Cœurs Vaillants 1941

11•'1• : Ur rilntlelfc L o Syrie.. cc non"i est inscrit dons le cœur de tous les François e t vous savez tou• que cc pays tient actue lle– ment une grande p lace dans J'histoirc du mande Un de nos omis, qui a é té là- bas pendant de longues années, nous a ra– conté quelques coutumes de ce pays lointain ; avec lu i, portons pour un grand voyage ; prenons l'a vion qui nous conduira jusqu'à Alep. cette gronde vdl~ syrienne protégée par ,;on immense citadelle. Ça y est. Nous sommes dans Io ville. Comme elle e st curieuse ! Que de su je ts d'étonnement pour nous qui n'avons jamais vu J'Orie nt et qui som– mes h abitués · oux rues larges, aux grandes ave nues p lantées d'arbres; ici • les· ruelles sont étroites, mois il y a du solei l partout e t Io réverbé ration, 5Ur les moisons toute blanches, n ous toit p lisser les yeux... Ça e t là des hommes ou visooe qui semble taillé do ns le roc tant les traits en sont ac– cusés, passent furtivement ; leur tê te est coiffée du fez national.. Mais quel est ce batte ment rég u– lier ?... approchons-nous ; nous voici près d 'une petite boutique, un o: souk » où le botteur de cuivre n ous pro!)osc ses œuvres sons pour autant arrê ter de marte ler, à pe tits coups réguliers, le g rand p lateau aux reflets chauds qu'il est en train de ,façonner. A peine avons-nous le temps de · le regarder que déjà nous sommes pris par outre chase... là derrière nous, Quel est ce t homme Qui se promène, un appareil bizarre sur Io poitrine? Non, Jean, cc n'est "pas un vigneron qui s'e,.... va sulfater ses vign es : c'est tout sim– plement un marchand de citronnade qui veut nous foire goûte r son bre u- s us vage parfumé. Pour quelques sous nous c urons chacun une gronde tosse du ·1ide sorti de l'étrange appa reil et, ' té rés, nous repartirons à J'ov<:>n– h.. i trave rs la ville. i'liolo u:chnf'I) JllfC dll QUlffllt:I' <'/H't tiCll Mais où coure nt donc tous ces gens qui ont l'a:r si pressés malgré Io cha– leur e t le soleil qui darde ses rayons? Tous, hommes, femmes, e nfants se di– rigent vers un méme point. Emboitons– leur Je p a s e t suivons- les à travers le dédale des rues du quartier chrétie n !cor Alep a deux quartiers : le chré– tien e t le musulman ). dont !es moi – sons en auvent n ous font pen ser à quelque ville du moyen ôge. Ic i tout le monde s'arrê te devant une petite maison, à peine p!us g ronde Que les outres e t dont l'entrée est mosquée par une portière... Il est trois heures de l'après-midi e t nous sommes au jour du Vendredi Saint. Entrons donc dons Io toute petite église armé nienne où nous assisterons aux céré monies de la Passion. Naturellement l'église est déjà com – ble et il nous e st impossible de t rou– ver une place a ssise sur les petits. bancs où quatre personnes tiennent dé jà à l'é troit, et où cinq et même six parfois, ont réu ssi . à se tosser. Nous, nous resterons ici, da,....s le fond, au besoin assis su r nos talons, mois nous pourrons suivre les moindres dé · tails de Io cérémon ie e t aussi observer toute cette foule qui nous entoure. 