Cœurs Vaillants 1941

~01-~e u4ou11\ea J'ai vu dons notre cher journal une demi– pagc ae jeuA... J'oi vu aussi qu'elle allait poroi\"re toutes les semaines ot qu 1 il vous fallait de quoi Io remplir, alors j'ai construit comma i'oi pu l' imogine.r un petit leu d'intérieur.... T,.Js bicrJ, très bior:, Lucien ~~ S... o:i du moins ce serait =-=-====- :::::-""....:::...--::::: très bion .si le jau quo vous nous ODei:; ctnwyé était tJrai.. mont un jcr.J nouveau, seulement ~oi/iJ... Mon ami Io Père Spi. caca qui o une mémoire pro. ,~ . digiouse et an flair étonnot1t ~J ~~ ~ me certifia qu'il l'a vu paraî· %'",'///.Q Ire dans un cr~tro illustré dont je pourraù rious citor le titre et le 1uuniro..• t.1ôme réflexion d'ailleurs pour un bricolage en· Doyé par Georges Z ... Voyons, les gars, serwit·ce possible 'I Vous pense:J bien, voyons, que tJOtre journal estime trop ses lectewrs pour leur donner de oicillcs choses copiées aillo:"s..• Surtout qru, ontre nous. ce journal où Pous ave:s pris vos idé's Dous sa;;es:; bioo que c'est un de ceux que les vrais Cœurs Va;I ·an.ts ... mais ;e n'en dis pas plus 101'~ V ous a/lo:s réparer ce·a en oous mettent à inocnur de rJrais jeux que vous nous enoerre:z vite. Nous serons enohantés de les publier. C'est este,,Ju 1 • Y o deux gars do mon é~uipe, Dédé et. Ro– bert qui ne veulent plus venor porter les 1our– nau~ avec moi parce qu'y disel)t qu'il fait trop froid alors je vous demande de diminuer le chiff;c des' Cœurs Vaillants que vous m'en- voyiez... Dites·moi, Paul B... et vous autres, propagandistes cfun peu partout qui nous ooe:z cette semaine écrit des lettres du même gsnre est-ce vraiment la seule solutio11 qui! cous ayie:z trouvé.? r Diminuer uotre chi/· /ro ! Prioer un tas J e petits gars des journaur qu'ils at– tendent de vous chaque se· moine... Dites·moi si le Jacteur. cessait de porter çes lettres, ie laitier son laU, le boulanger so11 (Jain, iout simplement Parcq qu'il /ait froid. qu'est-ce que vous en penseriez ? Allons, allons,, QuanO on a votre âge, quand on est un vrai Cœur Vailiant on ne recule pas devant quelques degrés de froid. Alle:: trouver vos camarades, voyez s'il r o moyen de mieux organiser leur tournée, d e s'arranger avec les parents, amis ou voisins de 'eurs « clients » pour le transport du journal. Voyf!.i enfjn si les plus éloignés ne pourraient pas souscrire u,, abonnement q"i leur f)ermettrait de recetJoir leur ;ournal directement par la poste. '- 'or.ZT les y Q:l 0 der vous pourrie; leur offrir u,,.o petite réduction prise sur la prime de 10 :% que nous donnons pour trois abonnements transmis en même temps. Qu'en d;tes·vous 1 • L'Alpiniste· nous a dit la semaine dernière qu'i! falloil faim un tableau dans chaque équipe pour marquer notre campagne des pau– vres, mais alors qu'est..cc qu'on inscrira sur la carte d'ascension du groupe ? Rien pour le mome•t. Mais ll!Ft===,,---=-1 ô Io fin de la campagrte (~us le 28 féurier) c'esl avec les résultats obtenus par toutes les équipes qu 1 on calculera les ef– fort} ac<omplis (>ar le Groupe. Ces1 efforts (visites faites, ca– deaux distribués, familles se· '"'Ourues, etc.), seront alors ins– crits sur un grand tableau qui prendra place sur la carte du grouP• aux étapes 4 ô 8 jusqu'à la fin de l'ascens:on, A ce moment-là c'est au Centre National que ce bêlW tob ·ea::J. sera e~voyé pour être présenté à Jacques Cœur lui· même et dem eurer ensuite toujours dans le dossier du Groupe... Vous vous rendez compt e, dites, petits frères 1 de .l'honneur qui sera /ait alors à vos exploits d'alpi,,istc 1 Je ne sais pos si tu os regardé on détail ta carte d'ascension ? Mol, •I. Et 11 y a, à l'étape no S (justement celle où nous arrivons cotte semamc) un dessin q ui m'a toujour$ fait frémir... • • , Deux de nos a lpinistes, sons doute pleins d'ent!oin, sont arrives ,o un roc si esc.a rpo qu'ils doivent l'escalader en se faisant la courte echclle, cramponnes aux ~rres, 1uste ou-dessus du vide... . Dis donc heureusement qu'ils se sont débarrossés à temps do leurs bagages, ces deux.là ! Mai~ pourvu que leurs musc~es s_oient asse.a résista'?t~ et 'u"uno crampe n'aille pas