Cœurs Vaillants 1941

ILIER 6 .É RRl~RE UN ACH DE tj • ·~ athrrti~nté de . . ... . (Nom de la paroiue) ~roupt de . {Nom i),, Gro•p-J - Au revoir. Monsieur le Curé 1 - Bonsoir, mes pe tits... Et qu'o n so it sages, he in ? ... lottes " ... On d evoit rôtir Io dinde e t commande r " en ville " une bombe glacée po11r que ça fasse chic " ... On devait 1... Que ne devait-on pas fa ire, mon Dieu 1 " pour Io commu– nion "7 1 1... côte... Ils sl"lnt du même chemin pour un temps... Petit frère, Le Père loin de son enfant... Et l'enfant loin d o son Père... L'essaim dos communiants de de– mo in sort de l'église. Comme ils se compronnent, tous les La France, cette année, soLiffrc des mi::-ères accumulées par la guerre. Pour la rebàti: plus belle qu'n vant, jeunes et vieux s'unissent autour du Chef nue Die u nous a donné. Hie r, c'éta it un essoim bourdon- Mais Io plus magnifique promesse, nant... celle qui chontoit so ns ombre dons le deux qui ont au cœur une peine pa– reille 11... . Ils ont besoin d e notre aide. c·e~t pourquoi, nous les petits, ~us a vons d écid..! de con>a crer nos vacances à reconstruire chez nous la Cité ch rétier.ne où ch:icun retrou vera le secr et du vrai bonheu r. Aujourd'hui, si le rire, déjà. vient . cœur de Pierre-Jean, c'était celle d e oux lèvres, les rega rds conservent en- Papa: " C e jour-là, mon petit gars, coro le reflet de Io grôce mysté rieuse j'irai avec toi... jusqu'au bout... tout qui les opoise... Et c'est peut-être pour près du Bon Dieu ", ovo it-il dit o sa celo qu'ils voient si cloir, si cloir, les dernière perm'... - Mon Papa , il m'avait prcmis dè recevoir Jésus avec moi, le jc~r de mo communion. Pour ~ette œuv r e immense, il faut q ue nous soyons nombreux, il faut que nous soyon s unis, il faut que nous soyons enthousiastes. communiants de demoin... Et puis Io catastrophe ovoit d éferlé... Le visage de l' homme se crispe sous la morsure d'une pensée mauvaise... - Moi aussi, je l'avais promis ou mien 1... Mais à p résent 111 ... ...Si cloir que Pierre-Je11n d éco-uvre ce qu'il n'ovoit pas vu de puis deux jours : un prisonnier ossis tout ou fond de l'église, derrière le de rnie r pilier. • - T'as vu I' prisonnier, l ouis 7 - Oui... c'est celui qui trovoille de– puis huit jours à Io forme d es Aigre– monts. troînont oprès elle quelque chose de lugubre comme trn grand voile noir qui tombe sur t outes les joies... Pauvre J ea n 1... Pauvre Popo 1... Popo loin de son Pierre- Pierre-Jean loin d e son Tiens... voilà " l'autre " qui sort d e - Il ovoit l'oir tout malheureux, le l'église ... Un pauvre Papa aussi, sons So vo;x est dure, avec de s soubre– sauts de colère... et &<i n regard défie le ciel : on dirait qu' il en veut ou Bon Dieu, et cela fa it frissonner Pierre· J ean. Oh 1 il sa it bien, le petit gars, que le Bon Dieu a laissé les hommes à leurs misères et à leur méchan– ceté et q ue le pauvre prisonnier en o so bonne part è porter... Mois pouvre... - Dome 1... Louis est parti. Mois Pie rre-Jeon est demeuré... tout seul... errent sur le porvis de l'église... 