0- VAilILLA lf S , Dons les rues pavoisées, Je cortège s'avance bruyamment. A demi ivres, des hommes et des femmes escorte nt la statue enguirlandée de Io déesse Cybèle. Nous sommes e n l'on 180, à Autun. Sous l'influence romaine, Io re– ligion païenne a instoilé partout dans notre pays ses fêtes et ses tristes cou– tume's, et ce jour-là, à travers la ville, c'est toute une débauche de rires e t de chants qui se termineront t out à J·heure dans les désordres hobi tue ls à ces sortes de céré monies. Un jeune et lorsque, sons un mot, so ns u ne pla inte, le jeune martyr roule éva noui sur Je soJ baig né de son sang, ils le saisissent brutalement pour Je jeter, sans le moindre soin, dons un c.ochot obscur. On devai t l'y laisser deux 1ours sons manger · ni bo ire. Alo rs, es;Jé rant que de si rudes t rait em en1 s auront e u raison c1u courage d'un si jeune hom– me, Hé raclius esso~e d 'une outre tac – tique. Douce re ux, amical, il vante à l'enfant tous les avant ages de la sou – mission : « Si tu adores nos dicÛx, je homme, cependant, ne semble pas par– tager l'ivrm:se générale. 11 est sorti tout à )'heure d 'une porte dérobée et, d'un pas rapide, il poursuit, sons pren– dre intérê t à ce q ui se passe a utour de lui, une course mysté rieuse. Sa fière a llure tranche sur Io foule e t, malgré lui, son regard se fait méprjsant pour toiser la laide statue de plâtre a ux rid.cules g uirlandes. Cette attitude a élé remorquée. Des cris hostiles s'élè– vent u Arrête-toi... adore Cybè le..• ,,, Ne t te, rapide comme un cri de vie- t e ferai O\'"Oir u n e mploi dons les a r– mées de !'Empereur. Tu d~viendros mon ami, tu seras riche,. pui!;sont, tout le rr.ondc t e cons:dérera... u Syrnpho – r:en ne peu t en ente ndre p lus long. Avec ind ig nation il interromp t· le per– fide, rassemblant toutes ses forces pour cette de rn ière pro fession de foi . n J e suis chré tien, vous oi- ic dit. Vos promesses ne me fléchiront pas plus que vos m enaces. Qu'ottende:i-vous pour me foire décapiter ? Cette LE s9Lt:IL~I ~~~~ d'Orient Da ns la tra vée de droite, ce sont les femmes dropées dans leurs longs voiles sombres qui leur donne l'a ir de Photo 01chiYOS Jlallc:ur tf;• cuin ..: musulmanes ; à gauche ce sont le.:. hommes dont les moins colleuses égrè– nent le chq!=ie let de bois. t./\a .s, ne vous semblc- t-il pas les reconnaître?. . Mois oui... ce sont des paysans e t tel– lement sen1bloblcs à ceux de chez nous, que nous a vons l'impression de les avoir déjà rencontrés sur les routes de nos provinces. Après tout, ne sont– ils pas aussi un peu de chez nous, ceux qui par Je contact de nos mis– sionnaires ont appri~ à aimer et à estimer Io France? 11 y a tant de monde maintenant dans Io pe tite église, si petite, que tout mouvement nous est interdit ; à peine pouvons-nous essuyer nos fronts qui ruissè len t de sueur. Mais la cé ré monie va commencer. Près de l'a utel central, sur un fond de tentures noires, la Croix est d ressée, immense... e t sur Io Croix. un Christ de grandeur naturelle, de couleur na– turelle, à peine pâli semble -t-il par .la mort. Voici le sacristain qui, maintenant. court, se hôte, apporte de grands lam– pa daires dorés. semble affolé comme s'il avait été p révenu trop tard pou r Io cé rémonie qui va se dérouler dons quelques instants... Et brusquement, les cloches se me tten't à sonner à t oute volée, une fois, deux foi·s, trois fois... le clergé .fait son entrée ; voici l'é– vêque armé n ien qu i