les trahir juste ou moment du retabhssement le plus pcr1lleux . Au fait des musdes solides tu Gais comment cela s'acquiert, n'est-ce pas ? L'exercice, le sport, 1'e,ffort persévérant et quelquefois coûteux, tu as pratiqué tollt cela avant do te lancer dans Io grande montagne ? Alors, tu os dû t'apercevoir que pour arriver à se faire un corps robuto et souple, prêt à affronter sons défaillance les difficultés de Io routa, Il faut uno volontcl forme et persévérante, une volonté qui n'ait pas peur de lutter contre les petites habitudes qui alourdissent . souvent trop de bons_ g_arçons paisibles bien installés ~~ t. 1 w dans leur petite vie ego••:· : ;~· 1 , Petit frère, cette grande campagne que nous , l'' - ,... 1,.. \' avons lanc~e ensemble !a se'!'aine derni~re, c"est aussi Ill tn .à 1 1 1 une ascension. Pour venu vraiment en aide aux autres, 1 ·~ Ill t • 'pour être un semeur de bonheur, 11n Cœur Vaillant il1 1 digne de sa Lol, il te faudra plus d'une fois renoncer ~ ~ 1 1 à tes aises, pre ndre sur toi, te priver.., Pour manier vers ftll le Christ d'un cœur généreux et d'uno âme fière, il 1 JI A _, ! fout savoir se détacher de tout ce qui rétrécit, de 1-, '/,' tout cc qui retorde, de tout ce qui o lourdit. ~ : 1C'est dÛr au début, oui, mois après comme on se sent léger et fort et joyeux sur la route du bon· ' heur 1 Veux-tu essayer, petit frère ? Alors regarde bien nos consignes pratiques de cetto semaine, tu verras que ·tu y trouveras l'occasion de ·splendides performances, des performances que Io Seigneur sera peut-ê tre. le se ul à connaître e.t · à n.n'-il~~,...·- enregistrer mois qui enrichiront là.. hout ton vrai carnet d'alpiniste. L'ALPINISTE. Consignes pratiques pour cette semaine POUR LES GROUPES A la plus belle place de votr~ coin d'équipe doit se trouver le tableau Que vous avez fabriqué ensemble la semaine dernière. Vous y avez fait a.utont de cases Que l'équipe n ndopté de familles à secourir. En vous a:dant des renseii;nements recueillis à droite et à gauche vous y avez inscrit, eu crayon 1 dans la cose de chaque famille les objets qui leur mnnquent Je plus. Bien. Mointcnont il faut a'occupcr du ramas– sage de ces ohjets. Où SE LES PROCURER ? Chu vous d'abord. Que cbaG'Ue équipier regarde attentivement ce qu'il peut prélever dons sea affaires personnelles pour ses petits frères malheureux. Qu'il demande ensuite à s:i maman si elle veut bien chercher avec lui ù la maison, ou grenier, dons les placarde tout ce qui pourrait encore servir ('avec un peu d'idée et de pa~ience on peut arranger beaucoup de vieilles choses qu'on croyait inu... tilisubles. (Ames Vaillantes n°• 4 et S donne à ce sujet beoucoup de recettes astucieuses). Chez les autres, ensu_ite. Faites, en équ.ipe, la liste des moisons que "ous visiterez. Choi· sissez ·de préférence les voisins, amis, com– merçants, familles des petits gars qui achè– tent Cœurs Vaillants dans les kiosques et qui déjà sont au courant de votre campagne (cela peut être une excellente occasion de vous entendre avec eux ù ce sujet). A près cl:aque tournée, apportez au Groupe tout ce que vous ' aure:: recueilli. Un équipier en sera nommé trésorier et se chnrgcra de les ranger et CÎ'co foire soigneusement la liste, liste qu'il pourra afficher sur ·votre tableau, du côté : compagne de rom3ss::ige, d'une case qu'il op· pcllero : objets recueillis. Un autre équipier se chargera aussi de noter le nombre de visites faites par l'équipe pour cette tournée de ramassage. Il découpera autant de petits carrés de papiers de couleurs que de visites fo ites (une couleur par équipier par exemple) et Jcs collera sur le tableau d'ér,•uipe dons une case qu'il appellera : Visites foitc5, du côté campugne de ramassage. La semaine prochaine nous nous occuperont. de la répartition et de la distribution de tout ce que vous aurez trouvé. F aites bonne chasse, petits frères, il fout que vous soyez très riches pour pouvoir faire beaucoup d'heureux. POUR TOI, ALPINISTE ISOLt Les consignes sont les mêmes que t>our lei groupes. Seulement c'est sur ton ca.rnet d'alpi· niste que tu noteras toutes les personnes ù qui tu us pu psrler de notre campagne, les objets que tu ouras recueillis, tes sacrifices persan· nels pour les p::1uvrcs. Je ne te dis pas com· ment. C 'est à toi de trouver la plus jolie pré– sentation. L'essentiel. tu le sais bien, c'est de faire quelque chose - beaucoup de clioses - car pcrson~e n'a le droit de rester inactif dana cette grnnde compagne de charité. LE DOCU.