11 ne soit ou juste ce qu'il attend... il songe, plutôt... Tout en poussent à petits coups de pieds d istraits une vieille boire à conserves, il songe o son Papo qui d oit être bien triste aussi ce soir... Pauvre Popo ! qui est pri– sonnier. là-bas, loin, don~ ce mysté– rieux " Stolog 26 " 1... On dirait que Pierre-Jeon le voit... prostré ·dans un coin de boroque, comme " l'out re ", dons le fond do l'église... Il pense à son petit communiant, Papa... et il e Io cœur lourd... lourd ... On avait fait do si beaux projets, po ur " Io commu – nion " 11 1... On devait inviter toute Io famille et foire une vraie fête do joie... On devait lui acheter un beau complet gris, " avec des grondes cu- d oute... Bonsoir, Monsieur... Bonsoir. petit... Pierre-Jean se trompe-t-il ?... Le rs– gord posé sur lui semble humide en– core... Mon Dieu ! qu'il d oit falloir de souffrance, pour foire pleurer un hom– me 7 !... - Vous étiez donc à la ·7 OUSSI ..•• retraite Miracle des cœurs en peine 4ui se rapprochent... l'homme et l' enfant qui tout à l'heure s'ignoraient causent maintenant familièrement, chacun con– fiant à l'outre son chagrin... le Bon Dieu, il a ses d e·sseins... Il est comme.- un Popo qui punit ses enfants pour qu'ils deviennent, enfin, de vrois hommes qui s'aiment. et non des chiffes qui se chamaillent b.3tement: cela oussi, Pierre-Jeon le sait ... et dons sen cœur renouvelé. il le comprend, cla!r comme le j·our. - L' petit m'a écrit: " Même de loin , Papo, il faud ra te nir to promes– se ". Mois... Il secoue la tête seulem~nt ... So gor– ge est trop serrée: if ne peut plus rien dire... rien, qu'un long sanglot:q ui bouleverse Pierre-Jean... Alors le communiant de dema:n a - Mon Papa est prisonnie r, et je une idée toute divine": fais mo comm1Jnion demain... - Mon petit g ars fait aussi so com– munion demain... et je ne serai pas là... Sons plus rien dire, il vont, côte à - Si vou} vouliez, Monsieur, rem– placer mon Popa, demain, à mo com– munion 7... M-oi je remplacerais un peu votre petit gorçon... Sa voix tremble sur ces mots-là : aellant qui pars cette semaine en vacances As-tu lu le chic reportage qu'Yves Michel o foit pour toi en poge 2 de ·ce numéro? L~s Jeunes, qÜi viennent do recevoir leur dro!)eou des moins du Moréchol sont repartis maintenant vers les camps où, par une vie d'équipe voillonte et joyeuse, ils apprennent les fières vertus qui ont foit autrefois Io grondeur de Io Fronce et qui sont maintenant le plus sûr espoir de notre pays. Ces jeunes comptent sur toi. Lo ta– che, qu'unis à leurs oinés, ils ont entre– prise avec le Moréchol, est une tâche rude, longue, d ifficile . Cc n'est pos en un jour Qu'on rebâtit un pays affaibli par de Jongues années de loisser-oller et leurs efforts d'aujourd'hui ne servi– raient à rien si tu n'étais pas prêt, demain, à les continuer du même cœur voillont et généreux. . . Mois si tu veux être prè t demain, il fout commencer dès oufourd'hui. C'est pourqi.;oi ces vacances de 1941 ne se– ront pas, pour toi, des vacances comme les outres. Dons que lques jèurs, tu t 'en iros à Io compagne pour refaire tes forces ou bon air de chez nous. C'est là, dons le petit coin de Fronce que Dieu vo te confier, qu'il te foudro prendre ta port de l'œuvro commune. N ous t'avons riit qu'un Grond Jeu passionnant allait nous unir pendant ces mois d'été. Dons ce Jeu tu os, toi, un rôle personnel à tenir. Regarde bien le parchemin qui orne le hou! de cette pogc. C'est Je modèle de celui qu'au cours d'une