s'avance, majes– tueux... Dons le chœur les lampadaires sont ùllumés, les enfants de chœur portent des cierges et se grou9ent der– rière les prêtres; à gauche de Io Croix des gradins s'élèvent jusqu'à hcu– te u r des bras du Ch.rist ; les p rêtres montent... un frisson parcourt toute l'assistance ; le prêtre est maint enant au sommet, il a va nce Je main... il semble hésiter... il a comme un mou– vement de crainte ou moment de tou– cher le corps de son Dieu... Tous les Alep: t es m·cad1!S d'11rie ?'Ue cou s sont tendus, les ye ux fixes ; .le silence esr total, coupé seulement, par instant, d e soupirs é touffés... L'o:r de vérité de cette cérémonie est p resque terrifiant. Enfin Io main du prêtre enlève le couronne d 'épines et Io p ose su r un plateau recouvert d'un voile rouge que tient un autre prètre... Sur le front nu du Christ, nous distinguorl!: maintenant lt:!S meurtrissures, le sang .. Lentement, avec un respect int ini, le prêtre enlève les clous qui retiennent au bois le divin Supplicié. Nos cœurs b attent, n0u~ sommes ha letants... Les bras dLi Christ pen– dent maintenant le long de son corps, ce corps sanglant que plusieurs prétres reçoivent dons leurs bras et déposent dons un brancard. 1Js Je recouvrent d'un linceul de mousseline blonch.e... Tous les visages sont pôles e t crispés, des lèvres entr'ouvertes un bruit de sanglot s'échappe.. Lentement la procession s'é b ran:e sous Io conJuite de )'Evêque. Lo fou le se presse, se bouscule ; tous veulent baiser le branc<.Jrd°, toucher l'i;,,oge de Dieu fait homme, les femmes tendent leurs enfants dont les petites ma;ns s'agrippent ou bois.. Lo procession a fait le tour de l'église et arrive jus– qu'à l'au tel où le Christ doit reposer jusqu'à demain, au milieu des fleurs et des cierges. Maintenant , pieusement Io fc u1e s'écoule, presque en ordre, le cœur et l'esprit tout pénétrés encore par l'é– mouvante cé rémonie; et à travers lez petites rues inondées de soieil chacun regagne la maison blanchi" d'où il res– sortira bientôt pour circufer sons arrêt, pendant une partie de Io nuit, d'une église à l'outre. C'est dans ce pays où Io Fronce a subi Jo plus injuste des a gressions que Jésus a apporté aux hommes Io ·gronde Lai de Poix et d'Amour, cet1'e Loi qui seule peut versé par bonheur. rendre ou les haines, monde, boule– le véritable Michelle VI LLETELLE. Photo archiva:. 1\fardwml cfe citro1rnade JUSQU 9 A LA M.ORT - Il raire, une repense s'échappe des lèvres de l'adolesc~nt : n J'adore le Dieu vi– vent ! " Une immenc;;e clameur monte alors de lo foule : .. Un chrétien !... c'est un chré tie n ! n Et ce mot, dons la bouch e rlP. ces hom111es, équivaut à une condamnation à mort. L'empereu r, e n effet , t nit poursuivre sons pitié ta us ceux qui sont ou Christ. Pour mieux les ' troquer, il vie nt d'envoyer à Au tun, Héraclius, son homme de con – fiance. C'est vers lu i, q u'avec des hu r– lemen ts d e haine, Jo iouie en1raine f.Jis. c·~n est 1ro.'1. Hors de lui, Hé ra – clius a criê l'ordre qui candom11e à mort et bientôl· un petit cortège fran– ch it Io !)Orte du 0olais Le bou rreau. les gardc"j, le martyr e ncore t out çou – vert du sang de sa flagellation... CC? coitège ne rcs~cmble- t-11 pa s è un autre cortège dont le seul souven ir me t aux yeux