~ENT 433 Du NEUF avec du VIEUX En fouillant vos placards et vos greniers pour notre campagn e des pauvres, vous allez· t rouver quantité de choses qui, à première . vue, vous paraîtront inutilisables. Or, à notre époque sur– tout, rien ne l'est jamais complètement. Avec un peu d'astuce et de patience, vous pouvez, presque toujours, fabriquer du neuf et de l'utile avec du vieux. • Voici quelques idées : Un combustible économique. Dons presque tous les g re– niers il y a des vieux jour– naux... dons presque toutes les caves il y a eu dès tas de charbon qui ont laissé sur le sol un amas de poussière noire inut ilisable. Ramassez précieusement, sons vous salir, les uns et lt ; aut res. Déchirez assez fin vos journaux. Mouillez-les copieusement dons ~ne vieille bassine ou cuveau. Ajoutez-y la pouss1ere de charbon. Mélangez bien. Prenez de vieux pots de fleurs de petite taille ou de viei!les boites de conserve pas trop grosses, Empilez dedans, en serrent b ie n, votre mélange d e jour– naux et de poussière de charbon. Démoulez et faites sécher. Vous aurez alors des sortes de boulets qui brûlent très bien et rendront grand service. Ill Des cintres po"r pendre les habits. Chez les réfugiés on man– que souvent d'armoires. Avec une tringle e t un vieux ri– deau on peut, dons un coin de pièce, fabriquer une pen– derie où on a ccrochera les hab its sur des cintres. Ces cintres sont d ifficiles à trouver dons les magasins et fac iles à fabriquer. Pre– nez un morceau de bois (grosse bronch"e, vieux manche à balai, etc... ), de oré fé rence un peu cintré. Rabotez-le soigneusement ou robot ou ou papier de verre ; faites au milieu, avec vot re cani f, un petite rainure autour de laquelle vous e ntortillerez un fil de fer suivant le modèle de notre. dessin. Pour que ce f il de fer ne risque pas d'abimer les habits, vous l'entourerez a vec de Io ficelle fine ou du papier soigneuseme nt collé. Un dessous de plot facile à foire. Quand on mange sur une toile cirée, il fout é viter de déposer dessus les casseroles o u plots trop chauds. Vous pouvez facilement fabriquer des dessous de plots qui évi– teront ces ennuis. Prenez une petite plan– chette de bois ronde ou car– rée (fond d1? boite, :-end d 'a r– bre, chute de bois, e tc... >. Clouez oux qua t re coins des petits cubes dépareillés de jeu>< d'en– fants ou des petits morceaux de bois de mê· me taille. Peig nez le tout 0•1 brou de noix ou CU ripolin de COUieur vive. S"i Et voilà déjà de quoi foire des heure ux. vous a vez des pet ites sœurs, dites-leur d 'ach e– ter c Ames Va illantes > de cette semaine et de la semaine dernière : elles y trouveront encore quantité d'idées du même qenre.,. RESUMÉ. - C:n dossiel' contenan t lt secret d'u ne iu.venliori 11rtc1euse pour la Patrze. a dis]Jal'!t le jour m~me de la mo1·t ae son m- i·•j~~"1\'1~· de c~lui-ci et un de ses amis 1écident <le re11·ouve1· le ·tolcu1·. Ils S'e111bar r1uent pour l'Eauµte sur un paquebot où ils ont rdei·1u a JJistt. du 1nüe1·a1Jle, un lerant1n qu1. les a,t1re dmis uu. fJUel apen.'i lis 1·ewœissent d s·echap- ches ou bout de nos peines ? C 'est bien, je sais ce qu 'il me reste à faire. ~ - .: Quoi ? ~ Jes ténèbres, butant à chat;."Ue pas our Je9 · volumineux blocs de pierre qui Jes obligeaient à s'orienter à nouveau. Alors ils repartaient lentemeot, passant sur les genoux les obstacles les plus ,.;ros dressés devant eux, ofin que leur n:.ain ne perde pus contact avec le mur. de leurs doigts lorsqu'il& doivent revenir sur leurs pas. et sans hésitation la rrotta sur la pierre. Une lueur jaillit allant grandi,. oante. Ah, combien .il leur sembla bon à chacun de voir renaître nur Io face de l'autre une expression joycune. l~'ld:f ,i,~;:ri.