belle fête, ton abbé te remettre avant ton déport du groupe. Il contient le résumé de toute ta mission... e Quend tu seras arrivé là où tu dois passer t es vacances, tu iras trouver, avec cc porchemin, M. le Curé de le. paroisse. S'il ne le sovoit pas, tu lui expliqueras cc que c'est qu'un Cœur Voillont, ce que vous faites ensemble ou groupe, ce qL1e nous avons décidé d'entreprendre pendant ces vacances. Tu lui montreras Io mission qui t'o été oonfiée. Et puis, tu Jui demanderas s'il veut bien de toi pour l'aider auprès des gar– çons de son villoge. Ensemble vous com– binerez les premières réunions (tu a s lu, je pense, ce que Jeon Voillont t'o raconté, il y a quelques mois, des aventures de Froncis... Alors, tu dois savoir comment il fput t'y prendre. Sinon, cherche vite les anciens numéros de ton journal et relis ces articles, parus en page 2 sous le titre : • L'aven– ture fantastique d'un gorS de 12 ans • . le Pays compte A sur toi lt e Une dizaine de jours après tor arrivée, tu écriras à ton chef d'équip{ pour lui raconter J'occueil que tu O .$ reçu, combien de gerçons tu os pu voir, _ce que v?us avez f_oit ens.em_ble, 11 01 et puis... et puis les semaines qui v :en - l~h, \ nent te réservent de fameuses surprises, ~ljl tu peux m'en croir~ lftl\ll Mols, me diras-tu, si fe reste ou groupo cet 6t6 ? Si tu restes ou groupe, petit frère, c'est Io semaine prochaine que com– mencera pour toi le fameux Grond Jeu... mois, chut ! j'en ai tro:> dit. Et il me reste encore un mot à ajou – ter pour les garçons qui lisent " Cœurs Vaillants n sans foire partie d'un grou– pe. Qu'ils suivent bien, pendant toutes ces vacances, les formidables aven tures qui vont arriver à Jean-Fronçais. Jeon– Fronçois, c'est un oars comme vous, un gars dont ils pourront, là où ils sont, imiter les exploits et passer, à couse de cela, des vacances magnifi– ques. C'est simple, n'est-ce pas ? • Personne, cette année, n'a le droit d e reste r inact if. Toi qui me lis , alert e tous tes camarades. Plus nous serons nombreux , plus notre J eu sera chic. Ohè, jeunes de partout ! Si vous êtes dignes de votre nom, venez avec nous. A l'appel de nos ainés, il fout que nous répondions tous : PRESENTS, il .fout qu'au c:ours d es jou rs à venir, nous sachions montrer aux grands de quoi on est capable quand on o 12 ans, le cœur fier et l'ême décidée. En ovont !.. L'ALPINISTE. C 'est pourquoi n ous te nommons a ujourd'hui << Mes– sager >> avec la mission de porter, partout où tu iras, le fie r idé al qui fera des jeunes les meilleurs ouvriers d e la Cité nouvelle. Avec les conseils de M. le Curé, chef de la Chrétienté où tu vas passer tes vacances, tu chercheras à connaître les garçons du pays, à leur montre r le chic journal où tu puises chaque semaine l e secret de ta vaillance et de ta bonne hume ur, à les conquérir peu à peu par ta loyauté, ton cran, ta charité souriante, Tu resteras, pour cela, uni à t on équipe qui va t ra– vailler à la même tâche que toi et qui, chaque jour, prie ra comme toi Cel ui qui, avec tous nos efforts, refera chez nous cette France- heureuse, forte et chré– tienne dont nous pourrons tous être fiers. En foi de quoi, nous signons Je présent parchemin pour te servir de << charte » et t'être gage de la m ission à toi conliée. En la