de Symphorien une flamme d 'émot ion e t de fierté? On a rrive a u x rem9orts de Io ville. A lors une fe mme se dresse, pôle e t résolue . so n jeune , prisonnier. Tout de suite l'in terrog o fnire commence. Symphorien ne veut aucun doute sur son identité, il Io proclame imméd iatement : u Je m'cppefle Symphorien, je s~is chré– tien " et son at lit'ude est si éne rgique qu'He roclius, é tonné, s'enquiert tout de suite de son origine. Oui, il est d'Autun. Il appartient mème à l'une des plus importantes familles de Io ville. Alo rs, pour l'effrayer, l'officier romain fait lire devant l'imprudent les terribles ordonnances de son Empereu r. Ce tte temme c'est Ja mère de Sym– phorien, la maman qui, informee d u drame, va suivre son fi ls p our l'en– cou rager de sa présence e t d onner à Dieu le témoion açie de sa vai lla nce. Jusqu'au bau t elle sera héroïque H Ta vie n'est pa s perdue, mon pe– tit... tu va s e n trouver une me illeure... pense au Christ vivant... n Et comme le Christ , son chef, son maitre, son a mi, Symphorien, sons une p laint e, donne sa vie ,r,our qu 'en ses frères, Sym;.ihorien semble indifférent. Fou d( colère , Hé raclius multiplie ses menaces. Ferme et digne, l'adolescent demeu r<.> impassible. <f Dieu est a vec moi, je ne crains rien des hommes. C'est Io seule 9hrase qu'on pe ut d ésormais lui t:rer, mois cette p hrase a une forc:J dont Héraclius, lui- même , subit , m algr lui, l'ih fluence. Alors, pour vaincre L~ ga rçon dont Io jeunesse s'olli0 à une si surprenante fermeté, le rumoin or– donne Io flagellation. Sans pitié les bourreaux frappen t à coups redoublés ·•Î /, '/ / :'; "-..-. Die u é tablisse son règne d'amour et de lumière. Autu11 so vi ll.:. natale a gardé pieusement son souvenir. Et sur cette terre de Fronce qu 'il arrose de son sang,' d 'out1es gorcons se son! le vés, f iers, p urs, vailla nts comm::' lui r>or toute leur vie, ils trovoill(!nt ch - q ue jour à refaire chrétiens les fi ls è c ce !)Oys que Dieu o voulu p lus beau €t p lu!\ vaillant que d 'autres pou r ci11' il rayonne p ortout, à t ravers le monde, son message de Poix: et d'Arnour Marc HAUCEVER IDAS. Dev.-:mt tous ceux qui ont voulu s'unir i':! nou en ce soir de la St-Jean. la flam– me de notre Feu va s'élever bien haut dans la nuit... Et. parce que nous l'avons préparé de t out notre cœur par nos efforts, nos pr iè– res, nos sacrifices.., -- parce que nous avons mis toute notre âme à en vivre les scènes si sim~ ples et si émouvantes, not re Feu fera passer dans le cœur de ceux Que nous aurons invités à chercher avec nous le secret d u bonheur, quelque ·chose du message du Christ, ce grand message qui est si peu connu et qui apporte pourtant le vrai moyen de trans– former le monde. Ce message-là, nos parents, nos amis, nos voisins l'auront, grâce à nous, mieux compris ce soir. Mais demain. pour eux, la vie reprendra avec ses difficultés, ses . sou cis, ses petits égoïsmes, tout son" lourd cortège d'angoisses et de misères. Est-ce q ue tout cela ne va pas chasser de leurs cœurs le souvenir de notre soirée ? Est-ce q ue cela ne va pas étein– dre la flamme, obscurci-r la lumière, faire oublier le message ? Cela dépend de vous. petits frères. Pour se souvenir chaque jour du mes– sage du Christ, pour comprendre