~·~~i.r~g,w~T1s~~J~·~~ 1a%fifi~f,; ou ttu1• mustlil·ieux guide les abandonne. - « Justement, Roger, Dieu le eoit et nous sommes les seuls à l'ignorer. Mais ne perdons pas confiance. » - « Voyons, Pierre, jamais notre si· tuotion ~ 'a é~é plus mauvaise. ;I} Serva), à tâtons, le .prit par les épnu· les: - « Je ne te reconnais plus. » Il ne vh pas le housscmcct d'épaules qui occueillit ses paroles, ni le geste d'indifférence que fit, de la main, son compagnon. « Ça vo mal », pensa Serval. - <J. Est·CC donc ainsi que tu flan .. Cainpagne de éharité..• Secours National... Pour un chrétien, Pour un Français. DONNER N'EST PAS UN BEAU GESTE FACULTATIF C'est un <1evoi1' de Justioe et de Charité Qu'as-tu fait cet hiver pour ceux qui souffrent du froid, d e la faim et d e la misère ? - « Rester près de toi... Tu ne te fi"are pas que je "'ais te laisser seul · à~ blanchir tes os dans la pyramide. Tu t"es offert librement de venir avec moi; nous n'avons fait G11'un jusqu'ici; nous .continuerons à n'être qu'un jus· qu'au bout. - « Non, tu peux partir. essayer de retrouver la sortie... » « Tu accepterais que j e m'en aille ? » demande Pierre qui halète comme transfiguré par une sorte Je joie profonde. Roger •prit un ton grave : - « Non seulement j'accepte, mais je te J'ordonne r 1> Serval empoigne à nouveau son corn· pognon par les épaules, l'oblige se tenir face ô lui. - « Eh bien !e pars, tu entends. JE PARS, puisque telle est to volonté. Mois n'ouhlie pas Io promesse que tu m'as faite et que tu tiendras. » - « Si je t'ai promis quelG'UC chose, je le tiendrai, tu peux en être sùr. » Serval exhulte : « A lors, écoute; ; me suivre par· tout. Tu os bien compris ? » 11 attendit une réecrion de son ami. Mois son oreille attentive ne perçut aucun son. Un momeitt ils restèrent silencieux , puis Dupré rompit le silence. - « Allons-y ! à droite.., droite ! » Déjè. il pivotait sur s~s talons, Scn:oJ l'arrêta. - « Roger... merci. » - « Ah non, mon vieux, pas jouer la grande scène dr:sscment. Viens ici, qu'on se retrouver dons ce tunnel ô~e. tu ne vas de l'oucn· essaye de d'un outre Ils commencèrent leur marcht dons Quand ils eurent contourné les trois niches ils restèrent longuement déiru~ en constatant la présence d'une nouvelle envité. Pourtant si Dupré avoit cono;en è une im3ge moins nette des lieux, par con~re Serval restait persuadé Lie n'evoir \"U que trois niches devant ses yeux. - « Tu auras eu des visions mon pauvre ami t>, déèlora Roger, ccrtifi3nt que le c~emin parcouru était bien celui par lequel ils avaient passé en compagnie du guide. Serval fut bien obligé de se con– vaincre que ln quatrième cavité nvoit échappé à :son observation. Ils parvinrent, enfin, à la gronde muraille. - « Nous voici ou carrefour dans lequel nou,; devons trouver sur not re droite, l'entrée du couloir menant ù Io sortie. Continuons ! » dit Serval sûr de lui. (( Station « Pyramide » ! E n voiture 1 I"> clama Dupré. Bica qu•ils fissent étalage d~ crânerie et d'audace, chacun ne pouvait se dé– fendre d'une ccrtoinc angoisse. An fur et il mesure qu'ils avancent ils perdent cependant peu à peu de leur Bssurance. Pourtant ils retrou vent le couloir laissant, derrière eux, des marques de leur pBssage. Pour celo, Dupré qui ferme Jo marche, pose sa main sur les dBlles et dispose tout autour les fragments de pierres dont le sol est parsemé, obt c• nant · ainsi une couronne irrégulière dont la forme ne peut les trahir au contact Combien de fotn,.. déjà, leur a-t-il fallu manœuvrcr ainsi ? Servol, l'esprit t endu, tout û sa tâche de retrouver leur route, ne rit plus. N os héros viennent de s'engager don-! un nouveau dédale de souterrains d'où ils ne parviennent ·plus ù se tirer. Quit· tont un couloir, ils pénètrent d~ms un outre qui les mène dans une fausse dj. rection ils s'en aperçoivent aux mu– railles Qui, plu! rapprochées l'une de l'autre, rétrécissent le passage. e Si nous avions oc:ulcment de quoi faire de la lumière », déclare Ser· val nerveusement. - a: Dommo~c que nos sacs soient restés à l'entrée de Io. pyramide. » A tout hasard Dupré fouilla dans seo poches av~o l'espoir de trouver 1 1 allu· mette qui les libérerait provisoirement du chaos dans lequel ils étaient