et p:llis– Mais le chef ennemi n'est pas mort, ( ce qu'est le vrai bonheur. Le blessé qui · sades. L'un d'eux hurle : Sui t e des Aventu r es de J EAN-FRANÇO IS ........................... e t so1n1 é q u ipe ........................... ËCOLIERS DE LA NOUVELLE FRAN CE - Vous avez t ué notre · g r;ind chef, je suis son f rèrc, nous le vengero ns ! - Vahah:i !... C'est le c ri de guerre... Le blessé est dëvcnu songeur, tout à coup i l se redresse et commande : Portcz-n1oi au dehors. je veux !eur parler. Er, dès qu'il les voir Mc voici vivant, b ien smgné. Nous nous somme-; rron1pés? les frJ.n– Ç:?is sont nos amis. ils veulent nous •ider... . M éfiants, les lroquois pro mènent au– cour d 'eux des regards inquisiu.·urs ; ih .:x3mincnt le fort, les c:ibancs, le.; hommes. Cc peut-il que ces derniers .,;oient vr3iment des :lmis ? .... Mois le chef devine leurs pcnsl-cs : - Je suis toujours votre chef, et je tuerai n1oi-mémr le premier qui fera du mal à l'un des habitants de Montréal. A présent, allez-vous en ! - Mais que ceux- qui veulent c:iu– scr avec nous, restent, cbm;- Lambert Closse. - Envoycz..-no~s vos malades. vos femmes, vos enfants, pour q ue nous les soignions, ajoute Jeanne Mance. D C'est ams1, grâce à c.cs Français au cœur vaillant qui surent porter bien Join ce doux nom de France synonrmc de charité et de fierté, q ue le C2n~da, malgré tout, gard e touio urs un fervent .>ouvcnir à sa première pat rie. René-Jean DE QuERNAC. Toutes les têtes se sont levées en sur– saut, les plumes ont cessé d'écr·re et, sous les yeux ébahis des élèves, Ernest ~·est avancé vers le maître, sa boulette à la main. Rapidement l'instituteur a dé– plié le morceau de papier et son visage <> pris une telle expression de stupéfac– tion et d'indignation que tous les garçons ont senti qu'il allait se passer quelque: chose de grave. D'instinct, comme pour chercher un appui. les Cœurs Vaillants se sont tournés vers Jean-Franço's, mais, ô surprise! dans Jes yeux baissés de leur chef d'équipe, ils n'ont p;;:s trouvé '1e moindre réconfort. Bien plus, la rougeur insolite répandue sur son visage leur . a causé, sans qu'ils puissent bien se l'ex– pliquer, une sorte de malaise a ngoissant. Juste à ce moment, le maître s'est dir igé droit vers Jean-François. Au mil ieu de la stupéfact:on générale son doigt s'est dres– sé vers le petit gars et ces mots terribles sont sortis de ses lèvres : « Je<i"1· Fratr1çois, c'est b:en vt111:s, ri·e~t-ce p• s ? n Une bombe tombant au milieu de la cla~sc n'aurait pas produ it plus d'impression. J ean-François! c'est Jean-François que le maître accuse d'avoir envoyé la boulette ! Mais ce n'est pas possible, il se trompe, voyons! Jean-François va se lever, pro– tester énergiquement, diss·per le malen– tendu... Non. Jean-François se lève, en eUet. mais pour ba isse r la tête en signe d'aveu. Alors, brève, sévère, la voix du rnaitre s'élève de nouveau: << Ainsi c'est vous Jean-François... vous, le Cœur Vaîl- tant... vous le chef d'équipe... vous qui a vez lancé ici le:; Ligues de loyauté, c'est vous qui t7ic• ..ez en pleine composi– tion... » Devant ces reproches .Tea n-Fran – ço· s tressa il le et quelques mots de protes– tation s'échappent de sa gorge serrée par !"émotion tandis que des larmes d'indi– gnation emplissent ses yeux clairs : C.V. N° 47 du 23-1 1-41 cr Non-, je n'ai pas t riché, Monsieur, je vous c:ssure, je n'ai pas t riché... n Un gros ·oupir de soulagement détend Paul, Marcel et Louis qui, pâles d'angoiss'~. sont suspendus aux lèvres de leur chéf d 'équipe. .Jean-François n'a jamais menti, le maître va sûrement le cro·re, chercher aiileurs le coupal::1:!... Mais non. Au lieu de s'adoucir le maitre, au contra ire, prend un aspect plus sévère encore et brandis – sant le papier q ue Jean-François vient d'e nvoyer à Ernest, il cirigle d 'une voix dure : « Et cela, qu'est-ce que c'est alors? Menteur par-dessus le marché? c'est com· plct, vraiment ! " Sur la feuille q ui trem– ble devant les yeux de Je:in-Fr::mçois des chiffres ·'étalent... des ch iffre que Mar – cel, hors de lui. vient de reconnait re tout à coup comme Ja preuve terrible du dra– me, ca r ces ch.Hres qui rlonnent la solu– tion d u problème, ces chiffres sont, il est impossibl, d'en douter, de !"écriture même de .Jean-François... (A suivre.) JEAN BERNARD.

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