à quel point ce message peut changer leur vie, il faut qÙe nos parents, nos amis, nos voisins vous voient vivre devant leurs yeux cette Loi de Charité qui co11tient tout le secret du bonheur, Regardez un peu votre carnet de r oute, Nous y avon s noté, au fur et à me~ure de notre exploration, les conditions. aux– quelles nous pourrons rayonner ce bon– heur : fierté, vaillance, joie, unité... Ce sont là ju~tement les principales qualités du vra i Cœur Vaillant. C'est en les vivant de tout votre cœur dans Votre Vie de tous les jours QUe VOUS serez vr aiment des éclaireurs, des ou– vriers de la France plus belle, des semeurs de .bonheur. Chacun à votre place, vous avez une tâche magnifique à remplir. A la veille des heures gr aves qu'amènent pour notre pays ces jou rnées d'été 1941, il faut promettre de vous y donner à fond, -en vrais chrétiens, en vrais fils de France, en vrais Cœurs Vailla nts. L'Aipiniste. Tous tre<saillirent devant cette reve– lation inattl'ndue. Yves se m it à ge– noux près de son père qui continuo, parla nt par saccades : - • Tu es Je .fils d'un off;cier de m arine ... Tu as ,é té enlevé à l'âge de deux ans... parce qu'on voula it obtenir de ton père des documents sur des navires de guerre... Ton père est mort en mer en 1930... Et t u nous es resté sur les bras_ On t'a remis alors à moi... pour que je t'élève... • Epu isé, •.Je chauffeur se t ut u n mo- ment. .. Louis Ma rchal essuya son front. - • Reposez-vous, 'dit-il, e t sachez q u 'Yves et moi, nous vous pardonnons de tout cœur le mol que vous nous a vez fait. Pensez à Dieu s'il vous rap– pelle à lui. > Merc i... • , murmura Je mou– ran t . Y'les tira l'ing'énieur Marchal par le brO!I, Mois .alors, d it -il à mi-voix, je ne m 'appelle pas Dalloz. IL doit sa– voir quel est mon vrai nom > ~ con– clut- il en désignant le chauffeur. - • Demande-Je lui • , répondit l'ingénieur. Quel est donc mon vra i nom ? > , queStionna a videment . Yves. Le blessé o uvrit un moment les yeux où passait déjà l'aube de Io mort. - • Tu t'a ppelles Yves... Yves... • - • Yves comment? • , pressa Louis quelqu'un, à Marse ille, veu t d ire le fa ire monter derrière so i 1 sur sa bicy – clette. se à -;~~~:;:~;;::::!~::~~~==~!!!!!~~~~==~:::;'';:~~====::;~~~:::;;!~!!~~~~::::::~~!!:~==:;;;;;::~~~Morchol. i M ais un spasme secoua l'homme qui • , q:: , 'I) gémit, se roidit et dem~uro immobile. .., M. Naud l'cx·amino rap ideme nt . Â. - • 11 est mort • , dit-il. ~'' /,-:::,, - l I •' ' ' Avec un véritable cri de désespoir, BON . 'Â =-Nf1~-~~.:..~--7. H?--::.U-M~ .p_E u· R~.: u '?'. ~:· ... ·-·:;,._,, ::~~:::~;~·~.~~;~~r s~~~i:t~:~~%a~~ ' ~ ~ Dieu, je suis • L'Enfant sons Nam ._ Louis Ma rchal se pench a sur cette g ronde douleur. - c Ne pleure pas, Yves. D' a bord , Darz.s 'u n demUr effort, l'homme allait-il enfin 11arlel' ? ... · Mots croisés • L'Ours M artin Qui a trouvé ? Sc:lalicDS da N° précé dent nous .oouvons trouver quelq ue chose en faciles elles ont fa it de toi un homme, faisant les recherches nécessaires. En e lles ont discipliné ta volonté et tan 1930, peut-être les journa ux ont- ils cœur. Elles t'ont familiarisé a vec l'ef– parlé de ta d isparition. Et si nous ne fart. Tu a vais contracté un certain trouvons rien, o ie confia nce. Momon, nombre d e d éfauts dans le milieu où j'en suis sûr, t'adoptera . Elle te do n- tu as grandi ; déjà tu Jcs a vais com– nero son nom, qui est a ussi le mien, bat tus. 1J te reste à épurer encore Hori:ontolemcnt. - 1. Sert souvent à bloque r les vis. - 11. Méprisables ; Point cardinal ; Plus grnnd qu'une chaussette. 