engagés. Et soudain i1 pousse une exclamation joyeuse - « J 'en ai UDC l » A tâtons, Serval avança Io moin et parvint à saisir le menu morceau de bois. « A lors, qu 'attends.tu ? » de· manda Roger au bout d'un instant, son oreille n'oyant pos encore pert;u le ro· clement caractéristique de l'allumette sur la muraille, Dans Io circonstance · .présente, une force mystérieuse retenait Pierre de foire le geste qu'attendait son compa_... gnon : la crainte que Je phosphore no s'enflamme point et que Io désillusion éprouvée ne vînt paralyser définitivement leur volonté, retenait 60 main. Dupré se douta·t· il de ce qui se passait chez son ami. - « Donne ! » fü. iJ simplement. Il s'cmpa;·a son tour do l'allumctto RODA LY. La semaine /Jrochaine : " UNE LUEUR DANS LA NU IT » 1 Pour discute;---i L._ entre vous _J Billet de Jacques Cœur. Poun~uol es1~cc te momc111 d"orgonlscr :: ne . ~g~~~~ 1 ~l~,;~~~~r~e?H~~~!~fèi?~ ~g·;~ù~i-;;lcJ~~ celle co11,lg11e esl e lle tout à fait d nclua •llé mal11l€'nun1 '! Commenl notre &luys peut-li •)tre sauvé ? Plus fort. l'ourCJuol .rncqu~s 11cnsall-ll oue sn roi ~tnll sa for1·0'!- Pourquoi, clans 1c..; gucrres dv.1cs. lu persccullou suit elle vreH1uo luuJours lu rè volle? Malgré foudre e t tonne rro •Comment se construl•alcnt les cathMra· les nu moye11-:i.11e ? - Quelle est rnulre • r e· construcu m1 • 4uc no us U\'Ons U fui rc mnln ~cmmt 1 - Pur q uels etrorts ~·uccomL.Jllru l elle ? - Qu'y peu,·tu personnellement ·1 A propos de notro ascçnslon. • Pourquoi faut li ovolr le!; mu.;cJcs solides ~~'sr;1~;~~li~~c~;e~t'V 11 ~·;e;~~gt ~~~ ~~crcc~~~~ qui en nit 11e;<>ln ? - Comment peu•. 0 11 nsucrrtr sa vo101u~ •1 Ccnua1~·tu cles httlJllU•tes ile purc5'e ou d'~~o!sn1e qui relor– dcht ,rn,ns rasccnslon \'Cr~ le h• nheur? Cites– on. - Pour~uol ··es tiahlludrs 1tCnonl elles aussi <l<-tllS la c;un}1n~nc que nous nvo11.· lun· ~~cd;H?i~h1ri~~~t ~~ls\!~~~~·~ ~·~~:;;,!~~s~~lg~.~r~ des snrrlfh'es 1 Exemple~. N'y a+ll que ··eux 1~~-~1~ 11 1~t~,~~1 1 :td°d' ~~e 1.l'.·~~1';-~,}:~u~cl;s,,:gi~i~1 5 r~ rnm11a1tne 110 ct111r11é? Pourquoi ·~ Qnc 10111 dire la phr~1:ee : r·'c!il un 1levo1r rie ju. .;llco et de r.hurllè do donner uux pauvres ? c Lo foudre o frappé Notre-Dome ! • . Dons la ville enc:ore ruisselante d'eau et résonnante de t onnerre, la navrante nouvelle se répète. Do ns tous les foyers, c'est une unanime déso– la tion. Sur les pavés inéga ux de la vine haute 1 comme dons les ruelles de Io ville bosse, c 'est ta même course vers le même but. Mêlé à Ici foule, Jean Lepennec se hôte. L'incendie gigantesque semble embraser I~ ville. Les moisons proches de Io cathédra le 1 ont pris feu. Quand le garçonnet arrive, une multitude est tà , effarée, devant le désastre . Grâce à quelques coups de coude, à des ruses sa vantes, Jean p arvient OUX' premiers rangs. Les seigneurs de Io Cité de Cha rtres ont rapidement oroonisé des secours, mois héla s ! to:bles sont les moyens dont ils dispo– sent . Les gens font Io chaîne et se passent l'eau oui pourra calmer Jo fla mme. Jean· Lepennec n'a que treize ans, pour-tant il ne peut de meurer inactif, a lors q ue ceux-là mêmes dont les foyers sont détruits luttent p our sauver Io cathédrale. 11 s'ajou te à Io lo ngue file et, d urant des h.eures, porte ou c ha înon suivant les lourds récipients emplis d 'eau. · Dons Io fumée âcre, près sier, sans tenir comp te de fatigue , Jea n, a vec tous c herche à · souveqorder Io de ta Vierge. de l'étouffant bra– sa peine et de sa ceux de sa ville, <r: belle maison ~ • Dès le lendemain, voillommer.t, tous se met– tent à l'ouvrage pour essayer de sauver ce qu' il est possible. Hélas ! Io châsse ma gnifique o disooru sous les décombres. Qu'est Io cathé– drale· sons son joya u ? Au milieu des poutres noircies, des ferra illes tordues, les hommes travaillent. A ccups de pioches e t de pelles, à force de lobeu• poursuivi pendant des jours le sol d~ l'égl ise est petit à petit dégagé. Mois de Io châsse, point de nouvelles. Elle a dû être éc rasée, réduite e n poussière. Le cœur triste, les h ommes t ravaillent toujours. Une équipe s'a charne contre un amoncelle· m ent plus haut qui tient encore. Atten– tion ! D , crient soude in les ouvriers. Dons un fracas épouvantable, un pa n de mur est tombé. a trouvé? ••• NUMÉRO PRÉCÉDENT •••Qui SOLUTIONS DU MOTS CROIStS HORIZONTALE'.MENT. ....: J. BADANGO. 