fête de . ... . .. .. . ce jour . J uillet de l'an de grâce 1941. L'abbé, directeur du groupe, Le dirigeant, Le chef d 'éql.ipe, _{g ngagem~nt du ~rssagrr J e soussigné . . ....... . . . . ...... . acce ote la mission qui m'est confiée et, avec l'aide de Dieu et d P Notre– Dame. m'engage à conq11érir, par ma vaillancP et mn charité , de nomb!'eux petits frèr es qui travailleront avec moi à reconstruire la France. ~~ c'est dur è ce peti: cœur farouche de " renplacer Papa ". Ma is il o si g ran d ' pitié de cet homme pour qui la communion de son gars sera un jo ue tout pareil ~ux autres... un pe u plus triste, seulement, et plus ame r 1... Alors il pre~d sur lui... il insiste : - Comme ço. vous serez q ua nd même un peu e n fête... Oh 1... y a pas g rand' chose: on dinera d 'un la · pin qu ' Maman a ~oujours gard é... Mais la fête, dites Mon5ieur, c'est pas I' repas... : c'est en dedans qu' ça s' passe : avec le Bon Jésus qu'on o reçu. Vous verrez qu' ce ~ero quand même une belle fête 1... C11r vous en êtes. d ites ? ? ? Vous remplacerez mon Papo... jusqu'au bo ut... comme vous au riez fait avec votre Franço is ? ... Violemment ému, le pa uvre homme. cependant, n'est pas convaincu... il se– coue la tête encore... : un rude combat se livre en lui... Quand soudain. spon– tanément, l'enfant se jette à son cou : ~ Dis Papo... tu ne · refuseras pas ço à ton p tit ga rs? 11... Enlevé par deux bras solides et ser– ré sur un cœur q ui bot la cha rge, Pierre-Jean sent deux larmes qu i rou– ;ent sur ses cheveu~ blond~. C e fut une bien belle communion. Il n'y ovait pos de costume gris... li n'y ovait pas d e d inde rôtie ni de bombe g!océe ... La bombe avait seulement éçorné le toit, l'an possé, et l'on dinait d 'un dé– mocra tique lapin de choux... Mais le même soir deux petits mots partaient : l'un du " Steleg 26 " ; l'e•' – t re de la ferme d ei Aigremonts : cria· cun disait à peu près : 11 Mon petit ga rs. tu ne m'as ~a~ vu ; mais ce matin j'étais tout près de toi, sur le cœur de Jésus que tu os reçu et q ue j'ai reçu . Moin7enant je n'oublie plus q ue c'est là q u'on se re– trouve unis. N'oublie pas non plus, mon petit, que c'est là q u'on apprend à d evenir un homme, et qu'on puise la force et la science de refa ire ls Fronce. Je 00 t'embrosse comme ie t'ai– me. Papa . Il n'y eut ni costume ni repas... Mois il y eut deux chrétiens de plus, et q uatre français à comprend re... En vérité •oui, ce fut une bien belle communion 1... F. KAMMEME. Toi qui veux prendre · part à potre grand jeu de vacances~ LIS BIEN CECI : As·tn deviné le secret du message COD• teoa dans ootre dernier ouméro P Non P Aloro lie bien, cette semaine, tee o.voo.. tures de J ean-Fronçois. Ça y eat P Er meiatcnant, comprends-tu ce quo eera notre Grand Jeu de ·vacances P Qu'est-ce que nous voulons reconstruire? Pou rquoi ? Sur qoel modèle P Est-ce que ooua somme$ tout eeuhi à .,.ccloir Je faire P Qoi est·co qui y tr!!ivoiJle avec nous P Comment peut·oo reeonst ruire un pays P Parmi les garçons de ton ûge, quels sont ceux qui doivent prendre part à. ootre Grond Jeu ? Où en t rouv<'.'ront-ile le programme ? Que feront ceux qui restent au Groupe ? Ceux qui poïrcnt en .....