111. Célèbre a méricain e xplorateur du Pôle Nord ; Règle ; P!onte aromatique des Al;.>es. - IV. Cé lèbre p~lerinoge marseillais. - V Se rt à mon ter l'eau d'un puits ; T irer so source de ; Ver solita ire. - VI. Et endue d 'eau stagnante ; Premières lettres d'o •sance ; A~:;> ire. - V 11. Don t oit po1 testament ; S'enfoncer dons les sables mouvants ; Lettres de rire. - VI 11 Pronom personnel ; Sorte de perdrix tpluriel l . - IX. Acier a mé– ricain. - X. Equerre double. Ve7ricolement. - 1. Une des plus belles fêtes de 'l'année. - 2. Ouver- !ot-cc du grec ou d u china is ? Ne cherchez t o u t simp le– ment u ne p ou vre v ictime : la tête de l'un de vos omis ré d uite en morceaux... A vous de re·– ploce r chacun des sig nes de façon à Io re - 1rouver... pas de cc côté, c 'est 8 t eS·ZJOUS calés erJ français P Alors, oons l'aide du dictionnoire, répondez pnr OUf ou pnr NON aux définitions données de chacun deo GÎX mots sui· vaoto : SATYR!ON Ord1idée nousêobonde oui non Pbitoaophc d e la Grèce antique oni 110n Parure d'une dame romaine oui r;o:i Instrument de mus ique oui non TAVAIOLE Ronde typique napolitaine M:Jladic cryp 1og'1miq ue Linge fin pot1r b::ir>témcs A ncicnnc voitlire attelée oui non oui non oui non ~i :10 n tures pour e ntrer ou sortir. - 3. Le niveau le plus bas des eaux d'une rivière. 4 . Grands lézards de l'Afrique du Nard. - S. Ancien nom de l'Irlande. - 6. Arrose Glasgow ; Est anglais. - 7. lnitioles d'un cor– saire malouin ; Genre de champignon. - 8. E:émen t essentiel du filet . 9. Instrument de cuisine. - 10. Re· nommée !)Our ses a llumettes ; Donne du goût aux a liments. - 11. Anneaux de cordage: - 12. Deux let tres de loge. - 13 . Calmes et sons inquié– tude. - 14. Qui mange beaucoup . - 1S. Temps que l'on passe à voir une pièce de t héâtre. 16. Dema nder avec insistance et humilité. l 7 Chaine de mo ntagnes de C rête . YACK Bateau J e plaisance Mesure linéaire chinoise · BufOe de l'Asie · centrale Race de chieo esquimau SCHLICH Un troî nea u à bo.is Du minerai en grain Coiffure militaire hongroise Boisson alcoolisée rU'ssC oui non oui non oui non oui ·no'n oui non oui non oui non oui non Ohé ! les astucieux ! · Ce sont, mois oui : le rémouleur. Le sitt:nce (parce qu'il esc général) . Une différence entre un homme et un arbre ? Vous •en voyez, vous ? Assu– rément, il n'y en a même pas Qu'une. V oici celle-ci : si on coupe le pied de l'arbre, il meurt, tandis que l' homme, lui, vit même nvce un pied en moins, mais oi l'o n coupe la tête à un nrbrc, il continue à vivre, tandis G'1C l'homme meurt. Casso-tête Et le message reçu par J ean-Louis ? « Cœur et courage font l'ouvrage )) « On a souvent besoin d'un plus petit que soi n. Nos mots carrés P.-> Verticalement l. As - Ane i - mal • (animnl) . Z, Seau - nattes (sonate) - eau. 3. Scie - bure . (sciure) • nez, 4. Haie • rot 1' - dix • t'œufa (hérol- · distc). 