2. ALENOIS 3. MAN, 4. BITUME. 5, OS · SEPT. 6. LE:GÈRE:S 7 . OSER - El'. VERTICALEMENT. - !. BA.MBOLO. 2. ALAIS!:S. 3° DENT - GE;. 4. AN - USER. 5. NOMMER. , 6 GI E:PE:E. 7. OSA - T S F. UN HÉRITAGE COMPLIQUÉ Le tracé vous in– dique comment partager le champ en parties égales de façon à ce que chaque proprié– taire ait accès au bassin. LE FIL D'ARIANE QUA..'ID O,N 1..:·A PAS CE QUE L'ON AIME, IL FAUT AIMER CE QUE L'ON A. C.!!.SSE-Ttl'E GÉOGRAPHIQUE Les mots qu' .il fallait ôter de chaque série étaient LUNE · HAIE • VILLE = LUNÉVILLE DEVINETTE La bête dont le paysan parlait à son ami, était un CHEVAL. POUR LES FORTS EN Cl!.LCUL ire Solution Il n'y a pas de fwnéa. car la locomotive est électrique 2° Solution !J n'y a que trois personnea, le grand-père, le père e t le fils. Deux sont pères, le grand-père et le père, 2 sont fils , le père ( fils du g rand-père ) e l le fils . MOTS CROISts Hm·izontalement : 1. Dommage:; SUl"Vt'OUS a un navire. Il. Sol ide. Ill Entouré deau l'llo- 1u::t1r111emen t : Pr;.nom masculin I V. Deux let– tres <le Zal<elh. t.:16• ure. \?. ~·iéan l vorace 01•11K lettres de Lire. VI f:to~ment ga.r:cux conti·nu i.1aflS l'ai r. A r lkle. VH. couµ s portés avec vio· le11ce. Ve»llrn/cme11/ : 1.Etat cr Amérlque. :t CJ1a 11· i;taa nt". it. Port fmlan– ch1ts. Petgno ile usse· r :1nrl 1. Pcu,·11cslnve. 5. Es• " n111a1s. 6. Malmêne 7, Dllt'(;S, Soudain, un hurlement de triomphe retentit et un cri, bientôt répété par tous, jaillit : • Lo châsse ! On o retrouvé la châsse ! » . Du coup, toute · fatigue est oubliée On est de nouveau plein d 'entrain et de couro9e. Les chapelains, prévenus en hôte, surveillent le déb:oiement. Et bientôt une rumeur grandit dans Io ville. G: PuisQu'on o retrouvé la châsse, c'est que Io Vierge veut que l'on rebâtisse l'église. On Io rebâtira ! On la rebâtira ! » . Lo phrase est dons toutes les bouches. Il fout que chacun s'y mette. Et cha cun s'y met. Les dons pleuvent de partout. Dons l'humble maison où vivent les Lepennec, toute Io fam ille est assemblée. - • Père, dit Jean; qu'allons-nous foire pour Io cathédrale, nous qui sommes pauvres ? - Pauvres, mon gars, t u es fou ! Quand on a un cœur et des bras, on est toujours riche. Songe à ceux qui ont tou t perdu dons cette nu it de flammes. - Oui, père, mois que foire pour Io cathé– dra le ? - Par sa int Pancrace ! femme, notre gars me semble bien entreprenant pour rebâtir l'église qlors que tant de foy.,rs sont détruits ! - Los !. mon époux, que dites-vous ! Quand Io • ma itresse demeure de Notre Dome est à bas, peut-on perler de rebâtir outre ma ison que Io sienne ? ». Le lendemain, Jea n est revenu à Io charqe. - c Père,. si on a ·retrouvé la châsse, c'est b ien que Io Vierge veut sa maison » . Enfin, le père cède. - c Allons, mon gars, rossure– toi, j'irai. Femme, il faudra me préparer un lion repos ce soir, si on tra va ille toute Io nuit. Cor, petiot, jE: ne peux y a ller le jour avec mon travail... - Père, vous m 'emmènerez ? - Tu es t rop jeunet, et le trava il est dur... • . Mois les yeux de Jea n sont suppliants et Io mère approuve, alors l'homme se la isse vaincre. • - Eh ! là-bas, pour Notre Dame, on· y est ? - On y est, Sieur Rodon. Dans le crépuscule qui tombe sur Io ville. Io lourde suite des véh:cules s'ébranle. Jeoii Lepennec est près de son père, il est heureux de partir lui a ussi et d'e ider un peu. - • Tu seras Prudent , a recommandé Io mère, les blocs sont Pesants • . Mais Jea n est fort s'il est jeune et il est bien décidé à ,e donner à fond à cet te tâche qu'il t rouve si belle . · Sur !a route p ierreuse, c'est une longue pro– cession qui va et qui vient de ceux qui sont occupés le jour et donnent leur nuit sons marchander. Voilà ceux de C.ourville q ui oppor- TROUVE CE RÉBUS . • . c 'e.st la belle parole d'un chef• 250ECEMBRE ~ 14J u 1LLET \ShWil[-s ~~-.:::::!:::.....