-aconccs à Io campogoc P Et ccuI qui, ohaQuc semr;iinc, lisent Jo journal Bo nn faire partie d,un groupe ? Qui fo.ut -i1 chercher cncora 0 emboucher dooo CO Jeu P Pourquoi i' Çommcot P Ave z-vous vu un prestid ig itateur? oui, sans doute. Et je suis sûr que vous vous êtes creu5é vo•nement Io r.ervelle pour déchiffrer le secret de ses tours ! Aimeriez-vous en connaitre Que lques-uns dons les plus faciles? Nous l'avons pensé, a ussi nqus allo"s en passer de temps en temps dons notre rubrique des 1eu x. Peur oujourd'h ui, a rmez-vous d 'u ne f icelle et d 'une cle, regardez bien les photos, suivez bien les expl i– cation s et à votre tou r essayez . Quand vous scurez en foire plusieurs, vous o rga niserez p our vos camarades une g ronde séance de prestidigitat ion... Un, deux, trois, hop :... et le tour est joué... De mandez une personne de l'assistance de tenir entre ses pouces la corde double . La - main gauche seulement saisit la ficelle à gauche de la clé e t la remet également s ur le pouce d e droite. Si vous lâchez maintenant la boucle de la main droite e t si vcus ti– rez sur la clé elle se déga– gera automa– tiquement. De la main ga_uche, vous saisissez la ficelle la plus près· de vous, de la main droite la fi– celle la plus éloi– gnée (tout cela à 0---0--0--0-0-0--0--0-0- 1 0 1 ? ô AVEZ-VOUS TROUVÉ ? Solutions du numéro pré c édent MOTS CROISES : Lo rou90-q110110, droite de la clé) vous reti– rerez vers vous avec la ma in droite la ficelle qui était en arrière e t la ficelle que vous tenez dans lamain gauche vous la mettrez sur le pouce à votre droi~ . Il se forme ainsi un e boucle que vous gardez toujours dans votre main droite. f ! o., '" '"'· ......... ""' .. "'''''" .,,,, ,,,,., eeux qui ont trouvé. • 1. non; 2. noa; 3. oui ; 4. non ; S. non: 6. oui ; 7. non : 8. non; 9. non; 10. oui ; 11. non; 12. oon: 13. oui : H. oui : 15. noo. H ori::ontalement : J. C. - 2. PO. - ·3. OST. - 4. ANTE. - 5. IDANO. - 6. SEREIN. - 7. RIRES. - 8. ECA. - 9. ANTAN. - 10. ENTA. - 11. SEN. J ertirnlomrnt : 1. AIS. - 2. PONDERE. - 3. COS– TARICA. - 4. TEHERAN. - 5. OIE TE. - 6. NS ANS . - 7. A!';TE. - 8. AN. Î OHE ! LES AMATEURS DE TIMBRES, ETES-VOUS PERSPI– CACES ? L " ln ux r ortc REBOPLIQUE FRANÇAIZE ou lieu de REPUBLIQUE FRANÇAISE. ~ PQSTES ou lieu de POSTES. l.a semeuse a ln jambe gauche en avant au lieu de la droite ; ell!' por te un boléro, un gnnt à crigpin à la m:lin d roite e t des ch:.iu5sures, alors que l'original est dérour\"u de tous ces accessoires. Le C de 20 c cc do it pas a"oir de cédille. ~___.__...___._. 0 Nous avons reçu des jeux de : • •••a1111•••••••••••11lila••••••••••1111w11aaaa11a11a11aaaaa11111111aa11aa11111a••••• 11 ••• 11 • 11 •• 11 • • R. Teyssier, J. Fronzini, B. Laville, F. Bothier, • à C MAIS IL EST • R. Comte (Al,;er l, H. Boyer, G. Miard, G. Bassompierre Il Pour te la procurer écris œurs Il et Michaud, J. Dicharry, cœurs d'Or de St Jean de il Vaillants, i6. rue Nicolai, Lyon. Cette carte D'AUTRES DISTRACTIONS Il Pélussin, J. Stosscrt, J. Thévenet, L. Rey, F. Lemaire, • ne coûte que G fr. 25 ; 0.22 a partir de 50. • H. de Metz. • C'est sans doute l'avis de ton • l........ ..---..~-.._-1-- .....