5. Lis thé, 6. Col • 6 • rat (choléra). Hori;ontalemont 1. As • seau - scie • !mie (associé) col. Z. Nat tes • bure - rat 1' - lis é (naturolieé): 3. Ane j • dix - rat 4, Mol - eau - nez t'œufs - thé ('!lolhonnêteté). Touche-à-Tou.t Et ce collage,•• Les deux mousquetaires Le cheval ô longue queue mnnge plus, car il peut chasser les mouches tout en ·moogeabt L 'autre, nu contraire, .. doit lever Io tête et se secouer (rêQUcm– mënt pour les éloign~r. Charades Chiendent (vaux-tour) que) . (chien-dent) Amérique A:lo ! les· fcbufütcs : Vautour {a-ma:-riz - tu deviendras mon petit frère... s davantage ton âme, à retrouver en toi L'ingénieur Naud se releva. tou t ce fond de d roiture , d e loyauté. 11 est temps de partir, dit -il. de générosité que t u os hérité de ton On vient sur les lieux... Hâtons-nous père, un officier de ma rine, donc de dispara itre. , homme d 'honneur e t de devoir pa r dé– Rapidement les deux hommes et t!s fin ition. Ta conduite ces derniers jours enfants g agnèrent un poin t du mur est Ja prc~ve quo son âme revit en d'enceinte sur lequel était accrochée toi. Sois-en fier e t reconnaissant à une é chelle de corde. Tous franchirent · Dieu. le mur, Michel Je dernier, et ils go- Tu auras des difficultés, on ne gnèrent l'a uto qui stationnait à un corrige pas en huit jours des défau ts Quart d 'heure de marche. de plusieurs a nnées. Mais oie con– Derrière eux, les p remiers secours fiance, oublie ce qui est derrière toi s'organisa ient et les voisins a le rtés p a r et ne songe qu'à l'avenir. Pour saute– l'explosion se pré_.,oroient à fouiller les nir ta force tu a ura s Io Communion, ruines de Io villa . le Pa in des forts. Tu curas a u ssi l'o rni- l I. - Vers I'Avenir,,. t ié de tous cewc q u i t 'entourent, J'of- fec.tion d e maman e t Io mienne, , celle Vers la fin de Io m atinée suivante. d'un frère non seulement de nom mais Yves oya nt couché cl1ez Louis Ma rcha l de cœur... > partit faire des comm issions. A l'en- Après Io messe de communion, Louis t rée d.'une épicerie il rencontra Michel Marchal vint féliciter Yves entouré de Soretti, sa bicyclette à la main, e n ses amis. grande conversation a vec deux femmes. - c; J 'ai un dernier vœu à formu- - « Alors, il parait que Monsieur fer p our toi, lui d it- il, quand tu iras à Louis est rent ré ? > , disait l'une l'église de Saint-Vincent-de-Pou], dite d'e: les. des Réformés, tu remarqueras sur les - • Oui, Madame, répandit Michel. portails extérieurs des médaillons re- 11 a vait é té .envoyé en mission, conti- présenta nt les défauts e t les vices nu a l'enfant en apercevant son coma- sous Jes tra its de bêtes sauva ges. rode, brusquement il e st revenu ce tte Ainsi Io ha ine est symbolisée par un nu it. Eh bien, Yves, tu as vu Monsieur loup, .Io trist esse par une chauve~sou­ Louis ? :D ris, Io discorde p o r u n ch ie n, je crois ... - « Oui, Miche l, il va bie n et est iJ y a encore un hibou, un chameau. ent ièrement reposé de son voya ge. • un bœuf, .etc... Ces bêtes sont hors de - c Tant mieux, on a toujours peur l'église, cor à l' intérieur de l'âme · e lles des occidents à c'tc heure • , dit ·l'une ne doivent plus p6nétre.r, seul le Christ des fe mmes. doit e n ê t re l'hôte comme seul Il - • A pro:ios d'accident, enchaîna habite dons nos Tabernacles. Yves, en rego rdant Michel, le • Petit Efforce-toi donc à