--· 'E SUIS UN LACHE ET J E NE OIS PAS LA VÈRITË GARE AUX FAUSSES NOTES ~ J qïJ JJ J J J Jj J J JJ?1 En norrunant les notes ci-dessus retrouver se pt mots répondant aux définitions suivantes : J. Trouva la solution (de ce problème). 2. Aquarelliste et illustrateur de mérite, né à Paris. 3. jaune, d e couleur d 'or. 4. Commune du Département de Constantine. 5. Encore une commune, près de Mâcon, station préhistorique. 6. Brigué, convoité. 'l. Aplanit avec un instrument de tonnelier. PAUVRE PÈRE ANSELME ~ 1 r 1 .l Après avoir collé son affiche, Je père Anselme s 'aperçoit que ce lle-ci ne veut r ien dire du tou1. Et pourtant, si le père Anselme était un tantinet malin, il parviend rai! à rétablir le s ens de la phrase. Cœurs Vaillants, voulez-vous vous e n charger ? Un C. V. vous demande .• . Un h être a 50 branches. A chaqae branche il y a 10 bra.JOche ttoe. lt chaque bran ch e tte il y ~ 5 branchiolea. A chaque branchiale, il y a 2 glands. Quel est le nombre do gla.nds ? Envoi de Rober! Leste - Tarbes. tent des poufres, ceux de Pithiviers a vec Jeurs cha riots de froment à vendre ou profit de l\'.Euvre, ceux de Bonneva l et leurs grosses voitures emplies de choux. Jean observe a vec cu rinsité les gens qui suivent les a ttelages. 11 reconnaît les gentils– hommes de Io ville bosse, les seigneurs des bourgs voisins qu i viennent e ider eux aussi. Jean aperçoit le père Golovord, dont le travail est pourta nt s i f>énible dons Io journée, le cordonAier qui, dons son échope, ne flône guère , a vec ses neuf pet its è n ourrir. Tous veulen t apporter leur port à Io reconstruction de Io cathédrale. Voici Io carrière. Lo maigre clarté de Io lune écla ire bizarremer.t toutes les silhouettes pres– sées de ces nocturnes trava illeurs. Jean remplit le tombereau profond. Souda in, il avise un bloc d'une teinte pJus cla ire . c Comme il fera it bien dons Io flêche rebâtie • . Jean veut le soulever, mo is ne oeut . " Père, a ppelle - t - il, voyez cette belle p ierre, il me fout de l'aide, cor e lle est lourde. - c Mon fieu, tu veux toujours du beau. Laisse-Io e t prends vite les outres >. A regre t, Jean abandonne Io pierre lumir.euse. Au bout d'un peu de temps, il v revient. De toutes ses force s Io pousse. Bonheur, Io pierre a bougé. L'enfan t l'agrippe, l'attrape à pleins bras, comme il peut, e t marche vers le chariot. Tout courbé sous le poids de sa cho rqe, il va sur Je sol inégal. Tout à coup, il fait un foux– pos, pousse un cri et tombe. Lourdement Io pierre est retombée sur lui. CŒUR VAILL.ANT7 Tou s les hommes se précip it ent, a ident le Père Lopennec à re leve• l'e nfant dont Io ja mbe doit être brisée. c N ~Jubliez pa s· la p ierre • , dit-il avent de perdre con naissance. Le s ieur Rodon, chef de l'expédit ion et quel– que peu médecin, donne un cordial à l'e nfa nt et envelo;:>pe Io jambe dons une couverture. Jean revient à lui. Son père doucement le sou– lève, J'instollè dons un ch ariot. C'est le retour. Les lourds véhicules s'ébran– lent lentement. c Tu n e sou ffres pas trop, man petit ? - Non, Père. > Pourta nt les cahots se fo'1t durement sentir, mais Jean pense à sa belle pierre. 11 écoute les hommes parler entre eux. Ils énumèrent les dons e t royaux cadeaux que les chapelains reçoivent choque jour. - • On raconte qu'un riche étudia nt vien t d'en– voyer le beau fermoir d 1 or Qu'il destinait à sa mie • , d it J'un. - c Les dames et les beaux se igneurs riva lisent au ssi de cadeaux e t des bijoux magnifiques a rrivent pour Notre-Dome. Les veuves abandonnent leurs a llia nces. Aussi, comme e lle sera belle, not re œ uvre, conclut le Sieur Rodon. Tout le monde y aura travaillé. > Lo caravane revient dons Chartres silencieux. Les sonnailles des chevaux font un bruit lége r de c loches, et Jean dans son sommeil fiévreux , rêve à Jo cathédrale rebâtie plus belle q u'avant, malgré foudre et tonnerre, g râce à l'e ffort de toute Io cité. PLUM'DOY. le ministère a besoin de toi ... E Comme ambassadeur? ma foi, un pe. 1 1 ·écoute bien : Nous venons de recevoir une circulaire de Vichy qui nous d it à peu près ceci : c C 1 est • bien dons les journaux des jeunes qu'on t rouve l'esprit nouveau qui refera de la Fronce