--.... ----..J--"-'-_.... : • papa. Il a ime mieux se r eposer et ou- : 11 blier pour un temps les soucis de a • •.ET UNE AUTRE DE BALLON... l'heure tout en se tenant au courant • li Vous vous imaginez peut-être des événements. Et c'est certainement • : q ue le foot-ball est u n des sports pour cela qu'il lit c haque semaine .: · 11 les pl us modernes et que l'usage < Vaillance >. l'hebdoma daire d'une • li en est venu d'Angleterre. Fra n ce plus belle. « Vaillance » est en • Il E h bien ! je vais vous étonn er en vente da ns tous l es k iosq u es, le numéro 11 11 DEFENSE DE FUMER vous disant qu'au moyen-âge, la · de 20 pages grand format: 2 francs. • lii ET DE CRACHER... cc soule > était le d iv er tissement Abonnements : 16, rue Nicolaï, Lyon : : Pour la premi·e· re 1 ·nter di.cti·on, • préféré des paysans. Or la soule (C.P . 891-20). Un an: 90 fr.: 6 mois : 9 ---- ALl()... AlLO... ---– UNt: NOUVELLE SENSA TIONNIElYJE J EAN-FRANÇOIS a tellemen t d'aventures qu'il lui faudra, à partir de la semaine prochain e , toute une page pour vous les raconter , je crois même savoir que cela d urera p e ndant toutes les vacances. • cc n 1 était p3s autre chose auc le foot- 50 francs. m p oisson si curieux s'en moQ.ue; pour ce - :~~~~Jlk~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~:=!L.., 11 qui est de la seconde. il n·a cer tai- ball, puisqu'elle 11•a11111111•1111m•111111a••11•11•IlIl11Il•11Il••11•••11a 111 • J il nement aucune envie de robserver. Non, consi tait à se : Jean. ce n·est pas une histoire de d isputer u n bal- iil fou, je veux tout s implement parler de lon en le pous- c ï archer sagittaire de M ala isi e, auqu i:l sant du pied. lil les indig ènes donnent le nom de poisso n Il Y avait mê- li cracheur. me des défis, i;; aujourd'hui nous : Ce poisson se nourrit uniquement d irions des com- lil d'insecte s e t or. 0 ère. pou r les capturer, pétitions, lancés Il! d'u n e fa çon bien ina ttendue. Oh ! son de village à vil- 11 moyen e st simp le. Voit-il une pauvre lage, et le s !!! mouch e volant au-dessus de l'onde , o u joueurs de ce ~ bien p er ch ée sur un brin d ·herbe, i l temps-là met-. • 11 s 'approch e !c11ternent de sa v ictime et . t aient a u jeu • li lui lance a vec la bout:he un e goutte autant d 'achar- : .• d 'eau oui l'é tourdit... et not re cracheur nement que nos • • n ·a plu~> qu'à savourer son g ibier sans joueurs actuels, • : crai.nte d 'a valer un grain de plomb. sinon plus, puis- • 11 q u e p lusieurs • 11!1 • rois p rirent des : li ordonnances • li lmE HISTOIRE DIE CARTE... pour interdire . 11 Chaa ue Français doit pnsséder sa carte les matches de : d 'ident!té : tu sais cela sans doute, mais fran- « soule », « es- lii chemPnt, crois-tu que cela soit suffisant 7 quelles les uns l!1 ï u vas o::ir~ir en vaca nces, loin de ta famille rencontrent a ux lil peut-être, et tu iras te présenter au cure du a utres des poings lil pays o:J tu vas habiter pendant que laue temos es-visages ou es- ~ Comment lui prouve ras-tu que tu es chrétien 7 corps et di fort ia La c harte q ue te donnera ton groupe ne suffit et d u r em en t fil pas. Il te faut une carte d'identité c hrétie nne, comme ils peu - l!! tout chrétien devrait possé der la sienne. vent ». :,•••11•e•mms•••• 111111111111•••••••••11••••11•11 MONSI E'U R p VOI C \ LA COM""1tS<; 10 N DE L 'A CADEM I E OE5 sc i E JJC f.S 9u"1 v i<.NT _AS<;l<;TER À VOS E l:PEAIENCES

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