l'avenir, mon Marseilla is • en raconte un qui o · ei.J cher Yves, de chasser hors de ton lieu à côté de Io Panouse, cette nuit. cœur les moindres défauts, pour n 'y J'explosion d 'une villa... • (Qisser g randir q u e l'amour e t Je sens - c Ah ! mon Dieu ! mais je ne du devoir. l'a i n os encore vu, s'écria l'une · des Tu seras ainsi de plus en p lus un commères. Passez-mai votre journal, Cœur Vaillant, un vrai fils de Fronce. mè re Etienne. • un chrét ien cent pout cent. Elle lut à haute voix J' ort.iç; Je sui- · FIN HER.BE . vont : Imprudence · de collectionneur. - Une violente e"7)1asion s'est produite cette · nuit, dons une · villa ou deià de Io Panôuse." Les. 9 remiers secours a p– port és :iar les voisins on t · permis de constater Jo mort de t ro is victimes : le proprié taire, M. S..., que l'a n voyait Avez.vous découvert Je chat, la be- fort p eu et qui, o~cien colon ial, pas- lette et le pe'. it lapin, le rat J e ville sa it pou; avoir réuni des ça llections PERIOSTE' Membrane recouv rant les os Un portier turc et le rat des champs, le loup et la ci- d e tout es sortes d'armes e t de muni-• oui non ~ugne ? t ians. Son concierge, M. L...,· e t u n oui non ..,._ _,,..._.,.,,,__....,__ ...,,__;-..,....,~-11 chouffeur de taxi encore non idcn1i- Pour discuter t>nfre l 'OOS A propos de notre ·exploration Comment avons-nous fait pa!:ïscr · le message du C hrist dons le ca:ur de nos amis ? Q ue faut-il foir;e pour que cc mcssaf:!c y fosse v ra=mcnt son chemin ? Q ue prouvc~ons-nous Cf. ~i­ vnnt à fond <lcvont eux notre 1dcal C.V. ? Comment ccln eréera-t-il du bonheur alllour de nous ? Comment cela travaillcro-t-i1 il refaire Io F ronce ? Portie d'un tcrriple romnin Petit instrument dC ·chirurgie 011i non f ié. A!'>rès les premières constatations, oui uon Un ré bus on suppose que !'o ccident est dû à SCHERZO Vari été de calcaire quartzeux D nnsc c~mpa~n~rde polonaise C6lèbrc peintre Ît'o1icn Morceau de musique badin Une charade oui uon oui non oui non f)Ui 11011 Mon premier de pruiric. est s,Ynonyme Mon ~econd de chemi n est s}inonyml"' Mon .troisième est· ül~isPcnsable au panier .Une vertu nécessaire poqr partir en e-xploraÙon vous donnè moa entier. l'explosion d 'un obus. imprudemme n t recueilli par M. S... On ne saurait t rop mettre en garde nos concitoyens cont re de telles imprudences... • · - • C'est bien vra i ça , mère Etien– ne, app rouva la liseuse. On dirait que les gens ·n'ont rios assez d'occasion de mourir. 11 fout q u'ils s'exposent . encore bêtemen t ou danger... > Michel scuta sur so n vélo. • Tu pa rs? > demanda Yves. Oui, je vo is voir Monsieur Louis. Alors, attends-mai, Ve ux--lu me châ le r 11 ? j'ai f ini. IChôJcr A propos d'un~ belle h istoire Comment Symphorien a-t-il montré qu'il appartenait au Christ ? A quel -cor.cège pcns11it-il en allant au sup- 1>l:ec ? Pourquoi sa maman a-t-elle voulu l'accompagner ? Qui lui ovDit montré l'exemple ? Quels sont ceux qui continuent en F rance la mission de Symphor ien ? Comment l'occompli– ront-ils ? A quoi voit·on mie Dieu a confié une mission erséciolc à ln Fronce ? Quelle est éettc mi1sion ? C omment a-t.elle été accomplie jus· qu'ici ? A quc1le1 conditions le sera· c-cllo dBos l'avenir P

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