ce qu'e lle n'aura it ja ma is dû cesser d'être . Il faud ra it que le pays tout entier puisse se pénétrer de cet esprit. Nous dema ndons donc à tous les membres des Mouvements de • jeunesse de confectionner un cadre g rilla gé dons lequel ils exposeront choque semoine le._ur journal. • Tu os entendu, CU?ur Va illent ? Le Ministère te demande d'afficher publiquement ton iournal pour que son chic esprit ra yonne partout et que tous aient e nvie de pa rtager ton idéa l. Sois fier, petit go rs, et réponde présent tout de suite à Io belle mis– sion qui t 'es conf iée. Déjà le d irigean t de ton groupe o reçu nos consignes à ce sujet. Va vite le trouver et vois Qvec lu4 comment vou s pourrez fabriquer le panneau ci-dessous q u i devra être opposé (sons a voir à payer de tim· bres} sur les m u rs ext é rieurs de vo– tre local. COHFECTION DU PANNEAU Pour que le journal soit entiè re– ment exposé, il fout que l'on puisse lire les six p ages. Dons Je p anneau ci-dessous, il n'y a que trois pages. Il faudra donc foire 2 panneaux:, ou mettre le double de hauteur pour a ffichere tout le journal. Prendre une p lanche de bois qui aura pour hauteur Io hauteur du journa l plus ~uelques centimètres, soit 45 cms et co·mme longueur trois fois Io la rgeur du 1ournol plus quelques centimètres 1 soit 87 cms. Sur le ~ord 1 ciouer un li teau de 2 cms à peu près de fo rgeur et de profondeur (soul su r le · houtl. Avec quatre bandes de bois <2 cms de h auteur ) composer un cadre sur lequel il faudra adopter un grillage pos trop fin ni épais (on doit )ire facilement o u t ravers ). Ce panneau doit s'adopter exactement sur le précédent. Clouer" a lors, sur les bondes d u cadre à d roite et à gauche sur le ponneou de bois 2 a nnea ux et sur le ponneou grilla gé 2 crochets !voir figure ) . Pour protéger ton journal de Io pluie, tu peux construire un petit a uven t qu'il faud ra adopter d irectement sur le litea u raboté su i– vent Io pente que t u voudras donner à ton petit toit . Le cadre peut êt re plus grand pour . que tu puisse s y mettre aussi des bnnderoles ou des affiches illustrent la consigne de la semaine, une devise ou un principe C. Y., e tc... Choque sema ine, une équipe devra changer le journal LA COCOTTE l1 DOS DE CHllMEAU L E 0 L 6 ET A vec toutes les figures ci-dessous composer la silhoueue d'une cocotte. Les lettres inscrites dans :es cases doivent former des mors dans le sens horizontal e t vertical. f.f fi T OUtH"((/S Olil Jm1rr! u u lie– fi n1ut· JJt!dou rus A <lù la11re tan– le, 1/.': iu re11t et'a r1·n·er it's 4.-.....- ..... -1-+-H-+-h-........... .,.........-'I.. JJremie1·s. J..cs M-+-H-+-H-+-1-+-H-+-H-+-H-t-H-f-l·_ HtidOtlhlS OIJI QUI DEVINERA ? Quel eol le vin le plus utile à la marine {Envoi de Guy Allex · Le Grand-Lemps) Qu'est-ce q ui fait le tour d u b ois e t n'y entre jamais ? (Envoi de jean Parent · Le Coteau) POUR VOUS, LES DESSINATEURS Avec ces ang le s fabriquez s uc– cessivernen t e n les employant tous chaque fois , troi::i têtes ave c d es exp1 essions différentes. l'tlcrt! I• rlé/i . F-t-t-t-t-t-t-t-t-H-t-t-t-t-t-t-H-t-t-t-t-1~ ne 11 :r; rn rn r·n- ll><ol....&..............&..............&...1-+-H-+-1-i....L.L..L....&.......... -L.J0 nescom11osee.- tte C'ÎW/ /10111H/lS c:/1nL"tJ11t s't!lan– crnt s111· Io 1iiste 1lt sntite. Quelle rnrarane arri– i ·11·t1 ln vrc- 111i~rt fi l'oasis fftSIOllè? MJtTtR.ŒL - Su; u~ carton reproduire le quadrHloge agrandi quatre fois environ. Dé coupez cinq p ioM noire : lea Touaregs et . cinq pioD!l jaunes : lo• Béd.oui1111 JEU: On tire au sort pour savoir q ui commence. Supposo~ que ce soit Jes Touaregs. Le guide joue Je dé ot fait avancer nn pion d 'autant de points q ue l'au– ra indiqué le dé . Puis les Bédoui"" jouent. La cara– vane gagnante est celle qui la première aura p lacé ses cinq hommes dans les cinq case::i opposée:J au départ. NOTll - On n'a pas le droit d 'avancer en diagonale. mais toujours perpendicul:::iirome nt. On ne bouge q u'un homme à lu fois. ' Si un Touareg tombe sur une c<l!Je occupée par un Bt!>douin, toua deux recommencent .Ja piste.

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